
La France s'en sort relativement mieux que ses voisins. Selon une note éclairante rendue publique par France Stratégie ce mercredi 2 décembre, les inégalités primaires, c'est-à-dire avant redistribution, sont, dans l'Hexagone, légèrement inférieures à la médiane européenne et à celles de la plupart des autres pays européens. L'indice de Gini en France, qui reflète le niveau d'égalité d'un pays lorsque son niveau est proche de zéro et des disparités extrêmes lorsqu'il s'approche de 1, est inférieur de 1,7% à la médiane en Europe. À l'échelle du Vieux Continent, 19 pays sur 29 affichent un niveau d'inégalités supérieur.
Si le débat sur les inégalités dépasse largement les frontières de l'Europe, la pandémie a jeté une lumière crue sur les disparités criantes qui persistent dans certains pays développés. Au printemps, beaucoup de professions comme les soignants, les caissières, les éboueurs, les livreurs se sont retrouvés en première ligne dans des pays paralysés par cette maladie infectieuse. Ceux qui sont parfois surnommés "les premiers de corvée" ont ainsi dû se rendre sur leur lieu de travail la peur au ventre avec des salaires inférieurs au revenu médian. La crise risque de laisser ainsi des traces dévastatrices sur le corps social.
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Un indice de Gini plus faible en France, des disparités en Europe
En Europe, l'indice de Gini...
pour ne pas stigmatiser les enfants qui ne savent pas lire, les autres ont interdiction de savoir, ca evite la stigmatisation
et les petits francais ont ordre de ne pas faire de grec d'allemand ou de maths, c'est elitiste, donc contre l'egalitarisme
alors comme la france s'ecroule au pisa, elle offre le bac a tout le monde ( je crois que 25% des jeunes ont le bac avec mention tres bien, et on ne parle pas de ceux qui ont plus de 20 de moyenne!)
la frannce aura bientot le plus grand taux de docteurs en AI, quand elle aura offert un diplome a chaque francais, en triple exemplaire, et ce ' sur simple demande' ( comme on dit a gauche)
L’ex-député européen et fervent camarade de Viktor Orban, József Szájer, a été arrêté le 27 novembre au milieu de 25 hommes dénudés pour avoir participé à une partie fine. Si sa vie privée ne regarde que lui, ses positions politiques sont l’affaire de toutes et tous…
Dans un premier temps, cette histoire pourrait faire sourire. Vendredi 27 novembre, aux alentours de 21 heures, dans le centre de Bruxelles, la police a dû mettre un terme - Covid oblige - à une partie de jambes en l’air à laquelle participaient 25 hommes. Parmi eux, un des fêtards a tenté de prendre la fuite en passant par une corniche. Les mains ensanglantées, l’homme a finalement été rattrapé par une équipe de police venue en renfort.Mais celui-ci ne s'est pas démonté et a brandi son immunité parlementaire.il s’agissait de l’eurodéputé hongrois PPE (droite européenne), József Szájer. Ou plutôt de l’ex-eurodéputé, puisque celui-ci a démissionné de son poste le dimanche suivant. De plus, une pilule d'ecstasy aurait été retrouvée dans son sac.Monsieur Szájer ,c'est notamment lui qui tenait la plume lors de la rédaction de la nouvelle Constitution hongroise, entamée en 2010, lors du retour du Fidesz au pouvoir. On peut dorénavant y lire que la Hongrie protégera l'institution du mariage, en tant qu'union d'un homme et d'une femme…Autrement dit, celui-là même qui jouit de la communauté LGBT libre de Bruxelles, a décidé de rendre impossible la vie des personnes LGBT de Hongrie. Une bien étrange vision de l'Europe…
Le décret paru mercredi ajoute toutefois un détail de taille: pour les assurés relevant du régime général de la Sécurité sociale (Cnav) et pour les salariés agricoles (MSA), 220 heures indemnisées au titre de l'activité partielle sont requises pour valider un trimestre - dans la limite de quatre trimestres par an. Une règle différente de celle en vigueur pour les périodes travaillées, qui se base sur les montants cotisés, un trimestre équivalant à 150 fois le Smic horaire (soit 1.522,50 euros brut, 6.090 euros pour quatre trimestres). Le coût de cette nouvelle mesure pour la Sécu doit encore être déterminé par un arrêté, d'abord "à titre provisionnel" en 2020, puis "à titre définitif" en 2021.