Carlos Ghosn est revenu sur le récent remplacement du Français Yann Vincent au poste de directeur général exécutif d'Avtovaz par un Russe. « Nous avons estimé que seul un dirigeant russe pourrait mener à bien le travail de rationalisation qu'il faut aujourd'hui mener chez Avtovaz », a-t-il expliqué. Le principal problème en Russie, selon lui, c'est la dégringolade du marché qui a atteint 55 % ces derniers mois. Quant à ses relations avec le Kremlin ? que la presse russe soupçonnait de vouloir évincer Renault pour marier Avtovaz au futur tandem que pourraient former GAZ et Opel ?, elles sont excellentes, assure le patron de Renault. La preuve : « Vladimir Poutine est venu à l'inauguration de l'usine Nissan de Saint-Pétersbourg il y a un mois. Et Avtovaz vient de recevoir des fonds importants du gouvernement russe. »
Pas de problèmes avec le partenaire russe
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