Transition énergétique : l'équation périlleuse du programme d'Emmanuel Macron

PRESIDENTIELLE 2022. La Tribune a passé au crible les propositions énergétiques du président-candidat Emmanuel Macron. Du nucléaire à l'éolien en passant par le photovoltaïque ou l'hydrogène, ces mesures apparaissent risquées, aussi bien sur le plan industriel qu'en termes d’acceptabilité par les citoyens. Mais ce projet a le mérite de ne pas se focaliser sur une unique solution, de quoi éviter de mettre à mal l'ensemble du système énergétique en cas d'échec. Décryptage.
Comme Marine Le Pen, le candidat LREM met l'accent sur le nucléaire. Sa volonté est de construire six nouveaux EPR, voire 14 dans un horizon plus lointain. Mais la ressemblance avec le programme de la candidate d'extrême droite s'arrête là.
Comme Marine Le Pen, le candidat LREM met l'accent sur le nucléaire. Sa volonté est de construire six nouveaux EPR, voire 14 dans un horizon plus lointain. Mais la ressemblance avec le programme de la candidate d'extrême droite s'arrête là. (Crédits : JOHANNA GERON)

Quel programme énergétique Emmanuel Macron veut-il mettre en œuvre s'il est réélu le 24 avril prochain ? Est-il réalisable ? Ses promesses sont-elles à la hauteur de l'urgence climatique ? La Tribune a examiné le programme du candidat de La République en marche, après avoir décrypté celui de son adversaire politique du Rassemblement National.

Comme Marine Le Pen, le candidat LREM met l'accent sur le nucléaire. Sa volonté est de construire six nouveaux EPR, voire 14 dans un horizon plus lointain. Mais la ressemblance avec le programme de la candidate d'extrême droite s'arrête là. Car le président-candidat mise également énormément sur les éoliennes en mer et le développement du solaire, deux énergies totalement boudées par Marine Le Pen. Ses mesures concernant l'efficacité énergétique des bâtiments, levier majeur de la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) en France, semblent en revanche plus modestes que dans son précédent programme. Analyse.

À retenir


  • Neutralité carbone en 2050. La loi Énergie Climat, votée en 2019, engage la France à atteindre la neutralité carbone en 2050, soit une division par 6 des émissions de gaz à effet de serre sur son sol par rapport à 1990. Or, la production et la consommation de l'énergie sont les principaux contributeurs d'émissions de CO2, et notamment les hydrocarbures, qui fournissent plus de 60% de l'énergie finale. L'électricité représente pour sa part moins de 30% de l'énergie consommée en France.

  • Une électricité peu carbonée. La France dispose d'un atout de taille : son électricité est déjà très largement décarbonée grâce au nucléaire. L'atome répond à environ 65% des besoins électriques en moyenne. Si la loi impose également de réduire la part du nucléaire à 50% du mix énergétique d'ici à 2035, les deux candidats ont annoncé qu'ils reviendront sur cette obligation. L'enjeu pour les années à venir se situe à la fois dans le renouvellement du parc de production vieillissant, soit par la construction de nouveaux réacteurs atomiques, soit par l'installation de sources d'énergie renouvelable (éolien, solaire et hydraulique notamment), soit par les deux.

  • Rattraper le retard. Le cadre légal impose également de réduire les sources d'énergie carbonée (chauffages au fioul, carburants fossiles). La programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) votée en 2020 exige une baisse de 35% en 2028 par rapport à 2012. Alors que la France accuse déjà un lourd retard en la matière, elle devra se doter d'une nouvelle PPE dès 2023, qui fixera un cadre pour le déploiement futur des énergies bas carbone.

Nucléaire : un chantier industriel titanesque mais réaliste

Avant même de se déclarer officiellement candidat à sa réélection, Emmanuel Macron a levé le voile sur sa stratégie énergétique pour les années à venir lors de sa visite à Belfort, le 10 février dernier. Celle-ci repose en grande partie sur "une renaissance du nucléaire" en France, avec la construction de six nouveaux EPR dans un premier temps, puis de huit autres optionnels dans un horizon plus lointain. Soit potentiellement un total de 14 réacteurs et donc un chantier industriel colossal.

Sa vision repose aussi sur le prolongement de la durée de vie des réacteurs, peut-être même au-delà de 50 ans.

"C'est un programme optimiste, mais qui a été étudié", commente Nicolas Goldberg, expert énergie au sein du cabinet Colombus Consulting. "Six EPR dans un premier temps, plus huit en option, ce n'est pas un hasard, c'est l'un des scénarios envisagés par RTE [le gestionnaire du réseau de transport d'électricité, ndlr]", ajoute-t-il.

A l'automne dernier, RTE a rendu son rapport sur la faisabilité des différents scénarios de mix électrique de la France à l'horizon 2050. lls varient selon la place plus ou moins grande accordée au nucléaire et aux énergies renouvelables. Or, le scénario qui attribue le plus de place à l'atome dans la production électrique repose sur 27 GW de nouveau nucléaire, soit l'équivalent, justement, de 14 nouveaux EPR, associés à quelques petits réacteurs nucléaires modulaires, les fameux SMR (pour Small modular reactors).

"Emmanuel Macron reste, pour sa part, prudent sur le déploiement de SMR pour une production domestique", note Nicolas Goldberg. Un choix qui semble raisonnable puisque ces petites installations sont conçues avant tout pour une commercialisation à l'international dans une logique de remplacement des centrales à charbon et à gaz.

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Si l'ambition d'Emmanuel Macron pour le nucléaire français est grande, elle reste bien plus mesurée que celle de Marine Le Pen, dont les propositions sont à la fois abracadabrantes et inquiétantes. Il n'en reste pas moins que le chantier voulu par le président-candidat est titanesque. EDF rappelle d'ailleurs qu'il n'a pas encore rendu sa copie sur sa capacité à construire 14 réacteurs en France en l'espace de 30 ans. En effet, l'électricien n'a pas encore identifié les implantations possibles des huit réacteurs en option, ni étudié le rythme de construction envisageable.

En outre, la filière française semble plus que jamais affaiblie. Aujourd'hui, seuls 30 réacteurs nucléaires sont actifs sur les 56 que compte le parc tricolore. En cause : un décalage dans le programme de maintenance provoqué par la crise sanitaire, mais aussi un problème de corrosion, qui pourrait être lié à un défaut de conception et donc affecter une série de réacteurs.

A cette indisponibilité historique du parc nucléaire, s'ajoute le retard considérable que cumule le chantier de l'EPR de Flamanville, en Normandie. Débuté en 2007, celui-ci devait initialement entrer en service en 2012, mais n'a toujours pas produit un électron. EDF vise désormais un chargement du combustible au deuxième trimestre 2023.

Les autres EPR en construction dans le monde n'ont pas été épargnés par ces multiples retards. Celui britannique, situé à Hinkley Point, dans le sud de l'Angleterre, ne devrait pas être opérationnel avant la mi-2026. En Finlande, l'EPR a démarré en mars dernier, douze ans après la date de mise en service prévue initialement.

Outre ce défi industriel, se pose la question épineuse du financement du programme. Pour les six prochains EPR, la facture devrait s'élever à 50 milliards d'euros selon les estimations d'EDF. Plutôt jusqu'à près de 64 milliards, selon un document révélé par Contexte. Endetté à hauteur de 43 milliards d'euros, EDF ne pourra tout simplement pas porter ce financement sur son bilan. D'où la volonté d'Emmanuel Macron de renationaliser EDF, dont le capital est déjà détenu à 83,9% par l'Etat.

« Je pense que sur une partie des activités les plus régaliennes, il faut considérer que l'Etat doit reprendre du capital, ce qui va d'ailleurs avec une réforme plus large du premier électricien français », a-t-il déclaré le 17 mars dernier.

Un projet qui devrait faire l'objet d'intenses tractations avec la Commission européenne, très attachée à la libéralisation du marché de l'électricité.

"En même temps" que la relance du nucléaire, un boom des éoliennes en mer

Si sa volonté de relancer le nucléaire a fait grand bruit, celle-ci est cependant loin de résumer l'étendue du projet énergétique du candidat de LREM. L'atome civil ne dépasserait de toute façon pas 50% de la production électrique du pays en 2050 selon ses propositions.

Le reste serait fourni par les énergies renouvelables, et notamment par les éoliennes et les panneaux solaires. « Emmanuel Macron met en avant une volonté d'équilibrer le mix », explique Patrice Geoffron, professeur de sciences économiques à l'Université Paris Dauphine et directeur du Centre de Géopolitique de l'Energie et des Matières Premières (CGEMP). « Il n'y a aucune opposition entre le nucléaire et les renouvelables, on aura besoin des deux pour produire de l'électricité décarbonée », abonde son équipe de campagne. Et de citer les travaux de RTE, qui concluent que les renouvelables seront nécessaires, et les centrales nucléaires, un atout de taille.

Le projet du président-candidat diffère donc fondamentalement de celui de Marine Le Pen, qui promet non seulement un moratoire sur les éoliennes, mais même de procéder à leur démantèlement. Ce qui serait "une aberration complète", a estimé Emmanuel Macron ce jeudi sur France Bleu, lors d'une visite au Havre pour faire campagne sur l'écologie.

"Dans le projet de Madame Le Pen, avec stupeur, j'ai en effet découvert (...) qu'on dépenserait des centaines de millions d'euros à démonter des éoliennes existantes, ce qui, je dois le dire, est un usage de l'argent du contribuable qui m'interroge", a-t-il ajouté, à dix jours du second tour de la présidentielle.

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Et pourtant, le chef de l'Etat a récemment reculé sur les éoliennes terrestres, dont l'implantation a déjà pris du retard en France. « Je sais les controverses, les réticences, et je les comprends. Personne ne souhaite voir nos sites remarquables, classés, abîmés par de grandes pales blanches », a-t-il fait valoir le 10 février dernier à Belfort.

Ainsi, tandis qu'il tablait jusqu'ici sur un doublement de leur puissance en dix ans seulement, le président-candidat a retardé l'échéance à 2050, date à laquelle 37 GW devront être raccordés (contre 18,5 aujourd'hui). Soit moins que les 43 GW préconisés par RTE en cas de relance forte de l'atome.

Reste qu'« en même temps », Emmanuel Macron mise gros sur l'éolien en mer, et promet l'installation de pas moins de 50 parcs sur les côtes d'ici à la moitié du siècle. Ce qui devrait fournir près de 40 GW au réseau, c'est-à-dire plus que les 22 à 35 GW retenus par RTE en cas de construction de 14 EPR.

« Il espère mettre sur pied une filière française forte dans le domaine, et surtout contourner le problème d'acceptabilité des éoliennes classiques », commente Patrice Geoffron.

D'autant que les installations offshore présentent un avantage important : leur facteur de charge, c'est-à-dire le rapport entre l'énergie électrique effectivement produite sur une période donnée et l'énergie que l'installation aurait produite si elle avait fonctionné à sa puissance nominale durant la même période. Pour l'éolien en mer, elle peut aller jusqu'à 40%, contre environ 30% pour leurs homologues dans les terres.

Mais comme pour le nucléaire, le chantier promet d'être titanesque, et les possibles embûches, nombreuses. « L'ambition est énorme », estime Jacques Percebois, professeur émérite de l'université de Montpellier et spécialiste de l'énergie. « Colossale » même, insiste Patrice Geoffron.

Et pour cause, les contentieux se sont jusqu'ici multipliés, si bien que le pays ne compte toujours aucun parc éolien en mer complet, alors même que le premier a été engagé il y a près de dix ans au large de Saint-Nazaire. C'est seulement ce mercredi 13 avril que la première éolienne en mer a été installée.

« Il y a un point d'équilibre difficile à établir, entre la manière dont Emmanuel Macron va pouvoir à la fois améliorer l'acceptabilité, et aboutir à la mobilisation générale en réduisant les procédures administratives singulièrement longues dans le domaine en France », analyse Patrice Geoffron.

Sur le sujet, le chef de l'Etat promet une « meilleure planification » ainsi qu'une « loi de simplification » dès la première année de son mandat pour « lever les barrières réglementaires », celles-ci aboutissant à « des délais qui ne sont pas supportables », a-t-il récemment déclaré.

Il n'empêche qu'une loi baptisée 3DS, promulguée le 21 février dernier, autorise désormais les élus communaux à définir dans leur plan local d'urbanisme (PLU) les zones où l'installation d'éoliennes pourrait être « soumise à conditions »... ou tout simplement interdite, s'ils les jugent incompatibles avec la sauvegarde des espaces naturels, des paysages ou du patrimoine.

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Solaire : rattraper le lourd retard de la France

Surtout, Emmanuel Macron entend mettre les gaz sur le solaire photovoltaïque, avec une multiplication par dix de la puissance installée d'ici à 2050 (c'est-à-dire environ 100 GW). Soit bien plus que les 70 GW préconisés par RTE dans son scénario le plus nucléarisé, du fait de la volonté de réindustrialisation portée par le candidat de LREM, qui exige de produire énormément d'énergie.

« Il sait qu'il y a moins de problèmes d'acceptabilité pour la chasse au foncier des panneaux solaires que pour les éoliennes. On peut trouver des sites d'implantation sans grande valeur et sans conflits d'usages, sur les réseaux autoroutiers par exemple », fait valoir Patrice Geoffron.

Mais ce déploiement massif nécessite d'y mettre concrètement les moyens. Car pour l'heure, l'énergie photovoltaïque ne représente que 2% environ de la consommation finale d'électricité dans l'Hexagone, contre 7% pour l'éolien et... 67% pour le nucléaire.

Pour accélérer la cadence, le gouvernement avait ainsi dévoilé en novembre dernier un plan d'action pour assouplir certaines procédures administratives, comme les études environnementales préalables à de nouveaux projets, et identifié des gisements possibles pour l'installation de parcs photovoltaïques en France.

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Usages thermiques : un renflouement du Fonds chaleur

Reste que décarboner le mix électrique, qui l'est d'ailleurs déjà largement en France grâce au nucléaire, ne suffira pas à neutraliser les émissions de gaz à effet de serre du secteur de l'énergie dans son ensemble - même si la plupart des usages devront être électrifiés.

Et pour cause, 60% de l'énergie primaire consommée en France provient aujourd'hui des combustibles fossiles, notamment pour chauffer les logements, alimenter les véhicules ou faire tourner les industries.

Afin de s'attaquer à la pollution de ces usages thermiques, le président-candidat mise notamment sur la géothermie, la biomasse et l'incinération des déchets. Et promet ainsi de passer de 350 à 400 millions d'euros la dotation annuelle du Fonds chaleur, créé en 2009 pour aider les installations de réseaux de chaleur dans les habitats, les collectivités et les entreprises.

Par ailleurs, le chef de l'Etat déclare viser 10% de gaz renouvelable en 2030, contre moins de 1% aujourd'hui. A ce sujet, la PPE actuelle votée en 2019 avait pourtant revu les ambitions à la baisse, avec une cible de 7% de biogaz en 2030, alors même que la loi transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) de 2015 fixait, elle, un objectif de 10% à ce même horizon. Emmanuel Macron semble donc vouloir renouer avec l'ambition initiale.

Hydrogène vert : une révolution industrielle à conduire

Comme Marine Le Pen, Emmanuel Macron mise sur cette petite molécule. Il affirme ainsi vouloir "continuer à investir pour devenir leader de l'hydrogène vert" et espère créer 100.000 emplois dans ce domaine, encore émergent. Le président-candidat ne donne toutefois aucun objectif chiffré sur la capacité visée, ni sur le calendrier escompté.

En revanche, force est de constater que l'hydrogène propre, qui doit permettre de décarboner la mobilité et l'industrie lourde à l'horizon 2030, a connu un véritable engouement sous son précédent mandat.

A l'automne 2020, le gouvernement a dévoilé un plan à 7 milliards d'euros sur dix ans. L'Hexagone a même fait de l'hydrogène décarboné un pilier de son plan de relance en misant sur la création d'une véritable filière industrielle. Le chef de l'Etat a, par ailleurs, affirmé, en novembre 2021, qu'1,9 milliard d'euros supplémentaires seront consacrés au développement de la filière hydrogène dans le cadre du plan France 2030. Objectif : ne pas répéter les erreurs commises dans le domaine du photovoltaïque, où les panneaux sont aujourd'hui massivement importés de Chine.

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Rénovation énergétique : des mesures trop légères ?

Enfin, la rénovation énergétique des bâtiments est un levier majeur pour réduire les émissions de CO2 dans l'Hexagone. Avec 26% des émissions en France, c'est le deuxième secteur le plus émetteur, après celui des transports. Pourtant, comme de nombreux candidats, Emmanuel Macron y a accordé beaucoup moins d'importance dans ses discours médiatiques que le nucléaire.

Dans son programme de campagne, il précise toutefois vouloir rénover 700.000 logements par an "avec des solutions proposées à tous les Français, dont certaines sans aucune avance de frais". Quels moyens souhaite-il allouer pour atteindre ce volume ? L'information n'est pas précisée.

De même, le programme n'indique pas si une enveloppe sera consacrée à la rénovation des bâtiments publics, contrairement à ce qui avait été fait lors de son précédent mandat. En 2017, le candidat Emmanuel Macron promet, en effet, de lancer un grand plan de rénovation des bâtiments publics, de l'Etat et des collectivités locales pour 4 milliards d'euros (porté même à 6,7 milliards d'euros avec le plan de relance), ainsi que la rénovation de la moitié des logements-passoires thermiques des propriétaires les plus modestes dès 2022.

Un plan ambitieux, mais qui n'a pas "été marqué par des résultats" au début du quinquennat, à lui-même reconnu le président-candidat. Emmanuel Macron se targue toutefois que près d'un million de Français ont bénéficié de MaPrimeRénov, une aide à la rénovation, ou d'un accompagnement financier pour remplacer leur chaudière au fioul, durant son mandant.

Un bilan toutefois critiqué par de nombreuses organisations puisque peu de rénovations réalisées ont été globales, qui sont pourtant les plus efficaces pour réduire les émissions de CO2. Pour surmonter cet écueil, le candidat LREM parie sur le guichet unique, France Rénov', mis sur pied en début d'année.

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Commentaires 12
à écrit le 20/04/2022 à 10:01
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Je souhaite attirer l'attention sur l'absurdité de l'affirmation rapportée par cet article, et entendue par ailleurs : "Emmanuel Macron met en avant une volonté d'équilibrer le mix ". En effet, développer de l'éolien et du solaire (énergies intermit...

à écrit le 15/04/2022 à 10:42
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Monsieur rase gratis et promet beaucoup , alors qu'il n 'a rien fait pendant 5 ans et creusé une dette de 650 milliards . Fiez- vous qu'a la réalité jamais aux mots employés . Au bout de cinq an c'est un candidat mis a nu de sa politique .

à écrit le 15/04/2022 à 9:47
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J'ai du mal a comprendre comment vous osé engager l'état à une neutralité carbone alors que vous privatisez EDF et toutes les entreprises rentable de l'état que vous gérez mal. Y a quelques jours pour pas dire heures vous avez dit ne pas être magicie...

à écrit le 15/04/2022 à 8:09
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Il est vrai que, faire comme les autres engendre une concurrence qui en devient artificielle, il s'agit surtout d'agir sur les besoins plutôt que sur l'offre!

à écrit le 15/04/2022 à 7:39
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Au moins le "en même temps" c'est fini. Les Ukrainiens disent : macroner : tout dans le bla bla et le " paraitre".

à écrit le 15/04/2022 à 4:36
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Il y a des défis majeurs qui se posent au pays. Le premier est celui des énergies. Il est évident qu'il faut qu'elles soient renouvelables propres et sans danger. Le deuxième est celui de l'autosuffisance en général ; alimentaire, médicale, industr...

à écrit le 14/04/2022 à 21:31
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Le menteur ment aux Votants depuis 5 ans, mais ces derniers sont fan du vendeur de piqûres américaines.

le 15/04/2022 à 1:28
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On ne peut pas trop en demander aux antivax.

à écrit le 14/04/2022 à 17:53
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le seul probleme du nucleaire , apart le cout et la technologie mal maitrisee, est le temps de construction; 30 ans pour les 14 EEPR. il vaut mieux regarder du cote de la Chine. En 2021 , ils ont installe en eolien offshore, l equivalent en puissance...

à écrit le 14/04/2022 à 16:21
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Et le sacrifice des solutions énergétiques russes bon marché pour faire plaisir au tuteur américain et à ..papa schwab de davos et à son great reset en perspective, ça n' est pas non plus au programme du young leader macron ?..

à écrit le 14/04/2022 à 15:54
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Et la sobriété énergétique, le petit pull chaud à la maison en hiver, les bouillottes sous la couette, l'abandon du transport aérien, le retour des trains de nuit, la sortie de l'agriculture mondialisée, les sanctions contre l'obsolescence programmée...

à écrit le 14/04/2022 à 15:52
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Un sac "fourre tout" et l'on prendra la promesse qui nous plaira! Il ne s'en sentira pas responsable!

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