Par l'accord avec Chrysler et celui recherché avec Opel, Fiat tourne le dos à quatre ans de « stratégie d'alliances industrielles ciblées ». À son arrivée chez Fiat en 2004, Sergio Marchionne a préféré à toute grande fusion-acquisition de petites alliances avec des concurrents, comme l'indien Tata, Suzuki, ou le russe Severstal. L'objectif est de produire ensemble certains modèles sur des plates-formes communes. Parallèlement, il a défait l'alliance capitalistique et industrielle avec General Motors (GM) en février 2005, encaissant du constructeur américain 2 milliards de dollars? F. P. W., à Mil
L'appétit de Fiat n'est pas nouveau
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