
A la différence de ses grands rivaux Orange, SFR et Bouygues Telecom, Free s'est longtemps tenu à l'écart des télécoms professionnelles. Au sein même du groupe, certains jugeaient que l'opérateur de Xavier Niel n'avait rien à faire sur ce segment, un marché pourtant colossal de 10 milliards d'euros. Mais à partir de 2018, la possibilité d'investir ce secteur a commencé à être sérieusement envisagée. Non seulement le « B2B » est perçu comme un moyen d'engranger des recettes supplémentaires. Mais il permettra, aussi, de mieux amortir les investissements dans les réseaux. Ce qui est toujours bon à prendre, notamment au regard des milliards d'euros dépensés par...
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