L'entourage du président de la République souhaiterait, selon une information parue dans Les Echos, jouer les médiateurs pour apaiser les tensions entre l'Afer, qui regroupe 720.000 épargnants sur son contrat d'assurance-vie et SOS Principes Afer, une association bataillant ferme pour que les épargnants soient indemnisés des malversations commises par ses deux anciens dirigeants (MM.Athias et Le Saux). Objectif de l'Elysée : faire en sorte que les adhérents lésés renoncent à poursuivre les deux fondateurs au civil.
Il faut dire que, depuis leur condamnation en fin d'année dernière, SOS Principes Afer multiplient les salves à l'encontre de Gérard Bekerman, président de l'Afer. Comme le révélait La Tribune le 10 mars dernier, une missive lui avait été envoyée afin que l'Afer prenne position dans cette histoire (cliquez ici pour en savoir plus).
Le 11 mai, Gérard Berkerman a, pour la première fois, évoqué des recours afin d'indemniser les clients lésés (cliquez ici pour en savoir plus).
Un geste insuffisant aux yeux de SOS Principes Afer qui a soumis 8 résolutions explosives en vue de l'Assemblée Générale de l'Afer, prévue le 29 juin (cliquez ici pour en savoir plus).
Gérard Bekerman, président de l'Afer a communiqué ce matin sur le sujet : " Il est prématuré de communiquer pour l'instant sur toutes les démarches entreprises au sujet du procès dit des fondateurs, mais ce que je puis dire c'est que toute initiative sérieuse permettant de tourner définitivement la page dans la paix et la sérénité va dans le sens de l'intérêt fondamental des adhérents de l'Afer. Je m'y emploie. C'est le sens de ma mission".
« Quand nous mettrons le pied sur l'accélérateur, nous serons difficiles à égaler » (Joelle Pineau, directrice de la recherche en IA chez Meta)
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