Medef, les raisons de la colère

Le Medef de Laurence Parisot se retrouve en pointe sur tous les dossiers fiscaux et sociaux ouverts par le gouvernement. Tentative de décryptage d'une attitude qui tient autant à des raisons politiques, culturelles que.. corporatistes.
Copyright Reuters

Existence d'un "racisme anti-entreprise", "extrême gravité de la situation", "urgence à agir", "choc de compétitivité indispensable et rapide", "non à l'alignement de la fiscalité du capital sur celle du travail"... Laurence Parisot fait feu de tout bois contre le gouvernement. La présidente du Medef est sur tous les fronts: menant l'offensive contre quasiment tous les projets gouvernementaux, notamment fiscaux et avançant ses pions sur les questions sociales en prônant davantage de flexibilité. On ne voit plus qu'elle, on entend plus qu'elle.... Décryptage des trois raisons de sa colère.

1/ Quand l'histoire radote

Le Medef, seule force organisée contre un gouvernement de gauche arrivant au pouvoir. On a déjà connu ça à l'automne 1997 quand, à l'issue d'une dissolution (ratée) décidée par Jacques Chirac, le premier secrétaire du PS, Lionel Jospin, est nommé premier ministre après la victoire de la gauche aux législatives. Jean Gandois démissionne de la tête du CNPF. Ernest-Antoine Seillière lui succède et transforme le CNPF en Medef. Il nomme vice-président délégué, Denis Kessler. Le duo deviendra infernal pour la nouvelle majorité, n'ayant de cesse de mener la guérilla, notamment sur la loi des 35 heures. Il faut dire qu'à l'époque, la droite était dans les choux, sonnée par la défaite aux législatives et davantage occupée à panser les plaies entre chiraquiens et balladuriens, plutôt qu'à porter la contradiction face à la gauche. Quinze ans plus tard, l'histoire se répète... Et cela n'a pas échappé à Laurence Parisot. L'UMP est obnubilée par sa bataille interne pour la présidence entre François Fillon et Jean-François Copé et sa voix ne porte pas. La nature ayant horreur du vide, le Medef occupe le terrain. C'est lui le véritable parti d'opposition. 

2/ Les guéguerres patronales

Laurence Parisot a du nez. Bien que les PME et ETI occupent une place importante dans les préoccupations du Medef, comme le prouve le contenu de la "bible programmatique" du Medef "Besoin d'aire", la principale organisation patronale s'est laissée enfermer dans le rôle de "défenseur du CAC 40". De fait, avec l'Association française des entreprises privées (Afep), on l'a vu très en pointe sur les problèmes de rémunérations des dirigeants, de la fiscalité des stocks options, etc. Loin, très loin, du "vécu" de milliers d'entrepreneurs de terrain. La CGPME de Jean-François Roubaud s'est ruée dans la brèche et a incontestablement marqué des points ces dernières années. Avec l'épisode des "Pigeons", Laurence Parisot a senti une occasion de se refaire une santé auprès des "petits" chefs d'entreprise, notamment ceux des start-up de l'économie digitale... pour qui le Medef n'existait pas, ou à peine. D'où l'implication du Medef dans le mouvement. Laurence Parisot est ainsi très fière d'être parvenue à fédérer plus de vingt associations patronales autour du communiqué "Entrepreneuriat et compétitivité état d'alerte", dénonçant l'aggravation de la taxation sur les plus values de cession en cas de vente des entreprises... D'autant plus que la CGPME a refusé de signer ce texte qu'elle juge trop radical.

3/ L'entrepreneur français est différent de l'entrepreneur allemand

Cette question de la taxation sur les plus values de cession, sans entrer dans le débat de fond, illustre à merveille l'une des différences culturelles fondamentales entre les chefs d'entreprise français et leurs homologues d'outre-Rhin. Là aussi, Laurence Parisot joue sur du velours. Plusieurs économistes, dont Patrick Artus, directeur des études économiques de Natixis, soulignent que l'attachement des patrons allemands à leur entreprise fait contraste avec une culture française nettement plus "court-termiste". En d'autres termes, en Allemagne, le seul objectif est de développer la PME familiale ou créée ex-nihilo, dont, sauf circonstances exceptionnelles, on n'imagine pas qu'elle puisse être vendue. A l'inverse, en France, un certain nombre de chefs d'entreprise, une fois celle-ci fortement valorisée -on l'a parfois vu dans la net économie avec les ventes records de certains sites- ne souhaite qu'à la céder... au plus offrant. D'où l'importance prise dans l'Hexagone par la question de la taxation sur les plus-values de cession. Dans certains cas, l'entreprise, vendue, ne grandira plus... Ainsi, seulement 7,9% des entreprises françaises comptent plus de 250 salariés, contre 10,7% en Allemagne.
 

Commentaires 70
à écrit le 17/10/2012 à 20:21
Signaler
Parisot est surtout nulle ... une chialeuse ...

à écrit le 17/10/2012 à 13:29
Signaler
M92 a raison, je vois une amie chimiste en rchr et dev, elle arrête pas de se plaindre de la liasse administrative, elle dit que de bouger un doigt nécessite cinq pages d'explication... C'est grave ça, une réforme administrative est nécessaire, ça ...

à écrit le 17/10/2012 à 12:18
Signaler
Un jeu de dupe, Gauche Droite, UMP = PS ! Le Medef est avant tout responsable d'avoir accepter cette Europe là ! Toutes vos entreprises se retrouvent dorénavant sans protection, tout juste armées d'un mauvais canif, cul nu, à se battre contre les ...

à écrit le 17/10/2012 à 11:55
Signaler
Bien fait Parisot!, si au lieu de combattre Marine Le Pen comme toutes les femelles bobos, Parisot l'avait soutenue, nul doute qu'aujourd'hui cette femme ne pleurerait pas à chaudes larmes!.

le 17/10/2012 à 13:34
Signaler
travail..., arrêtez de nous ramener MLP ! Son programme économique, en particulier, ne tient pas la route...

le 17/10/2012 à 13:39
Signaler
Quel post et pseudo glorieux...

le 17/10/2012 à 20:12
Signaler
Parisot ne voudra jamais renoncer a ses delocalisations ... MLP pour elle c'est la mort

à écrit le 17/10/2012 à 11:51
Signaler
En fait c'est ce que devrait avoir Laurence PARISOT, car au diable les considérations politiques, culturelles, état d'esprit, coeur plus à droite qu'à gauche etc... Vous croyez sincèrement qu'un patron de PME en ce moment a des états d'âme de ce type...

à écrit le 17/10/2012 à 11:12
Signaler
A un moment faut stopper les debats steriles et se poser les bonnes questions: Concernant la fiscalite (IRPP, IS et encore plus taxes sociales) Vaut il mieux continuer a assomer les actifs et entreprises, qu elles soient du CAC ou PME on s en fou, d ...

le 17/10/2012 à 12:49
Signaler
je suis atterrée de voir que la france s'octroie le luxe de ne pas taxer les plus values du commerce de l'art, de ne pas réduire plus drastiquement les budgets de la fonction publique non régalienne...... Tous ces élus oublient qu'ils sont payés par ...

à écrit le 17/10/2012 à 10:04
Signaler
et si les patrons français étaient moins compétents que les patrons allemands par exemple?comprennent-ils la mondialisation .?ils ne savent que parler de cotisations sociales (eux disent charges) ,qui seraient trop lourdes , flexibilité ,mais pas inn...

le 17/10/2012 à 11:31
Signaler
Faux archi-faux : Pas d'innovation poourquoi? Certainement pas a cause du savoir faire mais bien a cause des charges, qu'elles soient administrative ou fiscale d'ailleurs. Sans meme parler de fiscalité, savez-vous qu'un chercheur francais passe en mo...

le 17/10/2012 à 11:48
Signaler
Les charges ont beau dos. Quid du marketing et de la démarche commerciale pour faire des produits répondant aux attentes du consommateur et non faisant plaisir au techniciens ? Quid de la démarche export alors que les PME françaises se cantonnent au ...

le 17/10/2012 à 12:01
Signaler
Les entreprises Françaises sont victimes d'un racket en règle, charges salariales plus du double qu'en Allemagne, entraves administratives de tous ordres, Législation du travail paralysante,syndicats saboteurs, officines de contrôle de la production ...

le 17/10/2012 à 12:06
Signaler
@Question:Le salarie francais est le plus productif du monde,ou le 2eme derriere les usa.Vous pouvez aller verifier sur le net. Quand aux charges et autres que vous denoncez,laissez moi rire.Depuis 30 ans,la fiscalite sur les grosses boites surtout ...

le 17/10/2012 à 12:58
Signaler
C'est effectivement pas les grosses boites qui embauchent mais les petites celles ou le dirigeant s'est endette à mis son argent personnel, celles ou souvent le dirigeant est non salarié, se paie aprés toutes les charges de personnel, et autres. Cell...

le 17/10/2012 à 13:14
Signaler
Hélas, hélas!..., mille fois hélas!, nous sommes bien trop peu dans ce pays d'assistés à y voir clair.

le 18/10/2012 à 12:08
Signaler
En meme temps, c'est pas en traitant les gens d'assistés (terme générique pour désigner tous ceux qui ne sont pas patrons j'imagine) que vous les rallierez a votre cause... et apres c'est vous qui allez nous dire que c'est les pauvres qui n'aiment pa...

à écrit le 17/10/2012 à 9:37
Signaler
le medef ne defend que les grands groupes, ceux du cac40 qui pleurent sans cesse ... et qui pourtant se sont augmentés de + de 30% depuis la crise .. pauvre medef, pauvre cac40.

à écrit le 17/10/2012 à 8:43
Signaler
on arrivera pas à trouver de solutions tant qu'on mélangera tout. Les grands groupes ont des problèmes de stratégie qui est due à une degenescence de la caste aristocratique qui les dirige. ce n'est pas un problème qui peut se résoudre instantanément...

à écrit le 17/10/2012 à 7:57
Signaler
Mme Parisot devrait intégrer le role de l'énergie dans son raisonnement économique:l'énergie remplace le travail,le travail permet de produire de l'énergie;travail et énergie sont donc interchangeables.Les taxes sur le travail doivent concerner aussi...

à écrit le 17/10/2012 à 7:55
Signaler
Parisot est en train de couler le "choc de compétitivité" !! Elle ne veut rien changer, elle veut garder ses exonérations (pour les gros groupes) et ses delocalisations, ne veut pas que les PME soient plus compétitives (Ah la concurrence c'est pas bo...

à écrit le 17/10/2012 à 1:39
Signaler
Le Medef ne défend absolument pas les intérêts des petites et moyennes entreprises. Plus les organisations patronales sont privilégiées plus elles sont hypocrites. Les grands groupes paient à peine 18 % d'impôt sur la société et profitent des aident ...

le 17/10/2012 à 10:48
Signaler
de la pétition CGPME vous en faites quoi? c'est les TPE et PME et autoentrepreneurs qui créent des emplois et sont parasités par des impots plus forts, des charges sociales importantes et se font enmerder par certains salariés qui revendiquent des d...

le 17/10/2012 à 14:27
Signaler
Bon, en dehors de la pétition de 17000 signatures à laquelle je ne crois pas, vous ne faites que confirmer ce que je dis. Ceux qui trouvent que les salariés sont des "emerdeurs" ce sont ceux qui ne supportent pas le poid du travail et qui sont privil...

à écrit le 16/10/2012 à 23:37
Signaler
Parisot est nulle, Deng Xiaoping ferait mieux !

à écrit le 16/10/2012 à 23:33
Signaler
Et pendant ce temps là, personne ne parle de la guerre larvée entre le MEDEF et la CGPME !!! Pour le moment, c'est le coup de maître de ce gouvernement. Ils ont réussi à couper en deux le patronat. Ils n'étaient déjà pas très copains mais maintenant,...

le 16/10/2012 à 23:45
Signaler
La réalité des actualités c'est que le MEDEF est maintenant aussi extrémiste que la CGT et qu'ils sont irréconciliables (donc perdus pour la France à part pour faire du bruit) , et que la CFDT et la CGPME et le gouvernement beaucoup plus ouverts à la...

le 16/10/2012 à 23:58
Signaler
Nous sommes bien d'accord ! MEDEF, CGT ou Sud même combat. Des extrémistes ne cherchant qu'à protéger leurs avantages.

le 17/10/2012 à 7:34
Signaler
Pour l'instant la seule vérité c'est quand choisissant d'augmenter les impôts et taxes dans l'un des pays les plus taxés d'Europe plutôt que de diminuer les dépenses et réformer l'Etat et les collectivités locales, Hollande et Ayrault ont fait des ch...

le 17/10/2012 à 10:51
Signaler
Non, la vérité c'est que les multinationales paient moins de 10% d'IS alors que les PME paient à fond. Malheureusement, ce n'est pas près de changer parce que réduire l'IS pour les PME, c'est un manque à gagner pour les finances de l'Etat. Manque à g...

le 17/10/2012 à 11:41
Signaler
@Pistol "les multinationales paient moins de 10% d'IS alors que les PME paient à fond." Ce que vous dites est exact et cela confirme bien que la stratégie d'Hollande et Ayrault est une calamité. J'aimerais bien que vous m'expliquiez en quoi renforcer...

le 17/10/2012 à 23:14
Signaler
Ai-je écrit qu'il fallait taxer les PME ? Non ! Il faudrait rééquilibrer le niveau d'IS moyen REELLEMENT payé par nos entreprises. Càd un taux REEL d'IS plus faible pour les PME, plus élevé pour les multinationales. Tout le monde le sait mais depuis ...

le 18/10/2012 à 7:13
Signaler
Vous dites : "en partie grâce aux politiques " . Je suis sûr que c'est l'Entière Responsabilité des politiques ! Sinon, qui cela pourrait-il être??? Le malheur est que : Ils n'endossent Jamais leur Responsabilité !!!!

à écrit le 16/10/2012 à 23:14
Signaler
Le MEDEF ne représente que les grosses entreprises du CAC40 et utilise les petits pour essayer de maintenir ses avantages. Parisot essaye de ne pas se faire déborder et devient plus royaliste que le Roy. Mais comme pour taxation des plus values qui r...

le 16/10/2012 à 23:26
Signaler
Parisot se fou des petits patrons, elle est juste terrorisée par devoir payer un peu plus d'impôts ce qui pourtant ne l'empêcherait pas de mettre autant de truffes dans ses pattes ou de caviar sur ses toasts. Elle essaye juste de reproduire la tactiq...

le 17/10/2012 à 7:46
Signaler
Voui Parisot est en train de faire une connerie, elle est en train de couler les negos sur "le choc de compétivité" ... A se demander si elle ne le fait volontairement , les grosses entreprises du CAC n'en ayant pas besoin car elles utilisent les del...

à écrit le 16/10/2012 à 22:46
Signaler
Le poids de la fiscalité en France a toujours représenté un frein dans la transmission des PME, contrairement à l'Allemagne. Car l'État en veut toujours plus, quelqu'en soit la justification. Avec les nouveaux dispositifs fiscaux, cette situation ne ...

à écrit le 16/10/2012 à 22:15
Signaler
Ce n'est pas bien sûr pas de la colère : le MEDEF est simplement réaliste face à la situation d'urgence du pays. Même Najat Vallaud-Belkacem en est consciente. La minustre des droits de la femme et porte parole du gouvernement, avoue en effet que "la...

le 16/10/2012 à 22:39
Signaler
Par contre, expliquez-nous pourquoi le medef veut que les salariés français soient alignés sur les Chinois. Autant qu'il déménage en Chine. Il sera le plus heureux des syndicats.

le 17/10/2012 à 7:34
Signaler
le peuple doit se soulever pour mettre a sac cette societé du fric ,prenons exemple sur les pays arabes ils nous montre le chemin

à écrit le 16/10/2012 à 21:33
Signaler
Heureusement que le medef est monte au creneau pour expliquer au gouvernement toute l absurdite d une fiscalite retrograde et confiscatoire. Pourquoi se battre tous les jours 80h par semaine si c est pour voir l etat vous taxer les 2/3 du fruit de vo...

le 16/10/2012 à 23:21
Signaler
C'est zero si tu veux être rentier (si par exemple après seulement 3 ans de boulot a 80h semaine comme tu dis, tu revends ta boite pour ne plus rien glander , si tu revends pour réinvestir c'était déjà exonéré en France et c'était prévu de le rester...

à écrit le 16/10/2012 à 20:46
Signaler
Vaudrait mieux dissoudre le MEDEF , les syndicats eux servent à quelque chose . Le MEDEF est trop puissant pour que nos politiciens ose lui barrer la route et de le renvoyer dans sa nidhe (fiscale )

le 16/10/2012 à 22:05
Signaler
Alors la mais vraiment n'importe quoi !!!!! On imagine bien votre penchant politique.... Dans une démocratie il faut un pouvoir et un contre pouvoir pour tout autrement c'est la porte ouverte à la dictature. Comme on dit l'enfer est pavé de bonne int...

le 16/10/2012 à 22:17
Signaler
jbaltazar67 comme vous le dites si bien mieux vaut dissoudre le MEDEF, les syndicats eux servent à quelque chose, moi étant syndiqué et payé mes cotisations syndicale pendant 17 ans, quand je leur ai demandé de l'aide car j'ai été licencié ils m'ont ...

le 16/10/2012 à 23:36
Signaler
MEDEF - CGT même combat : les deux sont autant extrémistes. Seul le système chinois (dictature "communiste" ultra libérale) peu les réconcilier , sauf que labas pas de MEDEF ni de syndicat , c'est le PC Chinois qui décide de tout , et le Parti Commun...

le 16/10/2012 à 23:41
Signaler
Les syndicats ne servent absolument a rien en FRANCE

le 18/10/2012 à 12:13
Signaler
Meme si il y a des dérives des syndicats plus extremes (CGT et MEDEF), les syndicats modérés ont permis de conserver pas mal d'acquis sociaux dont vous profitez donc faites profil bas svp...

à écrit le 16/10/2012 à 20:45
Signaler
Encore un article qui passe à coté du vrai sujet. faut-il être bête pour ne pas voir que l'important c'est d'aider l'entrepreneur et non l'enfoncer comme l'ont fait tous les gouvernements successifs depuis 40 ans soutenus par de plus en plus de franç...

le 16/10/2012 à 23:47
Signaler
Et qui va faire vivre les entrepreneurs si il n'y a plus de clients ?

le 17/10/2012 à 9:07
Signaler
et que vont devenir les "entrepreneurs" s'il n'y a plus de salariés taillables et corvéables à merci , ou d'employés ne voulant plus etre exploités;????

à écrit le 16/10/2012 à 20:24
Signaler
On peut dire que ces 50 dernières années le grand patronat a été plus qu'assisté. En réalité le Medef ne défend que ses propres intérêts. Ceux qui ont le plus besoin d'aident ce sont les petites et moyennes entreprises, car contrairement aux multinat...

le 16/10/2012 à 21:53
Signaler
La seule mascarade qui apparaît dans votre diatribe, c'est votre niveau de français.

le 17/10/2012 à 14:44
Signaler
En dehors de me faire remarquer mon niveau de français, vous n'avez aucun autre argument, du coup votre manière de me répondre se rapproche bien plus d'une "diatrie" que mon petit commentaire. Mais je peut comprendre que pour ceux qui sont du coté du...

le 17/10/2012 à 17:26
Signaler
L'opposition entre multinationales et PME est ridicule... D'ailleurs le Medef n'est pas uniquement constitué de multinationales. On voit bien le socialiste caché derrière ce commentaire. Pas la peine de faire semblant d'aimer les patrons de PME. ça n...

à écrit le 16/10/2012 à 20:00
Signaler
En Allemagne, les droits de succession ne sont peut-être pas ce qu'ils sont ici... même si les Pactes Dutreil permettent d'alléger l'addition

le 16/10/2012 à 22:43
Signaler
En Allemagne, les enfants ne reprennent peut-être pas l'entreprise familiale avec l'idée de se faire un maximum de pognon en la vendant... L'adage français selon lequel le grand-père crée la PME, le fils en profite et le petit-fils la coule se vérifi...

le 16/10/2012 à 23:40
Signaler
Houla , en France on est loin maintenant du petit fils , les nouveaux "entrepreneurs" veulent monter un business, le revendre au bout de trois ans pour aller se reposer comme bon rentier tranquilles en Belgique. Attendre 3 générations mais tu es fou,...

à écrit le 16/10/2012 à 19:53
Signaler
madame parisot, vous n'etes pas credible et vos cris d'orfraie n'effraient personne. Au lieu de faire de la politique , vous devriez vous asseoir à la table de négociations ( comme le fait le patronat allemand) au lieu de dire sempiternellement non ;...

à écrit le 16/10/2012 à 19:40
Signaler
un article de naze..nul il n'y a rien la dedans.

le 16/10/2012 à 20:19
Signaler
Prenez la peine de le relire car l'article explique d'abord pourquoi d'un coup d'un seul le MEDEF se transforme en partie d'opposition. Par ailleurs l'analyse croisee entre la France et L'Alllemagne enrichie nettement le propos. Apres on a le droit n...

à écrit le 16/10/2012 à 19:39
Signaler
Parisot n'est pas vraiment crédible. D'une part, elle représente surtout les groupes. D'autre part, sa soif de médiatisation la rend inaudible. Par contre, la CGPME est plus réaliste, pertinente et plus constructible. Donc, plus audible.

à écrit le 16/10/2012 à 19:35
Signaler
Les seuils et les impôts, tout bêtement ! Si les entreprises ne grandissent pas, c'est évidemment pour d'autres raisons que le court-termisme supposé des patrons puisque, par définition, il n'y a pas plus long-termiste qu'un patron. S'ils étaient sûr...

le 17/10/2012 à 13:52
Signaler
Et Hop ! Un guignol d'or et le prix spécial du jury pour Guignols de l'économie pour l'ensemble de son oeuvre ,et surtout en raison de ce nouveau commentaire superficiel, dogmatique qui ne peut convaincre que celui qui en est l'auteur François

à écrit le 16/10/2012 à 19:32
Signaler
J'ai été au adhérent MEDEF avec une TPE, ça ne veut rien dire. Le problème de Parisot, c'est qu'elle ne sait que "proposer" que des baisses de charges en échange de rien. Comme la TVA restauration. Comme son ami Thibault, chacune de ses propositions...

le 16/10/2012 à 22:45
Signaler
100% d'accord. Chaque avantage donné se transforme en arnaque pour le contribuable quelques mois plus tard. Je connais 3 cafetiers-restaurateurs. Les 3 ont investi dans un 4*4, pas dans la baisse de prix.

à écrit le 16/10/2012 à 19:13
Signaler
Il est clair que les adhérents du MEDEF auraient tout intérêt à faire travailler des Chinois avec des règles du travail aussi anti-sociales que dans leur cher pays. Soit, intégrons la Chine dans la Zone Euro, ainsi, la libre circulation des biens, se...

le 16/10/2012 à 19:48
Signaler
la france est a la derive il n'y aura plus d'entreprise dans deux ou trois ans aux vues des plans sociaux qui se multiplient , une recession au 4 ° trimestre , un etat d'esprit anti entrepreneurs illustré par le terme patron voyou voila le decor ma...

le 16/10/2012 à 20:12
Signaler
Je ne suis pas entrepreneur. Je ne fais QUE travailler des PERSONNES qui maîtrisent leur métier. Et je me suis fait approcher non seulement par le medef (éte), mais aussi par beaucoup d'autres corporations, sectes et religions. Si vous n'avez pas per...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.