
À une semaine des élections européennes, c'est le président russe Vladimir Poutine qui fait parler de lui dans le débat public. Samedi 18 mai, le vice-chancelier autrichien issu de l'extrême droite, Heinz-Christian Strache, a dû démissionner après les révélations par caméra cachée de ses liens avec la Russie. En a découlé une offensive de la majorité en France, symbolisée par les accusations de Daniel Cohn-Bendit qualifiant le Rassemblement National (RN) et les autres partis populistes de "cheval de Troie" de Vladimir Poutine au Parlement européen. Marine Le Pen, qui s'est affichée à plusieurs reprises avec le président russe, a répondu en dénonçant un complot de la majorité. Vladimir Poutine est-il le "parrain" des populismes européens ? On en parle dans "28 Minutes".
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