
Un rendez-vous spécial pour chaque délégation. Ce jeudi 4 juillet au matin, le Premier ministre reçoit les organisations syndicales et patronales à Matignon. Des entretiens qui marquent le coup d'envoi des concertations sur la réforme des retraites.
Pour écouter les organisations syndicales, Jean-Marc Ayrault sera notamment accompagné de ses ministres des Affaires sociales, Marisol Touraine, du Travail, Michel Sapin, et de la Fonction publique, Marylise Lebranchu.
La CGT, qui sera reçu en fin de matinée, a déjà prévu d'organiser de grandes manifestations en septembre prochain. Le syndicat s'était fortement mobilisé, en 2010, lors de la réforme des retraites du gouvernement Fillon. Avec FO, il a rejetté en bloc le rapport Moreau publié en juin dernier.
La CFDT veut débattre
Ce rapport préconise notamment d'augmenter la durée de cotisation des fonctionnaires. Une mesure jugée "juste" par François Hollande. Le président de la République s'est d'ores et déjà déclaré opposé au recul de l'âge de départ à la retraite.
Le gouvernement compte sur la CFDT pour apaiser les débats. Le syndicat s'est ainsi montré plus prompt au dialogue. "Moi je vais à Matignon pour obtenir des choses. Je ne suis pas de ceux qui vont à une concertation en annonçant déjà qu'elle va échouer", a souligné son secrétaire général, Laurent Berger, mercredi 3 juillet sur Europe 1.
20 à 60 milliards de déficit annoncés
De leur côté les organisations patronales (Medef, CGPME, UPA) ont annoncé qu'elles allaient refuser toute hausse de cotisation et réfutent également la sous-indexation des pensions par rapport à l'inflation. "Ce sont à mon avis deux lignes jaunes qu'il ne faut pas dépasser", a affirmé mercredi; Pierre Gattaz, le nouveau patron du Medef.
Cette réforme doit permettre de faire des économies et d'anticiper ainsi les 20 milliards de déficit prévus à l'horizon 2020 par le Conseil d'orientation des retraites (Cor). Un trou que la Cour des Comptes a réévalué, de son côté à 60 milliards, en 2030... si rien n'est fait.
Réagir
Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.
a le à :
Son montant s'établit à 330 milliards d'euros et n'a jamais été aussi élevé depuis 1996, année où Challenge a lancé le classement des "500".
Il a quadruplé en une décennie et représente 16% du produit intérieur brut du pays. Il compte aussi pour 10% du patrimoine financier des Français, "soit un dixième de la richesse entre les mains d'un 100 millième de la population", affirme Challenge.
Ce groupe de 500 compte 55 milliardaires, 10 de plus que l'année dernière, précise l'hebdomadaire.
Les dix premiers du classement ont vu leur fortune croître de 30 milliards en douze mois, à 135 milliards (40% du total).
En tête de liste, Bernard Arnault PDG de LVMH, affiche une fortune de 24,3 milliards d'euros, en hausse de 3,1 milliards. Il est suivi de l'héritière de l'Oréal, Liliane Bettencourt, avec une fortune de 23,2 milliards, qui a fait un bond de 7,9 milliards. Gérard Mulliez, du groupe de distribution Auchan, arrive non loin derrière avec 19 milliards (+ 1 milliard), suivi de Bertrand Puech (Hermès)dont la richesse s'est maintenue à 17,4 milliards.
Les suivants sont Serge Dassault, du groupe industriel Marcel Dassault (12,8 milliards d'euros), François Pinault (Kering, 11 milliards), Vincent Bolloré (Bolloré, 8 milliards), le "roi de la bière et du vin" Pierre Castel (7 milliards) , qui fait cette année son entrée dans le Top-10, Alain Wertheimer de Chanel (7 milliards), lui aussi nouveau membre du club des 10.
Enfin le dernier du Top-10 est le fondateur de l'opérateur Free, Xavier Niel, entré dans le classement des 500 plus grandes fortunes de France en 2003 avec 80 millions d'euros et qui pèse actuellement plus de 70 fois plus (5,9 milliards).
Bismarck ! alors qu'il existait un systéme de retraite dans la marine et la chambre des
notaires :! non en France on préfére que les fonctionnaires, assimilés EDF, GDF RATP
puissent conserver lleurs modes de calculs et du privé rien à foutre ! J'ose espérer
qu'il y aura quelqu'un qui déposera devant la cour européenne pour discrimination !
@Amicalement tu as raison ne partageons rien et tu porteras beaucoup mieux ! vivement qu'on supprime les aides aux pays en voie de développement comme le tiens d'ailleurs !
LE FINANCEMENT:
-CHASSE AUX SPECULATEURS;
-TAXATION DES ENTREPRISES DU CAC 40 ET DES GROSSES ENTREPRISES;
-CHASSE AUX PATRONS VOYOUS QUI DELOCALISENT
-CONTROLE DES AIDES DE L'ETAT ACCORDEES AUX ENTREPRISES
-TAXATION DES DIVIDENDES,
-TAXATION DES STOCK OPTIONS,
-SUPPRESSION DES NICHES FISCALES;
-CHASSE AUX POLLUEURS (FUMEURS, ENTREPRISES...);
-CHASSE A LA FRAUDE FISCALE,
-TAXATION DES ALCOOLS;
-TAXATION ++ DES MAUVAIS CONDUCTEURS;
JE CONTINUE ?
Les syndicats tel qu'ils existent actuellement, ne représentent même pas 10% des salariés, la majorités des adhérents sont de la fonction publique, alors, quoi de plus normal qu'un syndicat défende les intérêts de la majorité de ses adhérents ? Il faut un syndicat du privé, et il sera surement, le plus puissant des syndicats qui n'a jamais existé et le plus écouté de loin. Un syndicat apolitique, aucune passerelle possible vers les partis politique, juste la défense du travailleur du privé qui n'a plus le poids de défendre ses intérêts alors que c'est le premier à se faire plumer dans la système actuel. Qui adhère ?
qui sera gérer par des gros magnats de la finance depuis très longtemps ils sans occupent mais il faut accélérer le pas voila pourquoi barosso pousse et notre hollande fait comme ci il tenait les rennes mais nous voyons bien qu il ne les tien plus. pourquoi la fondation bilderberg c est tenu il ni a pas si longtemps ce sont eux qui donne la marche a suivre. ont veux diviser les français sur les retraites et c est un tord de jouer le jeux d un gouvernement dépasser
Arretez la demagogie et les pleurs !
40% des fonctionnaires ne font RIEN !!! C est la verite, j etais la , je l ai vu !!!!
Evidemment il y a toujours quelques personnes qui se veulent bien pensantes et qui ennonceront le sophisme du " la pauvre infirmiere, ou du pauvre facteur " La verite, celle qui derange, c est que ces personnes ne sont que la partie visible de l iceberg fonction publique !!! il y a des régiments de personnes dans des bureaux, "caches" dans des bâtiments au sien des grandes villes de France !! Et dans ces bâtiments je confirme, je signe : 40% des fonctionnaires ne travaillent pas !!!!!!!
Assez des avantages issus de 1945, assez de l emploi a vie dans la fonction publique !!! Assez de voir les préfets realiser connerie sur connerie et de ne pas etre vire !!! Juste deplacer d un placard vers un autre !!!!
OUI A LA REFORME DU STATUT DES FONCTIONNAIRE
OUI AU LICENCIEMENT DES FONCTIONNAIRES IMPRODUCTIFS
Si il y a jalousie, c est qu il y a inégalité !
Or le second mot de la devise francais n est elle pas EGALITE !
Stop au sophisme economique.
Stop à mesonge intellectuel.
La retraite par repartition est basee sur le prelevement FUTUR de cotisation !
En effet, votre retraite sera paye par des personnes qui travailleront dans l avenir !
Quelle betise !
En effet on ne connait RIEN de ces personnes!!!
Quel sera leur travail ?? quel sera leur revenu ?? quel sera leur niveau de vie ??
Personne ne peut le dire !!
Mais c est pas grave, vous vous pretendez , quand meme, qu'ils paieront votre retraite !!!!!!
(et évidemment que votre retraite sera confortable, il ne saurait en etre autrement)
C'est beau de rever !!
Stop au sophisme economique.
Bravo vous avez bien appris votre lesson ! A l ecode c est 10/10 !
Votre politiquement correcte est parfait !
Dans la vraie vie 0/10 !
En effet, il n y a pas que les actions et autre produits financiers dans ce monde !!!!
Alors, pourriez-vous, éminent contradicteur, nous éclairer de vos lumières autres que nihilistes, en proposant vos idées innovantes et constructrives ?
autre vous dite on vie plus longtemps j ai un voisin qui c est suicider a 55 ans plus de travail
... les français n'aiment pas les privilèges .... du moins ceux des autres, parce que les leurs ne leur apparaissent pas comme tels ;-)
Alain Pietri.
(avec une retraite moindre s'il part plus jeune ou s'il y a consacré une part moins importante de son épargne)