
L'affaire autour du glyphosate, l'herbicide désormais le plus connu du monde, est stupéfiante. Tant par la virulence des prises de position de ses détracteurs que par les multiples rebondissements que connaît cette saga qui a commencé au printemps 2015. Dans sa nouvelle évaluation, le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) a classé le produit comme « cancérogène probable ». Depuis, l'écolosphère s'est embarquée dans un combat sans merci contre cet herbicide, dont la faute originelle consiste à avoir été conçu et commercialisé par la firme américaine de Saint-Louis, Monsanto. Signée par plus d'un million de personnes, une pétition circule sur internet exigeant son interdiction.
Et pourtant, le glyphosate reste l'un des herbicides les moins toxiques encore disponibles pour les agriculteurs. Utilisé depuis plus de trente ans, il a largement fait ses preuves, et cela sous la vigilance constante et renouvelée des agences d'évaluation sanitaire du monde entier. Elles sont unanimes : le glyphosate n'est ni cancérogène, ni mutagène et il n'a aucun effet toxique sur la reproduction. C'est encore ce qu'a rappelé l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) dans un avis rendu le 15 mars 2017. Pour toute personne connaissant le mode d'action très particulier de cet herbicide - il bloque le processus de la photosynthèse chez les plantes -, il est aisé de comprendre pourquoi ce produit n'est pas vraiment le candidat idéal pour déclencher des maladies de type cancers. Dès lors, comment expliquer qu'une institution de renommée internationale comme le CIRC puisse se distinguer et faire « cavalier seul » ?
Une des plus vastes études jamais réalisées non prise en compte
Une partie du voile vient d'être levée par l'agence de presse britannique Reuters, qui a eu accès à la déposition d'Aaron Blair, le président du groupe de travail du CIRC en charge d'évaluer le glyphosate. Effectuée sous serment dans le cadre d'une procédure judiciaire en Californie, sa déposition révèle qu'une étude essentielle a tout simplement été écartée au motif que ses résultats - pourtant connus par Aaron Blair - n'étaient pas encore publiés.
Il s'agit des conclusions de l'Agricultural Health Study. Or, les auteurs ne trouvent aucune association entre l'usage du glyphosate et le développement de cancers, alors qu'il s'agit d'une des plus vastes études épidémiologiques réalisées dans le monde agricole, puisqu'elle concerne 89.000 participants - des travailleurs agricoles, agriculteurs et leurs familles de l'Iowa et de la Caroline du Nord. Interrogé par les avocats de Monsanto, Aaron Blair a reconnu que si ces conclusions avaient été prises en considération par les experts du CIRC, le classement du glyphosate aurait certainement été différent. Et il n'y aurait pas eu d'« affaire glyphosate ».
Pilonnage médiatique
Sauf qu'aujourd'hui il est difficile - sinon impossible - pour le CIRC de revenir sur sa décision sans perdre la face, et surtout sans apparaître comme disqualifiée aux yeux du grand public. En effet, les ONG hostiles au glyphosate ont gagné la bataille de l'opinion publique. Désormais, nous n'assistons plus à une simple querelle d'experts, mais à un véritable pilonnage médiatique judicieusement organisé par l'écolosphère, et ses relais, dont quelques journalistes « acquis à la cause ».
Il faudra donc un sacré courage aux responsables des pays européens - et en particulier au gouvernement français - pour soutenir la proposition de la Commission européenne, qui souhaite ne pas priver nos agriculteurs de cet herbicide, au profil toxicologique très favorable. C'est pourtant le choix le plus raisonnable au regard des éléments dont disposent nos décideurs. Notamment grâce aux documents tout récemment rendus public par Reuters.
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Par Gil Rivière-Wekstein, fondateur du site d'information Agriculture et Environnement, auteur de "Panique dans l'Assiette - Ils se nourrissent de nos peurs", aux Editions Le Publieur (mai 2017), 214 pages, 19 euros.
Je ne sais pas si c'est cancérigène mais c'est pas sur que ce soit bon pour les enfants pendant la récréation de 10h avec leurs gouters.
Sinon on peut aussi chercher qui est nature et environnement et ce qu'il font:
attaques personnelles diverses et variées sur des personnalités du méchant lobby (vous savez le lobby écolo gauchiste) Condamnation en justice, liens trouble, bref tout du petit troll lobbyiste…
Voici l’article de Wikipédia, on sait tous ce que ça vaut mais c’est le seul site mis à part celui de nature et environnement qui ne lui soit pas hostile…
Critiques[modifier | modifier le code]
Marie-Christine Blandin, sénatrice Europe Écologie Les Verts, affirme qu'Agriculture et environnement « attaque violemment ceux qui mettent en doute l’agriculture intensive et évoquent le réchauffement climatique. On y trouve des calomnies, des diffamations sur le professeur Belpomme, Greenpeace, Nicolas Hulot, le WWF ou l'association Kokopelli. Souvent des attaques sordides. Avec un ton presque militant »9.
Le journaliste Stéphane Foucart considère ainsi que « le site Web à l'origine des attaques lancées contre M. Séralini n'est pas anodin. Il est bien connu des chercheurs dont les travaux mettent en cause la sécurité des produits commercialisés par l'industrie agrochimique (OGM, pesticides, etc.). Notamment, des scientifiques travaillant sur les risques des pesticides pour les abeilles y sont systématiquement mis en cause, quand bien même leurs travaux ne sont pas controversés »2. Les cibles récurrentes du site sont par exemple le professeur Gilles-Éric Séralini, Christian Vélot et Angelica Hilbeck, tous trois responsables du CRIIGEN10, ou encore le professeur Dominique Belpomme dont l'engagement pour la cause écologiste est également affiché11.
Pour Jacques Testart, Gil Rivère-Wekstein est « un lobbyiste authentique rémunéré par l'industrie pour contre-attaquer systématiquement toute critique de l’agriculture productiviste »12.
Dans un article du 22 juin 200613, Gil Rivière-Wekstein prétend que Jean-Marc Bonmatin, chargé de recherches au CNRS et spécialiste des neurotoxiques chez les insectes, n'est pas docteur alors que celui-ci dispose d'un doctorat en sciences. Le 6 mars 2007, Gil Rivière-Wekstein est condamné par la Chambre correctionnelle d'Orléans à 750 euros d'amende et 2 500 euros de dommages et intérêts pour diffamation publique envers un fonctionnaire public13. La peine est confirmée en appel le 19 mai 2009 par la Chambre correctionnelle de la Cour d’Appel d’Angers13.
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Plus une organisation est grande, plus elle est puissante, et plus elle a tendance à agir à son profit et à écraser celui du peuple. Les plus puissantes atteignent le niveau où elles contrôlent les opinions et parviennent à ce que plus personne ne peut parler publiquement contre elles et par exemple les traiter de lobbies. Ainsi les gros de l'agro-alimentaire sont bien sûr un oligopole dangereux, mais pas assez pour échapper à l'étiquette de "lobby" ; les plus puissants et dangereux sont encore plus gros, ce sont les gouvernements, et encore au dessus l'OTAN, l'ONU, et pires encore les organisations moins visibles comme les VÉRITABLES lobbies pro-chemin de fer, anti-voiture, pour la corruption (que les gouvernements successifs ne font, sous couvert du contraire, que protéger), et une grande part des mouvements genre "commerce équitables" (une des plus énormes arnaques), "bio", écolos, pleins d'idéologie et vides d'arguments, et j'en passe.
Versailles, Mon 04 Dec 2017 00:48:20 +0100
Les réactions sont typiques : comme la plupart des gens n'ont entendu que le message de désinformation ambiant, qu'on vienne leur dire que le glyphosate est sans danger les choque.
En tout cas merci pour cette prise de position courageuse et qui devrait aller de soi si l'on s'en tient aux aspects rationnels et scientifiques.
La tribune a déniché le lobbyiste en manque d'imagination qui sort la bonne vieille stratégie du doute.
Celle du tabac qui nous a sorti des études bidons prouvant le caractère inoffensifs du tabac qui était victime d'un vilain complot pendant des décennies causant des millions de morts!
Franchement, expliquer à ce monsieur que le glyphosate est un produit extrêmement dangereux (et extrêmement utile et c'est le seul argument acceptable) c'est impossible car il est dans les croyances et l'influence. La science et la vérité n'ont aucune place dans cet article.
Je ne vais pas perdre plus de temps, et retourner gagner ma vie, moi qui ai vendu du glyphosate dans les années 90, à l'époque ou un commercial de Monsanto disait aux revendeurs qu'il était tellement inoffensif qu'on pouvait le boire!
L'essence aussi est toxique, la peinture, le plomb des fusils de chasse, tout cela est toxique à haute dose et on fait attention.
Idem l'amiante, toxique quant en lambeaux, mais pas quand bien collée.
C'est un cancérigène probable, le tabac est lui certain...
On est d'accord que vous n'avez lu sur le sujet que de la littérature militante ? Y compris dans le Monde, ou sur la quasi-totalité des media qui se citent entre eux sans une once d'esprit critique ?
Le consensus scientifique actuel est l'inverse de ce que vous dites. Vous êtes manipulé par des marchands de peur, qui acquièrent un pouvoir incroyable sur les populations en leur mentant de façon éhontée.
La chimie industrielle est apparue à la fin du XIX, elle a strictement accompagné la hausse de l'espérance de vie et notre confort matériel.
Vivez sans chimie, vous mourrez sans aucun cancer à 35 ans, voire en bas age si votre biberon n'est pas désinfecté.
Cela dit l'argumentation de l'auteur ne paraît fort contestable.
Le désherbant ne serait pas dangereux puisque c'est la conclusion d'une étude ...
Peut on imaginer que le CIRC aura eu des études jugées sérieuses qui mettent en cause ce produit ?
En quoi une étude, fut elle d'ampleur, devrait avoir plus de poids que d'autres?
Peut on affirmer que le CIRC aurait a coup sûr changé ses conclusions ce rapport rendu public? Ce fameux rapport apporte t il les assurances méthodologiques et éthiques nécessaires?
L'attitude des anti Monsanto est effectivement particulière , mais elle réponds pour parti à celle de cette firme qui n'est pas un modèle de transparence.
Produit inoffensif ? j'en doute !
Depuis je ne l'utilise plus (jamais !)
Pour valider votre hypothèse je vous invite à vaporiser de l'eau à 3 mètres de 12 nids de bourdon (stade de développement identique, de taille égale et d'espèces identiques) dans des conditions contrôlées (T°, hygrométrie, pression et aération) ainsi que du glyphosate à côté de 12 autres nids. Pour démontrer l'effet il est aussi nécessaire d'essayer des concentrations différentes (3 au minimum sur 36 nids de bourdons). N'hésitez pas à venir nous faire part des conclusions de votre étude !
Cordialement ;-)
Vaudrait mieux 36 nids avec eau, 36 avec une dose standard de glyphosate, et comparer le résultat.
Le savon, c'est de la chimie.
Vous vivez dans les produits chimiques, sans eux, oui, il y aurait effondrement de la société.
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"robert" 07 jul 2017 14:56 GMT+2 « le peuple ne veut plus l'utilisation de produit chimique »
Personnellement je VEUX "l'utilisation de produit chimique" donc ce n'est pas "le peuple" qui n'en "veut plus". Et je suis loin d'être le seul. Et je veux BEAUCOUP de produits chimiques, pas seulement ceux (judicieusement) rappelés par "Sans produit chimiques ?" le 30 nov 2017 14:58 GMT+1, mais aussi une partie significative de ceux utilisés dans les vaccins, engrais (azote, phosphore, etc). Là comme ailleurs TOUS les produits sont, à certaines doses bénéfiques, et à d'autres nocifs. Par exemple en 1950 les épidémies étaient vastes et meurtrières (ma famille en avons subi e.g. de variole, et pire, de fièvre jaune), les vaccins imposés pour changer de continent étaient 3 ou 4 et administrés par des gens et organismes (e.g. Institut Pasteur) en qui l'on pouvait avoir confiance, du coup on les acceptait malgré les réactions (1 décès dans ma famille, des cicatrices dont sur ma personne) ; au contraire en 2017 le pouvoir augmente inconsidérément le nombre (11) des vaccins, ainsi que la rigueur de leur imposition (obligatoires sans condition de voyage), alors même que le danger des maladies a considérablement baissé et que la crédibilité des "autorités" a sombré (y compris gouvernement et hélas l'IP). Autrement dit, tout est question de quantités, de mesure, et (ce qui hélas est en perdition) d'intelligence et d'honnêteté.
Versailles, Mon 04 Dec 2017 00:50:10 +0100
Lorsqu'une étude est faite et que le premier producteur mondiale de glyphosate fait parti du groupe de travail, le résultat est connu d'avance.
https://echa.europa.eu/documents/10162/13626/efsa_glyphosate_conclusion_en.pdf
voir summary, 2e paragraphe
On peut vraiment dire qu'on a là un argument scientifique d'une rigueur incroyable ! Et pourquoi pas : L'amiante isole de la chaleur, il est aisé de comprendre que le produit n'est pas cancérigène.
Les soldats du nucléaires semblent être les mêmes que ceux de l'agro-industrie et on peut bien se demander pourquoi si ce n'est le traitement radioactif de nos aliments par l'agro-industrie pour des fins de conservation qui est le seul lien que je vois mais qui a prit une véritable ampleur.
"Irradiation des aliments" https://fr.wikipedia.org/wiki/Irradiation_des_aliments
Foucart à ce titre a pour habitude de virer les gens pas de son avis en les appelant des trolls.
A ce jours les chiffres sont du coté des trolls, donc il faut les attaquer sur des procès en sorcellerie, genre vendu à satanistes du commerce.
Aucune référence aux ONG qui se gavent de milliards, ni a l'IARC qui est infesté d'activistes notoires qui ne jugent même pas nécessaire de déclarer leurs conflits d'intérêts lors de la publication, et se permettent de supprimer des articles dérangeants.
aucune référence aux géants de la distributions qui financent, via des activistes, des études, qui outre l'accusation de mauvais traitement aux animaux, sont clairement accusé de torturer les statistiques.
Vous soulever un gros problème, celuis de la partialité des modérateurs, et la notion de "trolls" sur certains médias.
Je crois par contre que vous faites parti du problème et pas de la solution.
Mais bon vous le savez déjà hein...
Marre de vous signaler je préfère que vous exposiez votre stratégie devant tout le monde.
Si vous voulez par contre on prend un journaliste de la tribune comme témoins et on lui parle de nos expériences respectives, OK ?
Non parce que vous n'avez vraiment pas intérêt à ce que la sordide vérité éclate car la vérité sur lagroindustrie elle est vraiment moche et bonne pour les assises et pas seulement la correctionnelle.
Arrêtez donc vous êtes obligé d'être perdant de part la nature même de ce que vous defendez. Merci
vous n allez pas tarder à ne recevoir que des articles ou les commentaires sont exclus !
Honnêtement il faut l'avouer les vrais gens ne sont pas la majorité sur les forums, il faut une série de circonstances le permettant, sinon le citoyen lambda n'a pas le temps de venir commenter et les trolls de toutes sortes l'ont bien compris.
Du coup 70% des forums à peu près sont infestés de commentaires orientés venant de la part de gens qui défendent leurs intérêts directs ou indirects.
Dans ce cas franchement, il vaut mieux interdire définitivement les commentaires plutôt que de nous faire croire que les citoyens seraient naturellement conservateurs, rétrogrades, anti libertés, pro-fric, ultra égoïstes, pollueurs, et-c... j'en passe et des meilleurs.
Si je viens sur la tribune c'est d'abord pour leurs articles, je continuerais donc à venir avec plaisir même si les commentaires ne sont pas possibles ce n'est pas grave, ce qui est grave c'est qu'il est impossible d'instaurer un véritable débat démocratique sans que les propriétaires des outils de productions et leurs serviteurs ne faussent abondamment et totalement la donne, là c'est grave mais particulièrement représentatif d'un système oligarchique.
déjà elle viole le principe de sécurité, puisque entre les 50 morts et milliers de reins détruits des graines germées bio, ou l'on a refusé de ne plus interdire la désinfection, et les intoxications aux halucinogènes de la Datura et autre parasites, les aflatoxines cancérigènes, nous avons des risques objectifs, sérieux, et mesurés qui devrainet faire interdire si ce n'est la filière, tout au moins des pratiques.
Quand on ajoute le fait que ca consomme plus de terre et d'énergie, que les produits sont plus riches en phytosanitaires endogènes (genre les furanocoumarisne du celeri qui blessent les cueilleurs, la cucurbitacine qui a tué un allemand, et autres noirceurs de pommes) parce que la plante mal protégée se protège avec des produits que l'on ne se permet même pas de mesure lors des analyse toxicologiques, le bilan devient catastrophique.
si on ajoute les pesticide bio comme la bouillie bordelaise qui ravage le bassin d'Arcachon, ou l'atrazine, PE interdit sauf dans l'huile de neem, ca dépasse l'entendement que ces pratiques soient encore autorisée...
mais bon, c'est bio c'est donc bon.
les gens de la ville, les jeunes surtout, sont incultes en matière de sécurité alimentaire et d'agriculture, mais ils ont de l'argent et regardent arte et lisent Le Monde. ceci explique cela.
Le deux poids deux mesures est... fatiguant.
Votre argument principal étant un phénomène de blocage de la photosynthèse, il me semble par contre TOUT BETE que cette société PROUVE que le cassage d'une molécule VIVANTE n'a AUCUN effet sur une autre.
Alors, pourquoi ne le fait-elle pas..???
Je sais, j'ai des questions trop gênantes...
Rubrique idée peut être mais avec un minimum de ligne éditoriale non ?
Nier que les produits chimiques sont nocifs pour la santé (humaine ET animale) relève de la méthode Coué, mais plus sûrement de la protection des intérêts de l'agro-chimie.
L'industrie chimique voit bien que les communautés de consommateurs informées ne veulent plus de chimie , ni de produits vétérinaires (antibiotiques, hormones...) dans leur assiette. Les études qu'ils produisent sont aussi fausses que les documents qu'ils fournissent pour faire homologuer leurs produits...avec la complicité de "scientifiques", des lobbies, en fait d'une mafia pour qui l'argent n'a pas d'odeur et surtout pas celle de la chimie.
Tant que ça rapporte du fric, il faut en profiter !
Les défenseurs du bio auront toujours raison sur ceux des produits chimiques étant donné que ces derniers ne peuvent être motivé que par l'avidité.
Et bizarrement... :"Gil Rivière-Wekstein défend des thèses qui servent les multinationales agroalimentaires et chimiques" http://www.buvettedesalpages.be/2013/11/gil-riviere-wekstein-defend-des-theses-qui-servent-les-multinationales-agroalimentaires-et-chimiques.html
Face à la volonté du consommateur de vouloir des produits plus sain l'agro-industrie contre attaque de toutes les façons. C'est vraiment moche de la part de tout les obscurantistes qui la suivent hein...
Au moins cela permet de nous montrer l'ampleur de la propagande agro-industrielle, merci beaucoup monsieur.
sinon les bio est super toxique en fait.
les produist bio sont en fait simplement plus anciens, moins bons, moisn sélectifs, moins efficaces. il faut en mettre plus pour le même effet.
si on en met moins, les plantes se défendednt et produisent leur propres insecticides et fongicides naturels, parfois mortel comme pour le papi allemand mort d'une courge croisée avec du sauvage parce que cet idiot recyclait les graines comme il ne fait surtout pas le faire. (sa femme a survécu, il savait même pas comme nos parents que l'amertume indique poison, il pensait détox).
la malhonêteté de l'industrie du bio a atteint son paroxysme quand on a tué 50 personnes et envoyé des milliers de personnes aux soins intensif pour défaillance rénale , parce qu'on s'était refusé d'utiliser du chlore chimique (lol), pour nettoyer des graines qu'on faisait germer à température tiède.
les gens sont mort et on s'est interdit de corriger le problème...
et on a fait un scandale parce que des escrocs ont mis du cheval (très gouttut et sain) dans les lasagnes au boeufs...
le deux poids deux mesures est pathétique.
on a ainsi autorisé l'huile de neem qui contien en plus de principes pas vraiement bien conneu nis stables en composition, de l'atrazine qui comme perturbateur endocirnien bien identifié, est interdit en agriculture classique.
le bio peut emproisonner les gens sans scrupile, et on emmm... les agriculteurs avec des risques bidons ou des risques qu'il savent gérer avec professionalisme.
a ce propos êtes vosu incultes au point de ne pas savoir que le café est un insecticides, et que les furanocoumarine cacérigènes du céleri sont amplifiée par la culture bio vu que les plantes souffrent de mal être protégées, au point de rendre malade les ceuilleurs?
savez vous que le soja, comme les choux, sont des perturbateurs endocrinien ubicuitaire ?
l'inculture des défenseurs du bio est pathétique, comme celle des journalistes ...ou est-ce autre chose que de l'inculture, ?
Incroyable dites moi, ça fait des milliers d'années que les humains s'empoisonnent en mangeant. Heureusement que monsanto est là pour sauver l'humanité !
Ce que vous faites là c'est vraiment moche mais vu que l'agroindustrie et mafia travaillent ensemble c'est pas étonnant non plus.
Au secours..
Il faut moins de chimie dans les sols et l'agriculture et retrouver une vie plus naturelle.
Car comprenons nous bien le problème ne vient pas uniquement du glyphosate mais du cocktail chimique utilisé par l'agriculture, par l'agro-alimentaire, par l'industrie pharmaceutique etc ... .
Ce cocktail est une bombe chimique qui détruite les terres agricoles en les stérilisant de leur humus ce qui est un suicide économique et écologique. Mais également es coprs et générant la plus grande épidémie de cancers et troubles dégénératifs que l'humanité ait connue de mémoire d'humain. Et enfin cette pollution se retrouve dans les nappes phréatique et plus de 80% des cours d'eau qu'il faut ensuite dépolluer pour pouvoir boire, se laver et irriguer.
Tout cela est un non sens. Aucune molécule non biodégradable naturellement par des organismes naturels ne devraient être en circulation dans les circuits commerciaux que ce soit pour l'agriculture ou toute autre raison.
Le problème c'est le besoin d'enrichissement personnel de nombreuses firmes au travers des brevets sur des molécules chimique. La véritable racine du mal et donc de la pollution de notre planète est là : Les brevets générant de l'argent.
Pour désherber il existe des méthodes naturelles qui créé de l'emploi, il existe des machines et enfin il existe des robots.
Pour lutter contre les nuisibles il existe des méthodes naturelles qui consistent à mélanger les éspèces végétales afin qu'elles se protègent mutuellement.
Enfin pour lutter contre les parasites, il existe des méthodes de lutte biologique par les prédateurs naturels des envahisseurs.
Bien évidemment ces méthodes reconnues dans le monde entier comme efficace sont peu connues des agriculteurs lambda qui sont juste des techniciens spécialisé en chimie et non de véritables paysans protégeant le vivant. Et surtout ces méthodes rapporte zéro argent aux industries chimiques issues de la 2ème guerre mondiale qui ont reconverti les armes de l'époque en pesticide.
Et pourtant nous pourrions avoir un pays totalement en BIO, avec de l'agroforesterie, des intrants naturels, une population plus nombreuse travaillant dans les champs, des nappes phératiques non polluées, desc ours d'eau ou nous pourrions de nouveau nous baigner et des fruits dans lesquels nous pourrions croquer sans risquer l'empoisonnement chimique.
Ce qui me dégoûte le plus c'est de voir des gars en tenue de cosmonaute pulvériser sur nos fruits et légumes des produits toxiques et qu'ensuite nous achetions ces mêmes fruits et légumes en supermarché pour les manger. C'est un paradoxe infernal digne de kafka.
Je suis entièrement d'accord avec vous ! C'est bien pour ça que le glyphosate est un produit utile car biodégradable par les organismes naturels. Si vous désherbez votre trottoir par contre il ne sera pas dégradé rapidement car trop peu de bactéries.
"Mauvaises herbes résistantes au glyphosate : espèces envahissantes suprêmes
Énorme ironie mise en relief par l'article de Cockburn, la dépendance de l'Amérique au glyphosate cancérigène probable se retourne contre elle. Le recours excessif au glyphosate à la fois sur les espèces envahissantes et les cultures génétiquement modifiées tolérantes à cet herbicide, a entraîné le développement de mauvaises herbes résistantes au glyphosate. Dans l'article, le Dr Charles Benbrook, consultant agricole, est cité : « C’est un désastre ... Comme les mauvaises herbes résistantes se disséminent et deviennent de plus en plus un enjeu économique pour davantage d'agriculteurs, le seul moyen qu'ils connaissent pour réagir – la seule manière dont ils estiment pouvoir agir – consiste à pulvériser toujours plus. »
Il est devenu courant pour les agriculteurs de pulvériser trois fois par saison au lieu d'une fois, et Benbrook estime que les doses supplémentaires d'herbicide s’élèveront à 75.000 tonnes en 2015. Les agriculteurs doivent désormais composer avec le marestail tolérant au glyphosate, qui grandit jusqu'à huit pieds de haut, avec des tiges assez épaisses, selon un agriculteur, « pour stopper dans son élan une moissonneuse-batteuse ». Selon Cockburn, c’est la suprême « invasion étrangère, faite par ici, en Amérique ».
http://www.alterinfo.net/Nouvelle-revelation-sur-le-lien-entre-glyphosate-et-cancer_a116511.html