Associé chez Duke Streetjean-marc dayan Pourquoi avoir choisi de faire entrer Predica au capital des cliniques Proclif ? L'opération, d'un montant de 70 millions d'euros, est une source de financement supplémentaire. Elle nous permet aussi de disposer d'un partenaire ayant une bonne connaissance du secteur de la santé et un ancrage en régions, précieux pour développer le réseau Proclif. L'arrivée de Predica se fait pour moitié par augmentation de capital, le reste par cession de notre participation (qui atteignait 80 %). Elle confère à Predica 43 % du tour de table. Nous restons majoritaires (50 %) et les dirigeants de Proclif en détiennent 7 %.Quelles raisons ont amené Duke Street à s'intéresser à ce secteur ? Les cliniques nécessitent des infrastructures lourdes (plateaux techniques?) donc des investissements significatifs. Il y a un sens, pour un fonds comme le nôtre, à constituer des groupes de cliniques afin de structurer l'offre de soins et de mutualiser les compétences. Depuis notre arrivée, en 2005, Proclif enregistre un taux de croissance moyen de 30 % à 40 % par an.

latribune.fr

05 Août 2009, 1:44

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