En 2005, les programmes improvisés de Direct 8 avaient été accueillis dans l'incrédulité générale, de même que son directeur des programmes inexpérimenté, un certain Yannick Bolloréeacute;, diplômé de Dauphine, et qui n'avait alors que produit un film, « Hell ». Cinq ans après, à 30 ans à peine, le second fils de Vincent Bolloréeacute;, marié à une nièce de Martin Bouygues, est devenu administrateur du groupe Bolloréeacute;, a été promu directeur général des activités média, et sa maîtrise ses dossiers lui vaut le respect du secteur. Quant à Direct 8, après avoir perdu 150 millions d'euros durant ses quatre premières années d'existence, la chaîne atteindra enfin l'équilibre « au 4e trimestre 2010 », a-t-il assuré jeudi. Et le rachat de Virgin 17 ne calme pas son appétit. Il dit « regarder toujours » une chaîne de télévision payante. Et il vient de se lancer dans les chaînes locales : fin février, le CSA lui a attribué une fréquence à Nice et Cannes pour une chaîne baptisée Direct Azur, qui sera lancée « à l'automne 2010 ». Sans compter le projet de quotidien d'opinion payant. J. H. et J.-B. J.Le « fils de » s'est forgé un prénomyannick bolloréDirecteur général de Bolloréeacute; Médiasportraitactu

latribune.fr

18 Mars 2010, 23:20

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