Une diva nommée Goldin

ectionLartigue, Kertesz, Brassaï, Bacon? Les plus grands se sont succédé en Arles. Mais de divas, le festival n'en avaient encore jamais vues. Jusqu'à l'arrivée de Nan Goldin cette année. Désagréable avec le commun des mortels, le visage retranché derrière un pauvre carton d'invitation pour éviter de se faire photographier, l'artiste s'applique à jouer les stars alors qu'on lui demande juste d'être l'invitée d'honneur. Une attitude détestable qui tranche avec son ?uvre, exceptionnelle, chaleureuse, universelle. La projection de son diaporama « The Ballad of Sexual Dependency » ? journal intime visuel accompagné d'une bande-son aussi enivrante que pertinente ? demain soir au Théâtre Antique, devrait faire d'Arles « The Place to Be ». D'autant qu'elle sera suivie d'un concert des « Tiger Lillies » et d'une fête destinée à célébrer les quatre décennies du festival de photo le plus prestigieux au monde.Y. Y.www.rencontres-arles.com
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