Réduire les limitations de vitesse, c'est freiner la croissance et l'emploi

Le 10 janvier, la vitesse maximale autorisée sur le périphérique parisien passera à 70 km/h, contre 80 actuellement. Le gouvernement souhaite étendre cette mesure aux routes et autoroutes nationales.. mais les conséquences sur la croissance et l'emploi, assez méconnues, seraient négatives... Par Jean Poulit, ancien directeur général de l'Institut géographique national.
Réduire la limitation de vitesse de 10 à 20 km/h sur tous les types de route, et notamment le périphérique, pourrait avoir des conséquences désastreuses sur l'économie... | REUTERS

Le Conseil National du débat sur la Transition énergétique de la France décrit dans sa synthèse publiée le 18 juillet 2013 quinze enjeux majeurs, dont l'enjeu n° 6 : "pour une mobilité durable". Cet enjeu comporte notamment la proposition de limiter les vitesses sur les autoroutes (de 130 à 120 ou 110 Km/h), les routes (de 90 à 80 km/h) et en ville (de 50 à 30 km/h sur 80% de la superficie des zones urbaines en maintenant à 50 km/h la vitesse sur la partie la moins centrale). Cette proposition est assortie de la mention "après étude d'impact".

Une perte annuelle de 39,5 milliards d'euros

L'objet de la présente note est d'apporter une contribution à l'évaluation recommandée. Je le fais sans aucun esprit polémique, en réaffirmant tout l'attachement que je porte à une politique ambitieuse de sécurité routière et à des mesures favorables à notre environnement.

J'ai été en effet chef du service de l'exploitation et de la sécurité routière, initiateur de l'opération Bison Futé, et directeur général de l'agence pour les économies d'énergie, initiateur de la Chasse au Gaspi. Mon sentiment profond est que nous prenons collectivement des risques sérieux en envisageant une telle mesure car elle aurait pour effet d'induire une perte économique annuelle de 39,5 milliards d'euros et de réduire ainsi de près de 2 points notre Produit intérieur brut.

 Lorsque l'on présente cette mesure, on évoque son impact positif sur l'effet de serre et sur le nombre de morts et de blessés épargnés (qui n'y serait pas favorable!) mais jamais son impact négatif sur le fonctionnement de notre économie. Or, elle aura un fort effet dépressif sur l'économie du pays alors qu'existe toute une panoplie de mesures qui savent concilier écologie, sécurité et vitalité économique, auxquelles il convient d'accorder, bien entendu, la priorité.

Diminuer la distance moyenne parcourue : un grand risque économique

Contrairement à une idée intuitive,la réduction de la vitesse sur route et autoroute ne conduit pas, statistiquement, à augmenter les temps de trajet mais à diminuer la distance moyenne parcourue par trajet, ce que l'on appelle la portée du déplacement. Il en résulte une perte d'efficacité économique. 

La fonction économique essentielle d'un territoire desservi par un réseau de transport est en effet d'assurer la meilleure synergie possible entre les compétences de plus en plus diversifiées des actifs et les spécificités de plus en plus avancées des emplois qu'ils convoitent pour exercer leurs talents.

 

Les employeurs et les jeunes seront les premiers touchés

Lorsque la zone de chalandise des emplois est amputée du fait de la réduction des portées de déplacement, la synergie est mise en défaut et il y a baisse de productivité des actifs, donc de la richesse produite. A quoi cela sert-il de former de mieux en mieux les jeunes français si on leur interdit simultanément d'accéder commodément aux emplois correspondant à leurs compétences ? 

 La réciproque est bien entendu vraie pour les employeurs. Un créateur d'emploi souhaite attirer les compétences de l'actif le mieux à même de tenir l'emploi créé. De nombreux employeurs ne trouvent pas aujourd'hui les compétences recherchées. Qu'en sera-t-il demain si le nombre d'actifs auxquels ils peuvent faire appel dans un temps de transport donné décroit du simple fait d'une décision administrative. Le citoyen automobiliste ressent ainsi intuitivement le fort impact négatif que peut avoir la mesure sur sa vie quotidienne.

 
Une vitesse moyenne réduite de 14,2%

Une réduction des vitesses limites de 10 km/h sur autoroutes, voies express, routes traditionnelles, limitées aujourd'hui à 130 km/h, 110 km/h et 90 km/h, et de 20 km/h sur les routes à dominante urbaine, limitées aujourd'hui à 70 km/h et 50 km/h réduira, sur la première famille d'infrastructures, d'environ 9% la vitesse limite des véhicules et, sur la deuxième famille, d'environ 35%. Comme la première famille écoule 80% du trafic et la deuxième 20%, on obtient une moyenne pondérée de réduction de 14,2%. La vitesse moyenne qui est égale à environ 85% de la vitesse limite sera donc également réduite de 14,2%.

 Si on prend en considération l'ensemble des déplacements motorisés, comprenant notamment les transports ferrés (SNCF et RATP) et aériens intérieurs qui ne sont pas influencés par les limitations de vitesse applicables aux transports automobiles et qui représentent environ 11,5% des kilomètres parcourus en transports motorisés, de l'ordre de 100 milliards de personnes kilomètres par an sur 870 milliards de personnes / kilomètres, on trouve une réduction de la vitesse moyenne de 12,5% (88,5% de 14,2%).

 
Un budget temps universel et un nombre de déplacements quotidiens stable

On sait parfaitement déterminer l'impact qu'a sur le Produit intérieur brut du pays une réduction des vitesses moyennes. Les observations résultant d'enquêtes de transport pratiquées depuis plus de 30 ans font clairement apparaître une stabilité du "budget temps" consacré par les habitants à leurs déplacements quotidiens, quelles que soient les améliorations apportées aux infrastructures de voirie et de transport. Ce budget temps est de 1 heure 23 minutes sur 24 heures. Il s'agit là d'un invariant universel, observé dans tous les pays du monde.

On constate également une stabilité remarquable du nombre de déplacements effectués quotidiennement : 3,5 déplacements par jour, dont 2,5 motorisés et 1 à pied de plus de 300 mètres. Le temps moyen d'un déplacement motorisé est de 29 minutes, celui d'un déplacement à pied de 14 minutes.

Le gouvernement s'est trompé de variable

Lorsqu'une infrastructure de transport efficace est mise en service, le nombre de déplacements et le temps moyen de déplacement ne varient pas. Par contre la vitesse des déplacements progresse, la portée des déplacements augmente, le territoire accessible dans un temps donné s'épanouit, le nombre de destinations entre lesquelles un choix peut être effectué s'amplifie, le choix de la destination devient plus pertinent et il y a création de valeur, c'est-à-dire augmentation du produit intérieur brut.

 Il est donc très important de comprendre que, contrairement à ce que notre intuition nous laisserait penser, si la vitesse moyenne varie, la variable d'ajustement n'est pas le temps de transport à distance parcourue égale mais la distance parcourue à temps de transport constant: si la vitesse moyenne augmente, la portée du déplacement croît ; si elle diminue, la portée décroît.


La relation avec le PIB démontrée

La formulation qui établit la relation entre le supplément de richesse produite et le nombre de destinations pertinentes identifiables au sein d'un territoire commodément accessible, par exemple un territoire délimité par le double du temps moyen de transport, soit une heure, c'est-à-dire la part du PIB due à l'effet de synergie collective découlant de la mise en interrelation des acteurs économiques, résulte d'analyses approfondies effectuées depuis 30 ans.

Cette formulation est corroborée par une analyse portant sur 16 agglomérations françaises de taille croissante, de Guéret à l'Ile de France. Elle est également corroborée par une étude portant sur les territoires entourant les 36 000 communes de France. Elle est enfin vérifiée sous la forme d'observations de l'augmentation de création de richesse à l'ouverture d'infrastructures nouvelles : autoroute A87 Angers La Roche sur Yon, autoroute A89 Bordeaux Clermont Ferrand, 3 lignes de tramway de Bordeaux.

 

Le logarithme du fonctionnement territorial

Cette création de richesse n'est pas proportionnelle au nombre d'emplois entre lesquels un choix pertinent peut être effectué mais à l'augmentation relative de ce nombre d'emplois. Il faut doubler le nombre d'emplois commodément accessibles pour augmenter d'une valeur donnée la création de richesse. En termes mathématiques, on appelle cela un logarithme. Pour ceux qui n'aiment pas les logarithmes, on peut évoquer les octaves d'un piano. Chaque fois que la fréquence des cordes double, on croit d'une octave.

 Il en est de même pour les conditions de fonctionnement d'un territoire. Chaque fois que le nombre d'emplois accessible dans une heure double, la richesse produite par un actif augmente d'une valeur donnée. On peut donc se situer dans les octaves élevées ou dans les octaves basses. C'est le choix qui s'offre à ceux qui ont le pouvoir d'imposer des limitations de vitesse : maintenir les octaves économiques d'aujourd'hui ou jouer dans un registre d'octaves économiques plus réduites.

 
Une réduction du territoire, des emplois, des commerces... de 23,44% à temps de trajet constant

Le nombre d'octaves est lié au nombre d'emplois accessibles dans une heure, E. Ce nombre E, on le conçoit aisément, est proportionnel à l'étendue du territoire accessible en une heure et à la densité d'emplois au sein de ce territoire. Le territoire accessible dans un temps donné est très sensible à la vitesse du système de transport qui le dessert. En une heure, en effet, le résident parcourt une distance qui est égale à la vitesse. L'étendue du territoire auquel il peut accéder varie comme le carré de la distance parcourue, c'est-à-dire comme le carré de la vitesse, ce qui témoigne de l'importance critique de ce facteur.

Une réduction de la vitesse moyenne de 12,5% a pour effet de réduire de 23,44% le territoire accessible, à temps de trajet constant. Cela signifie que le marché de l'emploi accessible en une heure baisse de 23,5%, que les commerces et les équipements commodément accessibles baissent également en nombre de 23,5%.

 
Une réduction de 1,94% du PIB d'ici quatre ans

La formule qui donne le supplément de richesse produite en fonction du nombre d'emplois accessible en un heure par rapport à une situation d'isolement, dont les caractéristiques ont été rappelées ci-dessus, fait apparaître dans cette hypothèse, par effet de diminution de la synergie entre les actifs et les emplois, une réduction du produit intérieur brut de 1,94%, soit de 39,55 milliards d'euros par an, le PIB français atteignant, en 2013, 2043,38 milliards d'euros.

 Cet effet mettra 3 à 4 ans à se manifester pleinement, le temps que l'ensemble des actifs ait changé de lieu d'emploi, mais, dès la première année, son impact sera puissant. L'effet est donc sérieux et doit être pris en considération avant d'arrêter une décision définitive.

 

Un effet sur le coût des transports

Le parc automobile français comporte 30 250 000 voitures individuelles. Le kilométrage moyen annuel d'un véhicule est de 13 100 kilomètres. Le kilométrage total parcouru par le parc automobile français est ainsi de 396 milliards de kilomètres par an.

Une réduction de 12,5% des distances parcourues conduit à une économie de trajets de 49,50 milliards de kilomètres annuels. Le coût de fonctionnement, au kilomètre roulant, d'une voiture de 6 CV, puissance moyenne d'une voiture française, est de 0,205 euro en 2013 (1). On obtient ainsi une économie monétaire de 10,15 milliards d'euros par an, soit 26 % de la perte enregistrée au niveau du PIB. Dans ces 10,15 milliards d'euros, l'économie d'énergie représente 35,1% (0,072 euro/km), soit 3,56 milliards d'euros.

Pour ce qui concerne le temps consacré aux déplacements, comme il ne varie pas, il n'y a pas d'économie à prévoir à ce titre.

 

Un effet sur le bilan carbone dérisoire

L'émission moyenne des voitures particulières françaises s'élève à 176 grammes de CO2 par kilomètre parcouru, soit 48 grammes d'équivalent carbone. Sur la base d'un coût de 100 euros par tonne de carbone équivalent émis (valeur 2000) ou encore de 126 euros par tonne en 2013, on obtient un coût de 0,00605 euro par kilomètre parcouru, soit environ de 0,0060 euro par kilomètre parcouru (2).

Les économies liées à la réduction de l'effet carbone peuvent donc être estimées à la valeur suivante : 49,50 milliards km x 0,00605 €/km = 0,299 milliard d'euros par an. L'effet favorable de la réduction des émissions de carbone liée à la réduction des vitesses limites autorisées est ainsi 132 fois plus faible que la perte de Produit Intérieur brut induite par cette mesure.

 

Un effet sur la sécurité routière...

Le coût moyen de l'insécurité sur les routes et autoroutes françaises est en 2013 de 0,0410 euro par kilomètre parcouru (3). D'après la délégation interministérielle à la sécurité routière, la vitesse est impliquée dans 27% des accidents mortels de la circulation. On peut admettre un taux équivalent pour l'ensemble des accidents corporels, le bilan des accidents mortels représentant, à lui seul, la moitié du bilan des accidents corporels.

Les études de corrélation font apparaître qu'une réduction de 1% de la vitesse induit une réduction de 2% des accidents corporels et de 4% des accidents mortels. Le poids économique des accidents comportant des blessés étant équivalent à celui des accidents mortels, nous adopterons un taux moyen de 3%.

 

... minimal

La politique visant à réduire de 12,5% la vitesse moyenne des véhicules devrait ainsi induire une réduction de 37,5% des accidents dans lesquels la vitesse est impliquée. On obtient de ce fait une réduction globale prévisible des accidents de 37,5% x 27% = 10,125%.

L'économie au kilomètre parcouru qui en découle est de : 0,0410 x 0,10125 = 0, 00415 euro.

Les économies d'insécurité routière s'élèvent, dans cette hypothèse, à la valeur suivante : 49,50 milliards de kilomètres x 0,00415 = 0,205 milliards d'euros par an.

L'effet favorable de la réduction des accidents liée à la réduction des vitesses limites autorisées est ainsi 193 fois plus faible que la perte de produit intérieur brut induite par cette mesure.

 

 

La perte économique ne peut être compensée par les bénéfices

On constate, à la lecture de ces analyses, que l'instauration d'une réduction systématique des vitesses sur les réseaux routiers et autoroutiers français induit une perte économique incomparablement supérieure aux bénéfices attendus de la réduction des gaz à effet de serre ou de l'amélioration de la sécurité routière.

Précisons de plus que la présente comparaison ne porte que sur les déplacements de personne et non sur les déplacements de marchandises. Si on tenait compte des effets liés aux transports de marchandises, il faudrait, selon toute vraisemblance, augmenter les présentes évaluations de 30%, tant en matière de perte de PIB que de réduction des émissions de gaz à effet de serre ou d'amélioration de la sécurité routière. Le décalage entre les pertes et les gains ne ferait que s'aggraver.

 
La mobilité, c'est la productivité

Il est évident qu'il ne faut, en aucune matière, toucher à la mobilité des Français, car de cette mobilité dépend une part significative de la productivité du pays. Il vaut mieux laisser l'économie s'épanouir et prélever une part modérée de la richesse produite pour, d'une part réduire les émissions de gaz à effet de serre, d'autre part améliorer la sécurité routière.

 Une façon cohérente de concilier performance économique et performance écologique est de conduire une politique active de réduction des consommations unitaires des véhicules avec la promotion de véhicules de puissance fiscale plus faible, de véhicule hybrides électricité-essence qui réduisent déjà les consommations de 30%, de véhicules hybrides rechargeables qui réduisent les consommations de carburants carbonés de 50%, voire davantage, et demain de véhicules hybrides électricité-hydrogène non carboné, qui suppriment toute production de carbone.

En matière de sécurité routière, une action déterminée d'équipement des véhicules pour lutter de façon active contre les pertes de vigilance, en procédant à la détection des états de fatigue dangereux avec arrêt automatique des véhicules, et pour interdire le démarrage des véhicules conduits par des personnes abusant de produits alcoolisés, devrait avoir pour effet d'améliorer de façon très significative la sécurité routière sans toucher à la vitalité économique du pays.

Sujets les + lus

|

Sujets les + commentés

Commentaires 115
à écrit le 22/09/2022 à 14:14
Signaler
Si les voitures de maintenant avaient moins de puissance il y aurait moins de morts sur les route ce n'est pas en mettant des panneau de limitation partout que les gens respectent ces limitations c'est au niveau fabrication qu'il faut agir autrefois ...

à écrit le 09/01/2018 à 17:37
Signaler
si on reduit la vitesse il faut aussi reduire les primes d'assurance

à écrit le 07/01/2018 à 16:16
Signaler
Même bien écrites des âneries restent des âneries ! Et cet article en est un vrai tissu. Ce qui me gêne sur le périphérique pour arriver à l’heure au travail c’est pas la limitation de vitesse á 70 ! La voiture est un fléau indispensable certes ma...

à écrit le 28/06/2017 à 21:37
Signaler
Aberrant de faire un rapport de richesse perdue sur de la réduction de l'émission de CO2. Combien on va perdre d'argent en maladie respiratoire, en catastrophe naturelle, en mortalité d'accidents de la route en continuant un raisonnement pareil ? Si...

le 07/01/2018 à 15:02
Signaler
Mattabile, je vous trouve bien arrogant et vos arguments n en sont pas, si on vous écoute, on devrait revenir aux bons vieux chevaux et aux chariots

à écrit le 15/08/2015 à 14:56
Signaler
Voilà un raisonnement à la Poulitechnicien, basée sur un modèle mathématique biaisé, qui est arrivé à faire croire que l'autoroute A65 Pau-Langon allait amener la richesse à Pau et dans les stations de ski pyrénéennes. On connait aijourd'hui son bila...

à écrit le 23/04/2014 à 20:28
Signaler
La vitesse ne tue pas... Elle est juste un facteur aggravant ...

à écrit le 01/02/2014 à 21:23
Signaler
Ce gouvernement de nuls à tout freine, l'emploi, la consommation, l 'industrie.......sauf la connerie qui ne s 'est jamais aussi bien portée

à écrit le 30/01/2014 à 20:32
Signaler
les accidents constituent un fond de commerce, voilà pourquoi certains ne veulent pas les réduire ! de plus on fait croire (et ça marche, mais de moins en moins ) que la voiture valorise son "pilote" en réalité il n'est qu'un esclave.

à écrit le 22/01/2014 à 21:23
Signaler
Le simple bon sens fait ressortir que réduire ENCORE la vitesse de 90 à 80 km/h est ridicule en fonction des voitures actuelles , de la baisse de vigilance engendrée, de la perte de temps certaine et catastrophique , sans compter que le nombre de mor...

à écrit le 16/01/2014 à 14:47
Signaler
Bonjour, il oublie de dire que la réduction de la limite de vitesse réduit les ralentissements, et que l'allongement des distances moyennes de travail ne signifie absolument pas un mieux-être pour les salariés. Vincent

à écrit le 13/01/2014 à 11:12
Signaler
Monsieur, vous devriez retourner à l'École. Ou plutôt pas, car si vous aviez exposé cette démonstration en tant qu'élève à quelque oral d'économie des transports, vous vous seriez fait proprement démonter. Vu votre pédigrée, c'est fort regrettable. ...

le 22/05/2017 à 22:26
Signaler
On constate pourtant que l'Allemagne a un bilan nettement meilleur en termes de qualité et d'efficacité économique car elle n'est pas aussi stupide et paternaliste que les autres gouvernements, laissant de larges portions de ses autoroutes SANS LIMIT...

à écrit le 12/01/2014 à 15:35
Signaler
Il est curieux que personne ne se pose la question de savoir s'il ne s'agit pas, par cette mesure, (une de plus) de RÉDUIRE effectivement la croissance et l'emploi... Pourquoi ? Demandez à Machiavel....

à écrit le 10/01/2014 à 14:53
Signaler
Confusion regretable de l'artcle entre vitesse maximale et vitesse moyenne. Tout l'argumentaire de M. poulit repose sur une hypothèse erronée de déduction de la vitesse moyenne proportionnée à la vitesse maximale réduire de 10 km h la vitesse maxim...

à écrit le 10/01/2014 à 8:46
Signaler
"Réduire les limitations de vitesse, c'est freiner la croissance et l'emploi" ???? WTF Mais au fait réduire une limitation ça signifie AUGMENTER LOL le journaliste qui se gourre dans le titre ça donne envie de lire la suite :D

à écrit le 09/01/2014 à 16:46
Signaler
Assez divertissant de lire cette pseudo science usant au plus de mathématiques élémentaires et prétendant à une certaine précision. Bel enfumage.

à écrit le 09/01/2014 à 14:27
Signaler
C'est en effet une étude focalisée sur un effet purement financier de la variation des vitesses de déplacement dans un environnement parfait comme le ferait une professeur de physique de collège. Avec un peu d'imagination, je dirais que l'auteur de l...

à écrit le 09/01/2014 à 14:16
Signaler
C'est en effet une étude focalisée sur un effet purement financier de la variation des vitesses de déplacement dans un environnement parfait comme le ferait une professeur de physique de collège. Avec un peu d'imagination, je dirais que l'auteur de l...

à écrit le 09/01/2014 à 11:16
Signaler
encore un article pseudo scientifique (aucune référence n'est citée) qui nous montre combien notre societé est désormais au service de l'économie. Le PIB comme seul indicateur de progrés, même les économistes les plus traditionnalistes commencent ...

à écrit le 09/01/2014 à 9:32
Signaler
Réduire un peu les vitesses est une très bonne chose tant sur le nombre de morts que celui de la polution et de la réduction de notre consommation d'énergies fossille. . . . Les conséquences sur la croissance et l'emploi sont bien au contraire très p...

à écrit le 08/01/2014 à 21:31
Signaler
MERCI Quand le gouvernement comprendra que ce n'est pas en tentant de verbaliser à tout va pour remplir les caisses avec des impôts indirects que l'on relancera la croissance, Sans parler que les forces de l'ordre seraient bien plus utiles dans les ...

à écrit le 08/01/2014 à 20:10
Signaler
Heureusement que je peux rouler au-delà de 200 km/h en Allemagne (quand les circonstances le permettent). Route de campagne 100 km/h ... et 120 toléré.

à écrit le 08/01/2014 à 17:09
Signaler
Bonjour Monsieur, je vous remercie pour cet article qui recèle un certain nombre d'informations intéressantes. Je trouve cependant dommage que... - Vous ne citiez qu'assez rarement des sources à l'appui de tous vos chiffres, théories et autres m...

à écrit le 08/01/2014 à 16:17
Signaler
Les conclusions de l'étude présentée laissent à penser que la limitation de la vitesse de circulation devrait avoir un impact sur l'aménagement du territoire à long terme, les entreprises cherchant à s'implanter au plus près des compétences. Je pense...

à écrit le 08/01/2014 à 11:09
Signaler
"Contrairement à une idée intuitive,la réduction de la vitesse sur route et autoroute ne conduit pas, statistiquement, à augmenter les temps de trajet mais à diminuer la distance moyenne parcourue par trajet". Quelqu'un peut-il m'expliquer ça?

le 08/01/2014 à 11:20
Signaler
Cela signifie que c'est la durée de trajet qui prime sur la distance, et c'est ce qui incite les gens à se déplacer ou pas. Si en 2013, il me faut 30 min pour aller à une réunion ou un RV pro, j'y vais. Si dans 5 ans, un gouvernement décide de diminu...

à écrit le 08/01/2014 à 10:07
Signaler
Est-ce-que la limitation de vitesse s'applique aux vélos et aux fauteuils roulants ?? Est-ce-que cette limitation est aussi valable pour les ministres, les gendarmes, les policiers, les peoples???

le 16/01/2014 à 18:44
Signaler
Bien d'accord...

à écrit le 08/01/2014 à 9:53
Signaler
Ma voiture (une golf 7 tdi 150 ) consomme plus a 70 ou 80 km/h (je suis en 5ème) que lorsque je roule a 90 km/h, (en 6 ème). Messieurs les enarques, prenez le temps de discuter un jour avec vos chauffeurs, ils vous l expliqueront avec des mots simple...

le 08/01/2014 à 18:44
Signaler
Légende urbaine... pour information la force de frottement de votre carrosserie est proportionnelle au carré de la vitesse donc si vous multipliez par deux votre vitesse vous multipliez par quatre votre consommation à régime moteur constant. C'est po...

le 09/01/2014 à 13:51
Signaler
Pour compléter la diminution des accidents est imputable a l’amélioration de la sécurité des voitures et au rajeunissement du parc automobile...

le 13/01/2014 à 11:14
Signaler
Déjà ça reste à voir. Ensuite, les constructeurs adaptent l'optimum de consommation des moteurs aux vitesses pratiquées. C'est donc une question de réglage, c'est tout.

le 31/01/2014 à 18:27
Signaler
Cher michel, ayant moi aussi une VW de puissance équivalente, je vous signale qu'elle supporte très bien la 6e à 70 km/h, c'est même le rapport recommandé par l'ordinateur de bord pour minimiser la consommation.

le 12/02/2014 à 23:15
Signaler
Michel, on nous gonfle déjà bien assez avec le "achetez français !", si vous voulez une voiture aérodynamique, achetez une Mercedes CLA

à écrit le 07/01/2014 à 23:20
Signaler
Très juste le propos de l'auteur: la vie s'organise sur la base de l'échange (ou transport); plus celui-ci est lent, et moins la vie éclot. Universel et logique. Ralentissez seulement votre respiration, et vous en sentirez rapidement les effets néfas...

le 08/01/2014 à 11:08
Signaler
Le problème, c'est que ce paradigme, qui dirige les civilisations depuis des siècles, montre aujourd'hui ses effets pervers. Cette logique du "toujours plus, toujours plus vite" nous amène à un désastre écologique et humain.

à écrit le 07/01/2014 à 22:11
Signaler
"La mobilité, c'est la productivité". La mobilité, c'est de l'agitation à l'échelle planétaire et nous commençons à peine à en subir les conséquences. Le problème ce ne sont pas quelques Km/heures en plus ou en moins, c'est l'organisation d'une autre...

à écrit le 07/01/2014 à 20:30
Signaler
L'analyse est intéressante mais omet un élément physique de taille : la vitesse moyenne en voiture tend à se dégrader dans les agglomérations de plus en plus non pas sous l'effet des limitations de vitesse mais en raison des encombrements croissants ...

le 21/01/2014 à 21:44
Signaler
… plutôt que d'imposer une vitesse, ils feraient mieux de subventionner le train, le transport collectif pour désengorger le trafic, redonner du souffle dans les grandes et moyennes agglomérations. Et surtout, empêcher le lobbying de produire des voi...

à écrit le 07/01/2014 à 19:35
Signaler
A Jean Poulit: merci citer vos sources. A ceux qui valident les articles de Jean Poulit avant publication: merci de lui demander de citer ses sources, on dirait un travail de 1ere année de BTS (j'ai rien contre les 1ere années de BTS, mais bon, ça f...

à écrit le 07/01/2014 à 19:35
Signaler
A Jean Poulit: merci citer vos sources. A ceux qui valident les articles de Jean Poulit avant publication: merci de lui demander de citer ses sources, on dirait un travail de 1ere année de BTS (j'ai rien contre les 1ere années de BTS, mais bon, ça f...

à écrit le 07/01/2014 à 18:50
Signaler
Voilà un article de grand bon sens et basé sur des faits incontestables et mesurés. Je suis un grand partisan de la vitesse libre sur autoroute, lorsque la configuration le permet, comme en Allemagne. En revanche, je pense que la diminution de la v...

à écrit le 07/01/2014 à 18:43
Signaler
Bonjour, Je n'adhère pas à votre calcul de l'impact économique ou vous n'en détaillez pas assez les modalités de calcul Prenons l'exemple du périphérique : - Je vais au travail en RER, je ne suis donc pas impacté par la limitation de vitesse. ...

à écrit le 07/01/2014 à 18:11
Signaler
"D'après la délégation interministérielle à la sécurité routière, la vitesse est impliquée dans 27% des accidents mortels de la circulation." Logique absurde, sans vitesse pas de circulation. Nous avons observé que 100% des accidentés de la route ava...

à écrit le 07/01/2014 à 16:54
Signaler
C est marrant les francais sont toujours pressès pour aller au boulot mais une fois que la grille d'entrée de l usine dépassés ,ils mettent un temps fou pour arriver leurs postes de travail!

le 07/01/2014 à 18:12
Signaler
Vous suivez les français? Ou alors parlez vous de vous même?

le 08/01/2014 à 15:45
Signaler
Même sans voiture ça traîne la savate devant la machine à café...

le 14/01/2014 à 14:48
Signaler
vous relatez une expérience personnelle je suppose ?

à écrit le 07/01/2014 à 16:21
Signaler
Bien sur, il y a encore 3000 morts par an, et on "sauvera" peut-être 500 vies (ce qui reste à prouver d'ailleurs), mais on ne fait toujours rien pour les quelques 12000 suicides par an (pas de numéro d'appel national, par ex.) . Et ce chiffre ne pou...

à écrit le 07/01/2014 à 16:03
Signaler
Plus on va vite plus le temps est court

le 07/01/2014 à 22:13
Signaler
@Solario Court ou "se contracte"?

à écrit le 07/01/2014 à 15:13
Signaler
mort sur la route 3000/an vs mort diesel 40000/an et réduction espérance de vie de 6 mois à Paris...Alors le diesel on fait quoi?? Je ne connais pas le nombre des mort du sel, de l'alcool ou de la mal bouffe mais franchement ras le bol de me faire...

le 08/01/2014 à 18:09
Signaler
Encore des chiffres fabriqués de toutes pièces... et les morts du diesel vous les ramassez à la pelle derrière chaque automobile française c'est bien ça?

à écrit le 07/01/2014 à 15:11
Signaler
C'est oublier un peu vite la différence entre vitesse limite et vitesse moyenne. Dans les grandes agglomérations, on roule rarement à la vitesse limite. L'impact n'est donc pas à la hauteur de ces calculs très théoriques. La vitesse moyenne sur le pé...

à écrit le 07/01/2014 à 14:53
Signaler
C'est un vraiment pipeau infame : de grands chiffres qui sortent de nulle part pour un but unique : favoriser la voiture et la conso d'essence ... Une vie n'a pas de prix : 500 vies non plus

le 07/01/2014 à 18:15
Signaler
Fatigue, endormissement, inattention... "Ce bilan des accidents mortels sur autoroutes, qui nous est communiqué par les sociétés d’autoroutes (ASFA), montre certes, un réseau autoroutier plus sûr, un net recul des accidents liés aux excès de vitesse ...

à écrit le 07/01/2014 à 14:13
Signaler
Pourquoi faire de si belle route pour rouler comme si l'on n'était sur un chemin de terre? Auraient ils l'intention, a terme, de faire payer la circulation sur les routes de campagne?

à écrit le 07/01/2014 à 13:39
Signaler
Quelques remarques : * "Or, elle aura un fort effet dépressif sur l'économie du pays " : ce n'est pas déjà le cas ? A votre avis, pourquoi vend-on de moins en moins de voitures en France ? * Le jour où l'on mettra la circulation en ville à 30 km/h,...

à écrit le 07/01/2014 à 13:38
Signaler
Dommage que la mauvaise foi ne soit pas limitable. Ils roulent à combien au Japon ?

à écrit le 07/01/2014 à 13:26
Signaler
Roulez 3h en Allemagne, puis revenez en France, vous comprendrez très vite ou le problème se situe en France: incivilité manifeste, comportement dangereux et irresponsabilité. Voilà ce qui caractérise les conducteurs français en grande majorité. Le...

le 07/01/2014 à 23:27
Signaler
La discipline, cela empêche l'incivilité, mais cela favorise les horreurs historiques... Du reste, difficile d'accélérer d'une frontière à l'autre dans votre charmant pays (touché, n'est ce pas?).

le 07/01/2014 à 23:29
Signaler
3 heures de bouchon non merci!

à écrit le 07/01/2014 à 13:20
Signaler
Bonne analyse pertinente et logique qui, je doute, retienne l'attention de nos politiciens plus aptes à faire du démagogique à des fins de clientélisme électoral plutôt que de diriger avec leur tête. Ceci dit, il manque d'autres facteurs dans cette a...

à écrit le 07/01/2014 à 12:58
Signaler
C'est bien de ralentir un peu.... A quoi cela sert d'aller toujours plus vite? De toute façon, on finira tous dans le trou.

à écrit le 07/01/2014 à 12:40
Signaler
En résumé, réduire la vitesse a des effets positifs et négatifs. La mesure est clivante car les effets positifs sont majoritairement du côté de la qualité de vie tandis que les effets négatifs sont majoritairement du côté de la croissance économique....

à écrit le 07/01/2014 à 12:21
Signaler
A quand la limitation de vitesse sur les pistes de ski ? Cf Schumacher !

à écrit le 07/01/2014 à 12:16
Signaler
"[...]l'insécurité sur les routes [... coûte X...] euro[...]" Réduire tous les sujets à leur impact financier a certes le mérite de la simplicité car on peut additionner et comparer simplement des montants en euros. Le problème est que cela n'a pas ...

à écrit le 07/01/2014 à 12:12
Signaler
"[...]l'insécurité sur les routes [... coûte X...] euro[...]" Réduire tous les sujets à leur impact financier a certes le mérite de la simplicité car on peut additionner et comparer simplement des montants en euros. Le problème est que cela n'a pas ...

à écrit le 07/01/2014 à 11:51
Signaler
Merci pour cet article plein de bon sens qui va encore une fois fois a l encontre du fameux refrain: "la vitesse c est mal car ca tue". Et oui dans la vie quand on diminue le risque on diminue aussi les chances de succes. A trop vouloir etre protege ...

à écrit le 07/01/2014 à 11:17
Signaler
Votre calcul d'impact sur la securite routiere est erronne. Il faut prendre en compte les km parcourus (346.5 milliards) et pas ceux non parcourus. NB : les km non parcourus concourent eux aussi a l'amelioration. On n'est plus dans un ratio au...

à écrit le 07/01/2014 à 10:58
Signaler
roulons tous a 200! 400 000 milles emploies en plus! et bourre plus 200 000milles!

à écrit le 07/01/2014 à 10:53
Signaler
Surtout pour les hopitaux et les pompes funèbres.

à écrit le 07/01/2014 à 10:31
Signaler
il faut supprimer les stops et les feuxouges aussi

à écrit le 07/01/2014 à 10:05
Signaler
Réduire la vitesse = réduire la richesse produite. Donc augmenter la vitesse = augmenter la richesse produite. -> Obligeons les gens à rouler à 200 km/h, on sera la première puissance mondiale ! CQFD.

le 07/01/2014 à 11:03
Signaler
... trop tard... les teutons roulent déjà à +200km/h dès qu'ils le peuvent!

le 07/01/2014 à 13:25
Signaler
Comparons le code de la route allemand au français. Comparons la santé de l' industrie automobile allemande à la française. Cherchez l' erreur......

le 28/01/2014 à 9:16
Signaler
je ne me suis jamais senti en danger sur les autoroutes allemandes , la vitesse est réglementée de façon intelligente et appropriée à l'environnement ( y compris dans certaines zones où les autoroutes sont en très mauvais état ... )

à écrit le 07/01/2014 à 10:00
Signaler
"D'après la délégation interministérielle à la sécurité routière, la vitesse est impliquée dans 27% des accidents mortels de la circulation" Quel pourcentage de ces accidents arrive sur les autoroutes en zone limitée à 130 Km/h? Avant de parler de ...

à écrit le 07/01/2014 à 9:58
Signaler
On ne réduit pas la limitation on l'augmente ce qui est tout à fait différent !

à écrit le 07/01/2014 à 9:24
Signaler
Réponse à Levicomte... Perso, en vélo, je mets 25 minutes pour aller au boulot (en comptant les feux rouges), en bus...50 minutes... Et je n'habite qu'à 6 km de mon boulot (mais deux changements...).. Alors les transports en commun....

le 07/01/2014 à 10:27
Signaler
Perso j'habite à 45 Km de mon travail, je mets 1h30 en transport en commun quand tout va bien (ce qu'est rarement le cas), et 1h15 en voiture, bouchons compris... Le choix est vite fait. C'est bien la reflexion de bobo de prendre le vélo, et de "alor...

à écrit le 07/01/2014 à 8:24
Signaler
Et dans tout ça, la solution des transports en commun, où se trouve-t-elle ? Elle permet de ne pas réduire la portée du déplacement que je sache.

le 28/01/2014 à 9:15
Signaler
encore faudrait-il qu'il y ait des transports en commun !! tout dépend de vos déplacements

à écrit le 07/01/2014 à 0:44
Signaler
Votre analyse est très intéressante, et on souhaiterait vivement voir le gouvernement consulter des experts tels que vous avant déprendre leur décisions. Cependant je serais curieux de valider votre thèse sur le plan international. Vous dites en par...

à écrit le 07/01/2014 à 0:25
Signaler
Et le prix des panneaux ?

à écrit le 07/01/2014 à 0:21
Signaler
D 'ici peu ceux qu'auront les moyens de payer l'amende pour s'arrêter au Bois de Boulogne n'auront plus le temps d'y aller,voila comment on tue le petit commerce . Si l'incidence est une perte de plusieurs milliards on ferai bien d'y regarder a deux...

à écrit le 07/01/2014 à 0:01
Signaler
Je ne lirai pas cet article mais juste une question : si "réduire les limitations de vitesse, c'est freiner la croissance et l'emploi", augmenter ces limitations reviendrait à faire repartir la croissance, non ?

le 07/01/2014 à 10:45
Signaler
Nos voisins germaniques ont un code de route différent du nôtre. Leur industrie automobile est en pleine forme, la nôtre en pleine récession . Y aurait il un rapport ?

à écrit le 07/01/2014 à 0:01
Signaler
Je crois qu'il est dangereux d'indiquer à un gouvernement socialiste comment une mesure destinée à relancer le chiffre d'affaire des radars peut en plus nuire à l'économie: ils vont s'y engouffrer pour nuire encore plus au pays.

à écrit le 06/01/2014 à 23:53
Signaler
Excellente analyse. Deux 2 points (petits...) - qui a déjà rencontré quelqu'un ayant été capable de rouler à 80 à l'heure sur le périf ??? - une autre approche serait que le gouvernement ne lie pas sa volonté de "brider" à des excuses bidon (cet a...

le 07/01/2014 à 10:02
Signaler
- qui a déjà rencontré quelqu'un ayant été capable de rouler à 80 à l'heure sur le périf ??? tout depend de l'heure :)

le 07/01/2014 à 11:25
Signaler
"qui a déjà rencontré quelqu'un ayant été capable de rouler à 80 à l'heure sur le périf ???" Faut-il en conclure que la limitation à 70km/h ne changera rien ? Si oui pourquoi un tel mécontentement ?

à écrit le 06/01/2014 à 23:24
Signaler
Bravo et merci pour cette analyse. Une seule critique, concernant la sécurité routière. Quand la délégation interministérielle à la sécurité routière annonce que la vitesse est impliquée dans 27% des accidents mortels, cela signifie seulement que dan...

à écrit le 06/01/2014 à 23:15
Signaler
Enfin!!!.... Merci pour cet article...il reste quelques personnes censées dans notre pays! Mais malheureusement, il faudra 20 ans au moins pour remettre la logique à l'ordre du jour. Cela passe par une mise à la niche de tous les étatistes qui nous...

à écrit le 06/01/2014 à 23:15
Signaler
Mettons nous à la place du citoyen moyen. On a passé une génération qui était éduquée à n'avoir que peu d'interdictions sur la route, à coup d'amendes et de retraits de permis, la génération à venir n'est pas motivée à passer le permis de conduire. ...

le 07/01/2014 à 11:07
Signaler
Et les achats faits sur internet, on les achemine comment ?

à écrit le 06/01/2014 à 22:49
Signaler
Cet article est sans doute très juste, mais il illustre très bien ce que l'on appelle le fétichisme de la marchandise, à savoir la propension à se conformer aux règles de l'économie en croyant y être contraint. C'est vrai que si l'on augmente pas san...

le 07/01/2014 à 10:10
Signaler
On ne s'est pas endettés pour augmenter le PIB mais pour apporter à la population ce qu'elle ne pouvait pas s'offrir (par ex soins médicaux de haute technicité).

à écrit le 06/01/2014 à 22:37
Signaler
Si le périphérique est surchargé, il faudra peut-être construire une nouvelle autoroute circulaire telle qu'à London ou à Berlin. Anticiper!!!!!

à écrit le 06/01/2014 à 22:31
Signaler
Si le périphérique est surchargé, il faudra peut-être construire une nouvelle autoroute circulaire telle qu'à London ou à Berlin. Anticiper!!!!!

à écrit le 06/01/2014 à 21:39
Signaler
Les mises à jour impromptues de la page interdisent le plus souvent d'achever un commentaire ... C'est dissuasif.

à écrit le 06/01/2014 à 21:13
Signaler
Complètement d'accord avec Jean Pierre On n'y comprend rien mis à part que l'auteur n'est pas d'accord avec l'état. Je ne vois pas comment on peut dire 2points du PIB sans rien démontrer. On va diminuer le PIB parce qu'il y aura moins d'accidents ...

à écrit le 06/01/2014 à 21:11
Signaler
Bravo et merci pour cette analyse. Une seule critique, concernant la sécurité routière. Quand la délégation interministérielle à la sécurité routière annonce que la vitesse est impliquée dans 27% des accidents mortels, cela signifie seulement que dan...

à écrit le 06/01/2014 à 21:09
Signaler
Augmentons donc les vitesses limites de 10 km/h et on gagnera ainsi 2 points de PIB...

le 07/01/2014 à 10:11
Signaler
tout à fait !

le 31/01/2014 à 17:51
Signaler
Augmenter le PIB, peut aussi vouloir dire augmenter fortement les importation, et diminuer l excédent de la balance commerciale (ou aggraver son déficit) : augmenter la vitesse légale = augmenter le nombre de bouchons = augmenter la consommation d...

à écrit le 06/01/2014 à 21:05
Signaler
Article sans queue ni tête et bourratif... On en retient rien sinon que l'auteur n'est pas d'accord avec le projet du gouvernement.

à écrit le 06/01/2014 à 21:05
Signaler
Article sans queue ni tête et bourratif... On en retient rien sinon que l'auteur n'est pas d'accord avec le projet du gouvernement.

le 07/01/2014 à 23:34
Signaler
La seule chose que l'on peut voir, c'est que ce gouvernement freine un peu plus tous les jours tout ce qui de près ou de loin le maintient au pouvoir, car une fois toute source fiscale tarie directement ou indirectement à force de ralentissement et d...

à écrit le 06/01/2014 à 21:04
Signaler
Beaucoup de bla bla pour nous faire croire a des tests de déplacements ce qui est bien et ce qui ne le sont pas; une chose est sure que le changement des personnes et des voitures vont changer et puis on se posera la question POURQUOI !!!!!!Autant ...

à écrit le 06/01/2014 à 20:02
Signaler
J'adore ces articles qui ne cite aucune source, ne comporte aucune référence, et qui se contente de dire "Il est communément admis que...", "il a été démontré que..."...

à écrit le 06/01/2014 à 18:30
Signaler
Analyse complètement biaisé, la stabilité de la durée de déplacement de signifie pas que la baisse de la vitesse n'a aucun effet sur le trafic routier. Quid de la proximité géographique des salariés de leur lieu de travail? Beaucoup de chiffres étalé...

à écrit le 06/01/2014 à 16:52
Signaler
Le modèle utilisé par M. Poulit doit pouvoir estimer le coût de la congestion automobile. J'aimerais bien connaitre cette estimation.

le 07/01/2018 à 14:24
Signaler
La réduction cela s'arrêtera quand ? Jusqu' à 50 km/h on peut tuer , donc roulons à 50. Et quand la vitesse sera réduite à zéro, il n'y aura plus d'accidents c'est certain ! Vitesse => améliorer le temps de calcul/de transformation. Reduisons t...

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.