Comment le Maroc diversifie et renforce son écosystème industriel

Confronté au ralentissement de son partenaire européen et à la crise mondiale, le Maroc recherche depuis quelques années des relais de croissance en Afrique de l’Ouest et subsaharienne, et a opté pour le positionnement stratégique de plateforme d’entrée vers l’Afrique. Mais le royaume alaouite dispose-t-il pour autant d’un écosystème suffisamment opérationnel et puissant pour lui permettre d’assumer cette ambition ? Tour d’horizon de ses atouts… et points faibles.
Alfred Mignot
Ligne d'assemblage de voitures Dacia Sandero, dans l’usine Somaca-Renault, à Tanger. Cette usine, la plus importante d’Afrique, a été implantée en 2012 dans la zone franche de Tanger-Med, sur 350 hectares. 1,1 milliard d’euros ont été investis et 7 000 employés y travaillent à ce jour.

Il y a quinze ans à peine, personne, à l'exception de la Chine, ne s'intéressait à l'Afrique. Mais, en quelques années, tout a changé. Aujourd'hui (lire notre dossier « 2020/2050 - Trente glorieuses pour l'Afrique ? » dans La Tribune n° 129 du 24 avril 2015), l'afro-optimisme tient le haut du pavé, le continent africain paraissant à beaucoup d'opérateurs économiques le seul capable de porter la relève de la croissance mondiale. Un potentiel que la Chine a perçu la première, depuis une quinzaine d'années, avant que bien d'autres pays, comme la France avec la création de la Fondation AfricaFrance en 2013 (cf. La Tribune n° 129), ne le (re)découvrent à leur tour.

Le Maroc participe de ce mouvement géoéconomique mondial. Après avoir pendant trente ans regardé essentiellement du côté européen, il développe depuis quelques années une stratégie et une diplomatie économiques offensives (lire page 5), visant à se positionner en plateforme d'entrée vers l'Afrique, particulièrement de l'Ouest et centrale. Mais le royaume alaouite a-t-il les moyens de son ambition, alors même que ses échanges avec le continent noir, il est vrai en forte hausse (+13 % en 2014), ne représentent tout de même que 6,4 % du total de son commerce international ? De nombreux indicateurs tendent à faire penser qu'il pourrait réussir son pari...

Une double révolution industrielle en marche

La montée en puissance économique du royaume alaouite est en effet attestée par ses performances économiques, ses grands projets structurants achevés ou en cours, ainsi que par l'amélioration de ses classements internationaux et la bonne tendance d'ensemble des indicateurs conjoncturels.

Certains secteurs - l'automobile, l'aéronautique, les transports, l'offshoring, les télécoms, la bancassurance... - enregistrent des performances remarquables, alors que certaines activités étaient naguère encore inexistantes. C'est le cas de l'industrie automobile. Amorcée début 2012 avec l'implantation sur la zone franche de Tanger-Med de l'usine Renault - la plus importante d'Afrique, sur 350 hectares, avec 1,1 milliard d'euros investis et 7 000 employés à ce jour -, l'industrie automobile est devenue en trois ans le premier poste d'exportation du Maroc, détrônant les traditionnels phosphates. « Avec des exportations qui ont atteint 1,81 milliard d'euros en 2014, soit une augmentation de 52,7 % par rapport à 2013, le Maroc s'est hissé au 1er rang des pays exportateurs de produits automobiles dans la région Afrique du Nord et Moyen-Orient », relevait récemment Moulay Hafid Elalamy, le ministre de l'Industrie (27,3 % du PIB). C'est aussi un secteur pour lequel le ministre nourrit de grandes ambitions : porter le taux d'intégration locale de 45 % actuellement à 65 % et créer 90 000 emplois nets d'ici à 2020, essentiellement par le déploiement des « écosystèmes productifs » (câblage, habitacles, batteries, emboutissage...), ainsi qu'il l'a annoncé en avril 2014, avec son plan d'accélération industrielle.

La Tribune Afrique

Cet article est issu du nouveau supplément de La Tribune Hebdo (n° 142 du 18 septembre 2015), LA TRIBUNE AFRIQUE.

L'industrie aéronautique, installée surtout autour de Casablanca, n'est pas en reste. Avec une centaine d'opérateurs, dont les plus grands du secteur - Airbus, Bombardier, Safran, Thales, Boeing, Nexans, EADS, Creuzet, Snecma, Daher, Matis, Zodiac Aerospace, LPS Aero...  -, elle génère aujourd'hui quelque 10 000 emplois et 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires. L'acte fondateur de cette jeune industrie se situe en l'an 2000, avec la création d'une première coentreprise entre Safran et Royal Air Maroc. Quinze années auront donc suffi pour en faire un secteur d'activités dont la performance, pour l'entretien et la sous-traitance, est reconnue par les professionnels meilleure que celle de l'Europe de l'Est. Pour ce secteur, également en pleine croissance, Moulay Hafid Elalamy nourrit aussi une ambition forte : attirer 100 nouveaux opérateurs d'ici à 2020, porter le taux d'intégration à 35 % au lieu de 18 % actuellement, créer quelque 23 000 nouveaux emplois et augmenter les exportations à 1,5 milliard d'euros. Le tout grâce au déploiement des « écosystèmes productifs », clé de voûte de sa stratégie d'accélération industrielle.

Un secteur tertiaire en expansion

Le secteur tertiaire (58 % du PIB), tant par le tourisme que par l'offshoring, apporte aussi une contribution capitale à l'économie marocaine, ainsi que les transferts financiers des Marocains résidant à l'étranger (MRE), dont la contribution en 2014 a crû de 5 % à 29,1 milliards de dirhams (2,71 Mds d'euros).

CasaNearShore est le pôle majeur de l'offshoring marocain (55 000 emplois) et de l'Afrique du Nord, ce qui a valu au Maroc d'être élu en 2012 « meilleure destination » par les donneurs d'ordres de l'Association européenne de l'offshoring (EOA). Le tourisme, malgré un contexte sécuritaire régional parfois altéré, a réussi à progresser encore en 2014 : 10,3 millions de voyageurs ont visité le royaume, soit + 2,4 % par rapport à 2013, tandis que les recettes se sont élevées à 5,45 milliards d'euros (+ 2,9 %), indique l'Office national marocain du tourisme (ONMT). Et la marge de progression est encore importante, au regard des grands projets en cours - notamment le terminal de croisière du futur Wessal Casablanca Port, dont les travaux ont commencé en mars, et qui pourra accueillir jusqu'à 450 000 croisiéristes par an - et du fait que le Maroc dispose d'un riche patrimoine culturel à valoriser, étant le pays africain qui abrite le plus de sites classés par l'Unesco.

La Royal Air Maroc (la RAM, qui est d'ailleurs la marque la plus connue du continent africain par les journalistes de la presse économique mondiale, selon un récent sondage de l'agence parisienne Rumeur publique) a contribué à l'envol du tourisme : elle ouvre régulièrement de nouvelles lignes, et a encore battu cet été son record de trafic durant le week-end du 1er août, avec un peu plus de 55 000 passagers transportés sur 418 vols. Avec ses dessertes en hausse de 16 % sur 2013, la compagnie est devenue l'un des leaders des liaisons euroafricaines.

La montée en gamme des infrastructures

Le Maroc est 1er en Afrique du Nord et 3e à l'échelle du continent pour l'équipement en infrastructures, selon un récent classement FMI. Concernant les transports, et en attendant le premier TGV d'Afrique qui reliera Casablanca-Rabat à Tanger en 2018 (près de 700 millions d'euros, dont 364 M€ pour le TGV sont investis en 2015 pour les chemins de fer marocains, classés premier réseau d'Afrique), tous les regards se tournent vers l'exceptionnel succès du nouveau port Tanger Med. Jouxtant la zone franche industrielle (650 entreprises, 50 000 empois) où s'épanouit l'industrie automobile, il ne cesse de dépasser ses objectifs depuis son inauguration en 2007, enregistrant encore à fin juin 2015 un trafic en croissance de 4 % par rapport au premier semestre 2014, selon l'autorité portuaire (TMPA). Tanger Med vient d'être classé cinquième port de Méditerranée (et 49e mondial), renforçant ainsi concrètement le positionnement du Maroc comme un carrefour dans le commerce maritime.

Et ce n'est pas fini : alors que l'extension Tanger Med II est financée et déjà en chantier, c'est maintenant sur la côte atlantique, à Kénitra (47 km au nord de la capitale Rabat) qu'une deuxième zone franche portuaire est projetée. Kénitra Atlantique, qui sera reliée à la LGV Casablanca-Rabat-Tanger, est le site choisi par PSA-Peugeot Citroën pour y implanter une usine (un investissement de quelque 557 millions d'euros, à Ameur Seflia) d'une capacité de 200 000 véhicules par an, à partir de 2020.

Outre le portuaire avec Tanger Med, Tanger Med II et Kénitra Atlantique, et le ferroviaire avec le TGV, le royaume renforce aussi ses infrastructures aéroportuaires. Ainsi, l'Office national des aéroports (ONDA) a-t-il projeté 360 millions d'euros d'investissements en 2015. La sûreté et la sécurité des aérodromes se sont vues allouer la plus grande part des ressources, tandis que près de la moitié est affectée à la modernisation de l'aéroport de Casablanca, qui cumule la moitié du trafic marocain.

Côté services financiers, il faut noter la montée en puissance de Casablanca Finance City (CFC), qui participe au « Cluster Finance » AfricaFrance-Paris Europlace, et affirme la vocation de la capitale économique du Maroc à devenir la porte d'entrée financière privilégiée de toute l'Afrique de l'Ouest et subsaharienne (lire page 7).

Un pays qui inspire confiance

Côté conjoncture, de nombreux indicateurs sont au vert : la banque centrale marocaine Bank al-Maghrib (BAM) prévoit une croissance de l'économie de 5 % en 2015, le double de l'an dernier, et le FMI en prévoit autant pour 2016. Au cours du premier semestre 2015, les flux d'IDE ont bondi de 19,6 % à 1,212 milliard d'euros, le déficit commercial s'est allégé, le chômage enregistre une baisse au second trimestre 2015, passant à 8,7 % contre de 9,3 % au T2 2014 (étant certes entendu que ce chiffre ne renvoie qu'à la partie formelle de l'économie), et le taux d'investissement est très élevé, à 32 % du PIB (estimation de la Banque africaine de développement).

De même, les réserves du Maroc en devises s'élevaient à 18,24 Mds euros au 24 juillet, en hausse de 15 % sur un an, tandis que le déficit budgétaire a été ramené à 4,9 points de PIB en 2014 (contre 5,4 % en 2013), en ligne avec l'objectif gouvernemental de le ramener à 3,5 % du PIB d'ici à 2016. Par ailleurs, la dette publique marocaine s'est stabilisée fin 2014 à 66,4 %, la dette extérieure représentant quant à elle 30,4 % du PIB. Malgré des difficultés réelles (voir l'encadré ci-dessous), tous ces éléments contribuent à positiver l'image du Maroc, qui ne cesse d'ailleurs d'engranger les satisfecit de la part des institutions financières internationales, comme le FMI, la Banque africaine de développement (BAD), la Banque mondiale (BM) et la Banque européenne d'investissement (BEI).

« Globalement, les résultats économiques enregistrés par le Maroc ont été solides », notait fin juillet Min Zhu, directeur général adjoint du FMI, rappelant aussi que la Ligne de précaution et de liquidité (LPL), accordée au Maroc en août 2012, a été renouvelée en juillet 2014 pour une durée de deux ans et pour un montant de 5 milliards de dollars. Fin juillet également, lors de l'annonce d'un prêt de 114,5 millions de dollars accordé au Maroc pour le financement de son programme d'appui à la compétitivité de l'économie (PACEM), Donald Kaberuka, le président sortant de la BAD (1,96 Md € d'engagements au Maroc), tenait des propos allant dans le même sens : « Le gouvernement marocain a mis en place des mécanismes très appropriés (...) nous sommes sur le bon chemin. »

Tout va bien aussi du côté de la Banque mondiale : dans la foulée de prêts de 1,18 milliard de dollars pour l'année fiscale 2014, et 1,06 milliard en 2015, la BM prévoit pour l'année fiscale 2016 (juillet 2015-juin 2016) cinq prêts d'un montant cumulé de 850 millions de dollars, destinés au financement d'infrastructures, à l'amélioration de la gouvernance et de l'irrigation. On notera enfin que sur la période 2007-2014, le Maroc aura été le premier récipiendaire des prêts alloués par la BEI-FEMIP (la Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat, instrument de la BEI en Méditerranée), avec 29,34 % des crédits, devant la Tunisie (23,51 %) et l'Égypte (19,28 %).

Une avalanche de satisfecit

Parmi les autres marqueurs qui témoignent de l'attractivité grandissante du Maroc, il faut relever aussi l'augmentation constante des investissements directs étrangers (+ 9 % en 2014) attirés par le pays : avec près de 3,6 milliards de dollars d'IDE collectés en 2014 (contre 3,3 en 2013 et 2,7 en 2012) sur un total continental de 32,5 Mds $, le Royaume alaouite a capté 11 % des IDE africains. « Le Maroc se positionne de plus en plus comme une passerelle vers un continent africain en forte croissance, particulièrement pour les investisseurs américains et européens », notent cette fois les auteurs du rapport sur l'attractivité du continent publié cet été par Ernst & Young.

Certes, le royaume doit pourtant faire encore bien des efforts en de nombreux domaines (voir l'encadré ci-dessous). Mais, ces réserves étant émises, force est de constater qu'en cette année 2015, le Maroc ne cesse de se voir décerner des satisfecit venant de tous côtés. Le rapport Doing Business 2015, édité fin 2014 par le groupe Banque mondiale, attribue un grand satisfecit au Maroc : après un bond de huit places l'année précédente, le royaume réalise une nouvelle performance en avançant encore de 16 places, devenant le 6e pays africain le mieux placé pour l'environnement des affaires (et le 71e mondial, contre 84e auparavant). Début juin, le rapport biennal 2014-2015 consacré à la compétitivité de l'Afrique, publié conjointement par le Forum économique mondial (WEF, Davos) et la Banque africaine de développement (BAD), la Banque mondiale et l'OCDE a confirmé, pour la troisième année consécutive, la quatrième place du Maroc sur le continent, derrière le Rwanda, l'Afrique du Sud et l'Île Maurice.

Le Maroc figure aussi parmi les pays du classement publié par Bloomberg en février 2015, qui le situe en 21e position sur les 25 pays émergents ou pré-émergents les plus prometteurs dans le monde. Avec un score de 43,4, il devance la Russie et l'Inde, et se place deuxième en Afrique, derrière l'Afrique du Sud - tandis que le Maroc est aussi le second pays pourvoyeur d'IDE intra-africains. Côté risque pays, on remarquera que, depuis mars 2014, Standard & Poor's maintient ses notations sur la dette à court et long terme (« BBB »), permettant au Maroc de rester dans la catégorie « Investment Grade », et a amélioré ses perspectives, de « négatives » à « stables ».

En fait, malgré la crise économique mondiale, le Maroc n'a cessé ces dernières années de consolider ses équilibres macroéconomiques. Et, pour parachever ce tableau d'un pays qui inspire confiance, force est de constater que les élections régionales et communales du 4 septembre dernier, en confirmant globalement les rapports de force issus des élections législatives de 2011, confortent le ressenti d'un pays stable, avec un système de représentation démocratique et de gouvernance en voie de maturation.

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ENCADRÉ

Le défi de l'accélération des réformes

Les multiples raisons de se réjouir de l'avancée du Maroc ne doivent pas faire oublier que des points noirs perdurent dans l'économie du royaume, par exemple le fait que quelque 20 % des jeunes diplômés de l'enseignement supérieur sont au chômage.

Ce constat est d'autant plus inquiétant que même si la croissance atteint 5 % cette année, elle reste trop faible au regard de l'objectif de 6 %, seuil en deçà duquel la réduction du chômage est impossible ; et encore plus insuffisante au regard de l'autre seuil — 10 % —, indispensable au Maroc pour accéder au club des pays émergents.

Certains dirigeants marocains au plus haut niveau évoquent sans détour cette réalité préoccupante, comme le fait Abdellatif Jouahri, gouverneur de la BAM. Présentant début juillet son rapport annuel à Mohammed VI, il a mis en exergue l'impérieuse nécessité d'accélérer les réformes, en particulier d'un marché du travail considéré trop « rigide », les retraites dont les caisses sont déficitaires, les distorsions fiscales sectorielles, la régionalisation et la problématique du renouvellement des élites, la réforme aussi de la justice, jugée « primordiale pour l'amélioration de l'environnement
des affaires »
.

Des observateurs étrangers considèrent eux aussi que le royaume pourrait encore mieux faire. C'est le cas de la BAD qui, dans un rapport de 250 pages réalisé à la demande du gouvernement marocain, publié en février dernier et intitulé « Diagnostic de croissance du Maroc : analyse des contraintes à une croissance large et inclusive », relève plusieurs points insatisfaisants : une croissance faible au regard d'un taux d'investissement parmi l'un des plus élevés au monde ; la toujours faible industrialisation (27,3 % du PIB) de l'économie ; le faible dynamisme des PME ; une trop faible compétitivité internationale (illustrée par un déficit commercial à environ 15 % du PIB) ; l'insuffisance du capital humain et du management intermédiaire ; la lenteur du système juridique ; les « distorsions » du système fiscal ; l'accès difficile au foncier, régi par trois régimes différents ; un code du travail contraignant par rapport aux pays d'un niveau de développement comparable...

Bref, selon un consensus qui se fait jour, urbi et orbi, le Maroc peut — et doit — encore mieux faire.

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> Retour au sommaire du dossier « Le Maroc, porte d'entrée royale en Afrique »,

de notre supplément LA TRIBUNE AFRIQUE de LA TRIBUNE Hebdo n°142 du 18-24 septembre 2015.

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Alfred Mignot

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Commentaires 5
à écrit le 30/10/2022 à 14:03
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Les drogues représentent la plus importante source de devises dans l’économie marocaine. Le Maroc dans la liste Noir du Gafi (finances international) il semble que le Maroc favorise les trafiques financiers venant d’activités criminelles, trafic d...

à écrit le 30/10/2022 à 14:03
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Les drogues représentent la plus importante source de devises dans l’économie marocaine. Le Maroc dans la liste Noir du Gafi (finances international) il semble que le Maroc favorise les trafiques financiers venant d’activités criminelles, trafic d...

à écrit le 15/11/2016 à 11:41
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C'est l'industrie la coopération a L'UE la clef a l'économie pour répondre au besoin de la nation..

à écrit le 22/09/2015 à 14:12
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Bonjour, Votre article est certes complet, mais je m'étonne que le coté écologique et énergétique n'aient pas été évoqués. Ex: les centrales solaires et les parcs d'éoliennes, qui vont contribuer à la réduction de la dépendance aux énergie fossiles...

le 06/10/2015 à 4:47
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Bonjour, je partage votre point de vue, les avancées marocaines en matière écologique et d'énergies renouvelables sont exemplaires en Afrique et méritent d'être connues. Ce sera l'objet d'un prochain article. Cordialement,

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