E-commerceSix chaines de cinema americaines creent ensemble une entreprise Internet pour permettre aux particuliers d'acheter et imprimer leurs tickets chez eux. Loews Cineplex Entertainment, Regal Cinemas, Cinemark Cinemas, General Cinema Theaters, Edwards Theaters et Century Theaters possedent 12000 ecrans en Amerique du Nord et ont vendu 600 millions de tickets en 1999. Deux capital-risqueurs, General Atlantic Partners et Accretive Technology Partners, ont participe a l'investissement de 30 millions dedollars.(Source : The Industry Standard)TechnologieMCI WorldCom teste des services Internet a haut debit et sans fil dans 3 villes : Jackson, Baton Rouge et Memphis. Il s'agit de se passer des infrastructures du cable TV et du telephone. MCI WorldCom et Sprint, en cours de fusion, s'accordent sur la technologie Multichannel Multipoint Distribution Service, aussi appelee sans-fil-fixe car le client ne bouge pas comme avec un mobile.(Source : AP Technology)E-commerceIkea, le distributeur suedois d'ameublement pour la maison, s'installe dans la baie de San Francisco. Son site Web propose aux internautes d'inviter leurs amis a l'ouverture du nouveau magasin en echange de coupons de reduction. Pour 5 contacts, l'internaute obtient un rabais de 25 dollars sur un achat de 150 dollars. Cette pratique a succes permet de transformer les clients en vendeurs, mais peut toutefois etre apparentee a du spamming (envoi d'e-mails non sollicites) et nuire a l'image d'IKEA.(Source : CNET)TechnologieInternet Capital Group vient de proceder a sa plus importante acquisitionen investissant pres de $657 millions dans RightWorks, fabricant delogiciels utilises pour les echanges B2B. RightWorks compte deja parmi ses clients la banque Wells Fargo ou encore VerticlaNet. Les termes de l'acquisition precisent qu'Internet Capital prevoit d'utiliser la technologie de RightWorks pour renforcer ses parts de marche dans le domaine du numerique.(Source : InternetNews.com)E-commerceHomegrocer.com est sur le point de realiser son introduction en bourse. Wall Street doute desormais de la rentabilite de ces modeles, en concurrence tres forte avec les chaines alimentaires traditionnelles qui se developpent sur Internet. Il y a encore quelques mois, lesinvestisseurs americains ne juraient que par ces valeurs montantes. Une etude de Jupiter Communications demontre la faible part du marche de l'epicerie en ligne (moins de 1% des 440 milliards de dollars issus du marche traditionnel).(Source : Los Angeles Times)

latribune.fr

20 Oct 2008, 10:42

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