
L'immobilier parisien résiste. Alors que certaines agences immobilières pronostiquent depuis quelques mois une baisse des prix dans la capitale, les notaires de Paris-Île-de-France l'affirment : les prix continuent leur progression. En effet, ils constatent pour le troisième trimestre une nouvelle hausse de 2,7 %, soit une moyenne de 8.360 euros le mètre carré. Sur un an, les prix ont tout de même pris 19,1 % à Paris et 12,1 % sur l'ensemble de l'Île-de-France. Néanmoins, on note aujourd'hui une accalmie. L'augmentation trimestrielle des prix des ventes a en effet été divisée par deux par rapport à celle que l'on observait sur le trimestre précédent. Ce ralentissement vient modérer la progression annuelle des prix qui repasse en dessous de la barre des 20 % dans la capitale, venant mettre un terme à des records historiques de hausses.
Reste à savoir si les prix vont à présent baisser. D'après les projections des notaires, cela devrait être bientôt le cas. En se basant sur les avant-contrats du mois de juin dernier, ils estiment que les prix devraient prochainement descendre autour de 8.250 euros le mètre carré avant de remonter légèrement vers 8.340 euros au début de l'année 2012.
La nouvelle orientation des prix pourrait se confirmer assez rapidement. L'indice immobilier des notaires, qui n'a vu le jour qu'en décembre 2010, ne regroupe pas encore les données de toutes les études. Or à mesure que son calcul s'affine, des écarts de prix à la baisse apparaissent. Ainsi, les notaires prévoyaient en septembre, pour des avant-contrats de juin, des prix autour de 8.650 euros par mètre carré, alors qu'aujourd'hui ils ressortent plutôt autour de 8.360 euros. « Cet écart conforte notre prudence dans l'exploitation des avant-contrats. C'est pour cela que nous nous contentons de donner des indications sur l'évolution des prix dans les mois à venir sur Paris à partir des avant-contrats et que nous travaillons pour améliorer notre collecte et notre méthode de calcul des prix », tient à préciser Alain David, chargé de missions en statistiques immobilières à la chambre des notaires de Paris-Ile-de-France.
Par ailleurs, les notaires notent que « la progression des prix en Ile-de-France a été atténuée par le ralentissement des ventes ». Au 3e trimestre, 49.500 logements ont été vendus en Île-de-France, neuf et ancien confondus, soit 4% de moins qu'à la même période il y a un an. Le recul est plus sensible dans le neuf (15 %) qui souffre d'un moindre intérêt des investisseurs. Dans l'ancien, le nombre de ventes de logements a diminué de 2 % dans la région, avec un recul plus marqué dans Paris (9 % si l'on compare les 3es trimestres 2010 et 2011).
Taux en hausse
Néanmoins, les notaires préviennent : « Les crises financières et bancaires laissent à penser que l'accès au crédit sera plus difficile et plus coûteux, alors même que les prix se situent à des niveaux élevés. Le marché, déjà fragilisé, pourrait alors se gripper. » D'ailleurs, le courtier Meilleurtaux a annoncé de son côté que les taux pourraient remonter prochainement, « compte tenu de la forte volatilité de l'OAT 10 ans passé de 2,45 % le 12 septembre (son plus bas niveau historique) à 4,01 % le 17 novembre en raison de craintes de contagion de la crise ».
10 raisons :
1) Quand Hollande sera Président, il supprimera les impôts fonciers
2) Paris est sous-évaluée (Paris est moins cher que Tokyo alors que Tokyo c'est nul)
3) Les Japonais chassés par la radioactivité vont se précipiter pour venir vivre en France et feront monter les prix
4) Les londoniens chassés par les jeux olympiques, pareil !
5) Les chinois, les russes, idem, et ils sont 1 milliard !
6) Avec l'hiver, les pauvres auront froid et feront augmenter la demande à Paris centre.
7) Les perspectives de l'économie sont excellentes
8) Ca monte depuis 10 ans, et ça n'a jamais baissé ! Nulle part !
9) Il faut toujours acheter quand les prix sont hauts.
10) Les banques vont bientôt distribuer l'argent pour qu'on puisse emprunter.
Effectivement, les immeubles vu sur le parc doit etre encore tres cher.
Mais les maisons à 30kms, c'est autre chose.
1. Réserver l'achat aux seuls primo-accédants qui ne représentent que 10% des acheteurs à Paris.
2. Geler les hausses de loyers pour dissuader tout investissement
3. Relever la hauteur de construction des immeubles parisiens
Il faudra créer de nouveaux produits d'épargne destinés à capter l'épargne vers l'INDUSTRIE et l'ENTREPRISE
L ocde est d accord avec Louis et dit que cela explique une bonne partie de l ecart de competitivite entre la France et l allemagne depuis 10 ans.
Société Générale a annoncé une chute de plus de 60 % de son programme 2012, entre 10 et 15 milliards, le Crédit Agricole une baisse de 45 % à 12 milliards, BNP Paribas de 48 % à 20 milliards et BPCE de 30 % à 21 milliards d?euros. La grande inconnue reste le Crédit Mutuel.
Au total, elles ont ainsi ramené de plus de 110 milliards à un peu plus de 60 milliards leur montant de leur opération de refinancement.
Les établissements de crédit se trouvent aujourd?hui dans la quasi-incapacité d?émettre sur leur propre nom, sans garantie d?actifs.
La population de Berlin est quasi constante et la chute du mur de Berlin a permis aux habitanst d'emménager hors l'ex Berlin Ouest.
De plus, l'Allemagne est beaucoup plus décentralisée que la France et compte beaucoup de villes moyennes qui ne subissent pas de pression immobilière car à proximité vous avez la campagne et des terrains constructibles.
Ajoutez un régime très favorable aux locataires en Allemagne et vous comprendrez pourquoi l'immobilier allemand a baissé de 25% en 15 ans.
certes seul le solde migratoire permet à la population allemande d'augmenter de nos jours,ceci étant l'allemagne étant la première économie d'europe les prix sont restés sages dans l'immobilier par rapport à la france où à d'autres pays d'europe!
De plus les perspectives d'évolution de population à 2050 me laissent toujours pensif sur leur réalité à ce lointain horizon...
Le taux de natalité en Allemagne est inférieur à 1.5 depuis 1970 et il y a peu de chance que cela change.
http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/tend/DEU/fr/SP.DYN.TFRT.IN.html
Par ailleurs, l'Allemagne ne connaît pas les mêmes gradients qualitatifs entre centres villes et banlieues. L'immigration y est moindre et de meilleure qualité ...
CQFD
C'est mauvais pour ceux qui veulent acheter et pour ceux qui ont des biens qui se trouvent ainsi avec une surévaluation artificielle donc, plus d?impôts à payer.
C'est comme l'or actuellement.
Mais vérif faite, il n'est plus au SRD, donc pas vendable à découvert.
- La légende est inversée dans les tranches de prix
-A la suite au 1er tableau: variation 3e trim 2011 / variation 3e trim 2011 !!!