Pacte de responsabilité : le "Oui, mais" de Pierre Gattaz

Sous la pression de l'Elysée et de ses pairs, le président du Medef esquisse un virage sur l'aile à propos du pacte de responsabilité et accepte de prendre des "engagements de moyens" mais pas de "résultats" pour des emplois en échange d'une baisse des charges des entreprises. Une rencontre avec les syndicats est prévue le 28 février.
Philippe Mabille

De retour des Etats-Unis où il a accompagné la visite d'Etat de François Hollande, à Washington puis à San Francisco, le président du Medef n'a pas tardé à découvrir les dégâts médiatiques de son "couac" sur les "contreparties" exigées par la gauche en échange des allégements de charges patronales.

Après avoir réaffirmé depuis les Etats-Unis qu'il n'y aurait pas "d'objectifs chiffrés" sur l'emploi, Pierre Gattaz a fait mine de faire machine arrière, suite à un sérieux recadrage avec l'Elysée qui lui a reproché cette sortie médiatique contradictoire avec l'objectif du voyage : montrer le visage d'une "équipe de France de l'économie" unie et cohérente. Le président du Medef, sous la double pression de la gauche qui a haussé le ton contre le Medef, mais aussi celle de ses pairs patrons, notamment les responsables de l'Afep, qui poussent à un accord avec le gouvernement, a donc complètement changé de discours... sur la forme. Il s'est ainsi fait applaudir à San Francisco devant la communauté française à la demande de... François Hollande, pour avoir indiqué que le Medef soutenait sans ambiguïté la démarche du pacte de responsabilité et sans reprendre le mot qui fâche de "contreparties", acceptait sa part en promettant des engagements "de mobilisation, d'objectifs et de moyens", pour créer des emplois. La nuance compte, mais le ton change.

De retour à Paris, Pierre Gattaz a enfoncé le clou en publiant sur le site du Medef, Medef TV, une vidéo empreinte de gravité et de solennité pour réaffirmer cet "engagement" et rappeler la position de son organisation. Fourbi de son désormais célèbre pin's "1 million d'emplois en cinq ans", le patron du Medef, dit découvrir "avec surprise les interprétations erronées" autour de ses déclarations et déclare accepter de passer "des mots aux actes" avec des objectifs "ambitieux".

 

Get Flash to see this player.

Source MEDEFtv

Le rendez-vous du 28 février

Des actes. Pierre Gattaz en propose un premier en invitant les partenaires sociaux à un premier échange le 28 février. Et un deuxième en promettant pour le courant mars "de documenter ces objectifs avec des chiffres à partager" qui seront autant "d'estimations" de ce qu'il est possible de faire, dans les différentes branches professionnelles. Mais, attention, prévient le patron des patrons : "recréer de l'emploi dans notre pays prendra des années, dépendra de la cohérence des mesures prises et demandera de la constance dans l'effort"...

Le gouvernement est prévenu. Les objectifs ne seront tenables que si tout est fait pour rétablir la compétitivité des entreprises par une baisse des charges sociales et de la fiscalité financée par une baisse de la dépense publique. "Il faut combler l'écart de 116 milliards d'euros qui nous sépare" de l'Allemagne et baisser "de 60 milliards d'euros les impôts et les charges des entreprises d'ici 2017", réclame le président du Medef.

Pas d'engagement juridique

Finalement, Pierre Gattaz a donc changé de discours, mais pas le fond de sa pensée. "Les soi-disantes contreparties" seront un "engagement de moyens" dans la "confiance", mais pas "des engagements de résultats dans un mode de défiance". Voilà François Hollande et la majorité prévenus : "les entreprises ne pourront jamais prendre d'engagement juridique de résultats dans un environnement instable et mondialisé". Pour Pierre Gattaz, "il faut cesser la démarche de contrainte-contrôle-sanction" et passer à celle combinant "incitation-simplification-confiance" : car "si le pacte de responsabilité se traduit par 50 pages de plus au code du travail et 150 de plus au code des impôts, nous aurons manqué totalement l'objectif et notre pays ne se relèvera pas".

Cette intervention du président du Medef, qu'il adresse aux Français à qui il veut tenir un "discours de vérité", autant qu'aux présidents des fédérations patronales et aux syndicats montre que le pacte de stabilité progresse dans les esprits. Si elle divise la gauche et perturbe la droite, elle est d'ailleurs largement soutenue par l'opinion.

Le patronat aussi est divisé sur les attraits du pacte

Mais comme le diable, la réussite du pacte se cache dans les détails. Car pour l'heure, on ne sait rien de la forme que prendront les futurs allégements de charges. Le Crédit d'impôt compétitivité emploi sera-t-il maintenu voire amplifié ? Ou remplacé par une suppression des cotisations patronales à la branche famille ? Comment se conjuguera-t-il par ailleurs avec les autres allégements de charges Aubry-Fillon pour les salaires allant de 1 à 1,6 smic ? Tous ces points restent dans l'ombre et complique sérieusement l'accouchement du pacte. Ces inconnues divisent aussi fortement le Medef entre les branches industrielles qui réclament des allégements ciblés allant jusqu'à 3,5 smic, et celles des services, comme la distribution, qui craignent d'être perdantes à ce jeu de bonneteau social. C'est sans doute dans ces tensions internes au patronat que se trouve l'explication de l'intervention de Pierre Gattaz, contraint à faire la couture entre un patronat pluriel, des syndicats qui hésitent à part la CFDT à conclure un accord, une gauche de la gauche qui conteste la logique même de ce qu'elle appelle "un cadeau" au patronat et un président de la République qui joue le sort de son quinquennat sur ce pari audacieux.

 

 

 

Philippe Mabille
Commentaires 66
à écrit le 18/02/2014 à 2:11
Signaler
Plus je le vois et lis ses saillies, plus je regrette que Laurence Parisot n'ai pu réussir son putsch ! M. Gattaz ne rassemble pas, il divise, sa communication est brouillonne et il est pétri de ces années de combats patronats contre syndicats d'un a...

à écrit le 17/02/2014 à 18:58
Signaler
un seul régime de travail, de cotisation, de retraites pour tous et de suite... la vraie justice...et un code du travail de 54 acrticles comme en suisse et non nos 11000 articles.... la honte à l'échelle de la planète, l'inefficacité totale ...l'admi...

à écrit le 17/02/2014 à 18:55
Signaler
tout d'abord les socialos tuent l'emploi par le simpôts et taxes (baisse du pouvoir d'achat et augmentation des charges, record d'europe) et attendant une baisse du chômage avec cette asphyxie de l'économie....il faudrait peut être diminuer les impôt...

à écrit le 17/02/2014 à 16:11
Signaler
EGALITE ET FRATERNITE : même régime pour tous, l'administration française n'a eu de cesse de s'octroyer régulièrement des petits avantages, qui cumulés, sont ruineux, sans parler de l'incompétence des élus locaux dans les domaines de la gestion. c'es...

à écrit le 17/02/2014 à 14:46
Signaler
Ce n'est pas lintervensionnisme de l'état qui peut changer l'économie, mais l'état dans lequel les entreprises françaises se trouvent. Aujourd'hui elles sont 'exsangue' et les inégalités françaises font réagir "tout le monde" sur la base des petits a...

à écrit le 17/02/2014 à 13:39
Signaler
Le code du travail et les conventions collectives sont devenus totalement illisibles : il faut simplifier tout ça, avec l'adoption de la règle : "une convention collective se substitue au code du travail, charge aux négociateurs se conforment au code...

à écrit le 17/02/2014 à 13:36
Signaler
Comparez le nombre d'entreprises de 9 salariés avec le nombre d'entreprises de 10 salariés : chacun comprendra que les seuils sociaux empêche la création d'emplois ! Relevons ces seuils de 10 à 25 ou 30, de 100 à 250 ou 300 salariés, et vous verrez l...

à écrit le 17/02/2014 à 13:33
Signaler
Il faut impérativement simplifier le recrutement de la manière suivante, par exemple : un nouveau contrat de travail, pour lequel l'employeur cotiserait à un fond à hauteur de 15% du salaire net. En contrepartie, l'employeur comme le salarié pourrait...

le 17/02/2014 à 13:41
Signaler
L'état ne veut que se remplir les poches grâce aux cotisations sociales. Que le salarié gagne plus n'est pas sa préoccupation, au contraire. Il serait par exemple logique de réduire les cotisations sociales quand l'activité économique marche bien, ho...

le 17/02/2014 à 16:52
Signaler
simplifier? mais vous allez mettre au chômage les comptables, conseillers fiscaux, juristes, contrôleurs des impôts,.....

à écrit le 17/02/2014 à 13:01
Signaler
Alors monsieur le président n en est ou avec ce pacte de responsabilité , c est vrai il vaut mieux attendre le choc des élections à venir

à écrit le 17/02/2014 à 11:47
Signaler
Aucun pays n'a tout ce baratinage. on occupe la galerie.

à écrit le 17/02/2014 à 11:18
Signaler
la ligne lancée à volo est tendue ! une prise a mordu quel est donc ce beau poisson !

à écrit le 17/02/2014 à 10:50
Signaler
Il faudrait tout de même parvenir à s'entendre sur ce qu'est une entreprise ; un regroupement de moyens avec ceux en ressources humaines - le mot personnel banni depuis longtemps- qui sont la principale variable d'ajustement des comptes d'exploitatio...

à écrit le 17/02/2014 à 9:22
Signaler
Avec ce qu'ils m'on pris sur les dividendes ce petit cadeau ira direct on my pocket merci Hollande

à écrit le 17/02/2014 à 9:18
Signaler
gattaz n'a rien à promettre . De toute façon françois h c'est déjà engagé à supprimer les cotisations familles et baisser les impôts sur les sociétés alors tout est dit.

à écrit le 17/02/2014 à 9:10
Signaler
Du CNPF au MEDEF, on ne peut pas dire qu'à la tête de ces organisations il y ait eu des lumières, et encore moins des visionnaires. Des harpagon, des grippe-sous, de petits comptables, des valets au service de leurs pairs, beaucoup plus malins, qui l...

le 17/02/2014 à 11:38
Signaler
En total accord avec vos propos... vous avez oublié "les fils à Papa"...!

à écrit le 17/02/2014 à 7:18
Signaler
le consanguin du patronnat!!

le 17/02/2014 à 17:40
Signaler
>canari En deux mots?

à écrit le 17/02/2014 à 6:59
Signaler
Mr Gattaz...! Il faut vite démanteler cette organisation MEDEF... ... Ce Mouvement pour l'Esclavage Des Employés Français...! ;o) Et cette semaine on va donner Peugeot pour une bouchée de pain au chinois et l'on entend peu de protestations......

à écrit le 17/02/2014 à 0:22
Signaler
Les patrons se plaignent de payer 30 milliards de charge en trop, mais ne disent rien sur les 65 milliards qu'ils reçoivent tous les ans... Ils dénoncent aussi un code du travail compliqué, alors que ce sont les conventions collectives qui sont incom...

le 17/02/2014 à 17:01
Signaler
Allez un jour regarder un compte d'exploitation et amusez-vous à faire des simulations plutot que de rester dans de vagues idées et vous comprendrez...

à écrit le 17/02/2014 à 0:20
Signaler
Je pense que la plaisanterie a assez duré au sujet du pacte de responsabilité et des contreparties Le MEDEF ne veut pas de contreparties à la réduction des cotisations familiales , François Hollande devrait en prendre bonne note et dire pas de cont...

le 17/02/2014 à 7:57
Signaler
Les 30 milliards ne sont pas dans un coffre dans l'attente d'une affectation quelconque. Ce sont des recettes de charges que l'état abandonne. S'il ne le fait pas les entreprises mourront pour beaucoup ou réduiront la voilure pour beaucoup d'autres. ...

le 17/02/2014 à 17:06
Signaler
La base serait de les affecter à qui de droit surtout (PME -20 salariés) et de ne pas négocier avec le Medef qui effectivement représente majoritairement des sociétés cotées dont le but est le pur profit. Quant à Labradorinfo... que dire !?... allez...

le 17/02/2014 à 17:45
Signaler
>Lucide "S'il ne le fait pas les entreprises mourront pour beaucoup ou réduiront la voilure pour beaucoup d'autres." Si elles meurent, c'est qu'elles ne sont pas rentables et/ou ne correspondent pas à des services utiles à la société. Si elle...

le 17/02/2014 à 20:58
Signaler
> huhu Êtes vous Robert Hue ? A vous lire on pourrai le croire !

le 18/02/2014 à 18:35
Signaler
>Lucide Visiblement, le libéralisme et vous, ça fait deux. D'un autre côté, il y a maintenant un test irrésistible pour savoir si l'on a un entrepreneur ou un clown: un entrepreneur serre les dents et apprends de ses échecs, un clown vient ch...

à écrit le 16/02/2014 à 23:17
Signaler
Cette histoire de pacte n'a aucun sens. L'Etat dépense trop : il doit réduire ses dépenses et les charges excessives qui en découlent. L'Etat n'a besoin d'autorisation de personne. En réalité, Hollande sait qu'il échouera et prépare simplement la com...

le 17/02/2014 à 11:05
Signaler
un régime à la grec. les grecs ont sabré deans les dépenses publiques et la dette a augmenté ainsi que le chomage

le 17/02/2014 à 17:11
Signaler
@aie aie Arrêtons avec ça, avant de se mettre au régime à la grecque nous avons BEAUCOUP de marges. Un exemple ? La gestion des congés payés... quand un fonctionnaire a le droit de poser 10 jours/an de congés enfants malades... ce ne sont pas 10 jo...

à écrit le 16/02/2014 à 23:09
Signaler
Les hommes/femmes politiques en France ne font quasiment que des bêtises. Tout simplement parce qu'lis réfléchissent pour leur intérêt personnel et éventuellement pour l'intérêt de leur proches (famille, partie politique etc). En tout cas certainemen...

à écrit le 16/02/2014 à 23:01
Signaler
Pour la question de l'emploi, on parle de 39h payées 35, c'est dans le pacte? En quoi la compétitivité est-elle nécessaire?

à écrit le 16/02/2014 à 22:42
Signaler
Le patronat Français est assez tordant. Tordant car il n'a absolument aucune idée des réalités. Lu dans les commentaires des chefs d'entreprise qui souffrent, qui veulent vendre leur entreprise, qui se disent écrasés par les salariés, les charges, ...

le 17/02/2014 à 19:30
Signaler
Entièrement d'accord avec vous, pour eux qui vivent dans le luxe pendant que leurs employés vivent dans la misère!!!!

à écrit le 16/02/2014 à 22:35
Signaler
Pour un PATRON cela n'est pas très Intelligent, Faire marche arrière toutes. Comment voulez vous que l'on soit crédible vis à vis des Grands Pays. Je ne sais s'il a déjà travaillé, comme simple ouvrier ! Il à besoin de retourner à l'école, en commenç...

à écrit le 16/02/2014 à 22:00
Signaler
Pierre Gattaz?! Mais qui peut prendre au sérieux un héritier? Et plus, qui peut prendre au sérieux l'héritier d'Yvon Gattaz, un sacré neuneu à la base...

à écrit le 16/02/2014 à 21:26
Signaler
La présomption d'innocence prévalant encore dans notre pays, on ne dira pas que ce pacte est un marché de dupes en bande organisée mais je n'en pense pas moins !

à écrit le 16/02/2014 à 20:59
Signaler
Le pacte anti-social et contre-performant ou bien de responsabilité? C'est par rapport au chômage? Si on prend la pente des PO depuis 2010, on a une moyenne de +45 MILLIARDS par an... alors on est en bas, roue libre vers l'enfer sur une Europe terre ...

à écrit le 16/02/2014 à 20:45
Signaler
ce charlot ne sait +quoi raconter .l'intelligence ne transpire pas au medef ,quant à la politesse!!!! .à l'époque du franc les patrons demandaient des dévaluations pour être compétitifs ,aujourd'hui ils demandent des aides .

à écrit le 16/02/2014 à 20:43
Signaler
Quand je pense que Mr Gattaz est allé faire "l'accompagnateur de luxe" de Fleur Pellerin au CES de Las Vegas, peut être qu'il croyait que le gouvernement voulait vraiment réformer : Quelle blague! Moi je suis petit patron depuis +de 15 ans et j'ai ap...

à écrit le 16/02/2014 à 20:13
Signaler
Les patrons français ne savent faire qu'une chose pleurer des aides, des subventions, c'est tout ce qu'ils sont capables de réaliser, toujours à pleurer qu'ils payent de trop de ceci, trop de cela, mais pour toutes les aides qu'ils touchent là, on ne...

le 16/02/2014 à 20:40
Signaler
Vous confondez les grands groupes internationaux français ou étranger pour les aides étatiques mais cela ne concerne en rien les 90 % d'entrepreneurs en France. Les commerçants, artisans, PME et PMI elles ne reçoivent rien du tout et vous devriez les...

le 16/02/2014 à 20:46
Signaler
lolo à raison, ce sont les grosses entreprises qui siphonent toutes les aides d'état et pendant ce temps-là les petits tombent comme des mouches. 700 faillites par semaine en ce moment. La droite comme la gauche est responsable de ce massacre.

le 16/02/2014 à 21:50
Signaler
Il faudrait peut être aussi que certains petits patrons se remettent en question: quand tout le monde se met à ouvrir en même temps des magasins de cigarettes électroniques sans se poser la question de la saturation du marché par exemple, c'est qu'il...

à écrit le 16/02/2014 à 19:48
Signaler
Le jeu n'en vaut plus la chandelle. Diriger une entreprise en France consomme trop de santé. Le gain n'est plus à la hauteur. La gestion du personnel c'est l'enfer, le marché français dégringole depuis que Hollande est là, et comme il faut mettre de ...

à écrit le 16/02/2014 à 19:16
Signaler
Pauvre riche !

le 16/02/2014 à 19:20
Signaler
... Pauvre d'esprit !!!!!!!!!!!!!!!!!!

le 16/02/2014 à 19:28
Signaler
J'avais 300 salariés ... j'ai fait 3 AVC ... la moralité est de quel coté ???

le 17/02/2014 à 4:23
Signaler
et dans vos salaries combien d'AVC ? D'infarctus...et que vient faire la moralité dans tout ça ?

à écrit le 16/02/2014 à 19:09
Signaler
Exemple typique ma secrétaire attrape un cancer une maladie... bref compte tenu de sa santé je lui aménage un poste à domicile ... liaison par internet ... etc ... je ne vais rentrer dans les détails .... l'inspec...

le 16/02/2014 à 19:19
Signaler
... et je suis malade aussi !

le 16/02/2014 à 20:36
Signaler
@Gorillaz : on ne parle jamais assez de la tension exercée sur les dirigeants d'entreprises ! Acceptez, s'il vous plait, toute ma sympathie et conservez vos passions !

le 16/02/2014 à 23:42
Signaler
"Gorillaz a répondu le 16/02/2014 à 19:19: ... et je suis malade aussi !" Champagne! Bientôt un patron de moins!

le 16/02/2014 à 23:56
Signaler
@Red! : quelque chose ne va pas chez vous, mon ami !?

à écrit le 16/02/2014 à 19:02
Signaler
Rappel indispensable: en 2012-2013, les hausses de charges sur les entreprises françaises se sont élevées à 30 milliards. Pour faire passer la pilule, Hollande a promis un CICE de 20 milliards à partir de 2014-2015 ! Maintenant, il se ramène avec un ...

le 16/02/2014 à 20:17
Signaler
Précision: le "pacte" de Hollande de 2014 INCLUS le CICE. !!!

à écrit le 16/02/2014 à 18:54
Signaler
Commençons par remonter les seuils sociaux: de 10 à 25 salariés, et de 50 à 150 salariés ! Ca ne coute RIEN à l'état, et ca enlève un poids aux PME !!

le 16/02/2014 à 20:37
Signaler
rigolo

à écrit le 16/02/2014 à 18:26
Signaler
Coté fonctionnaire y' a du boulot à faire ... j'ai vendu mon entreprise en décembre ... la demande d’autorisations de transport des repreneurs à été déposée en novembre 2013 .... en principe elles seront effectiv...

le 16/02/2014 à 19:01
Signaler
parceque ce n était pas pareil du Temps de Sarko!!!,,sont marant tous ces gus qui pensent que les gens sont a leur disposition,,il y a une procédure et elle est pareil pour tout le monde,,tous ces gugus qui crachent a longueur de temps sur les servic...

le 16/02/2014 à 19:40
Signaler
C'est bien tout le problème des fonctionnaires, on les paye mais ils ne sont pas à notre disposition ... au moins dans le privé si quelqu'un ne fait pas l'affaire, on va ailleurs ! mais la fonction publique il faut se la taper de force et à un coup d...

à écrit le 16/02/2014 à 18:17
Signaler
Et la démocratie et la Libre Entreprise. Mais surtout pas la politique interventionniste de gouvernants ne sachant pas gère un budget qu'ils soient de gauche ou de droite. C'est l'entreprise qui fait l'économie d'un pays pas les petits arrangements e...

le 16/02/2014 à 19:07
Signaler
on va encore filer des tunes a des parasites qui vont s empresser d augmenter leur bénéfices,ou leur salaires,,c est bon on a asser donner,,,les tunes devraient etre distribuées apres vérification par un inspecteur du travaille,et fiscale,,,on a vu a...

le 16/02/2014 à 19:43
Signaler
Camarade on ne donne pas des tunes comme vous dites, on évite d'en piquer pour leur laisser une chance de survivre face à la concurrence. Mais la concurrence vous ne connaissez pas d'après votre poste précédent...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.