Les assureurs sous pression

Pressés par Nicolas Sarkozy de « faire leur métier » qui est « de prélever bien sûr les cotisations quand tout va bien et de verser les indemnisations quand il y a un drame », les assureurs ont promis, hier, de réagir très rapidement. En réponse au chef de l'État, Bernard Spitz, le président de la Fédération française des sociétés d'assurances (FFSA), a annoncé la mise en place de centraux téléphoniques et la venue d'experts sur le terrain très vite. Groupama a indiqué qu'il n'appliquerait pas de franchise pour les particuliers et qu'il pouvait faire « des chèques d'avance » pour les cas les plus critiques.
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