dialogue, confiance, vérité. S'exprimant pour la première fois devant les avocats, la garde des Sceaux Michèle Alliot- Marie s'est voulue très claire dans sa méthodologie. En aucun cas elle ne passera en force, sans concertation préalable. Une manière aussi de se démarquer de son prédécesseur à la chancellerie sur le dossier de la carte judiciaire. À plusieurs reprises, la ministre d'État a rappelé qu'un rapport n'est pas une loi, mais le lancement d'une discussion et d'une réflexion. Pour la réforme pénale, la suppression du juge d'instruction est déjà acquise. Reste à trouver des solutions pour aboutir à un juste équilibre entre le poursuivant et le poursuivi. C'est sur cette latitude que la ministre entend utiliser sa méthode de travail. Avec une échéance, un projet de loi à l'été 2010. F. H.uneCAEeiceLa

latribune.fr

05 Oct 2009, 1:44

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