La finance replonge,

Manifestement, les 150 milliards de dollars apportés par le Trésor américain à l'assureur AIG, ou les 45 milliards injectés dans le capital de la banque Citigroup n'ont pas été de nature à sortir de l'ornière ces établissements qui continuent de souffrir de dépréciations. Alors que plane le spectre de véritables nationalisations, qui n'ont pas que des conséquences positives, et que les projets de « bad bank » pour cantonner les actifs toxiques semblent trop complexes à mettre en place, le monde financier doute de la capacité des états à trouver des solutions viables pour les établissements. L'urgence est pourtant là, alors que les effets de la crise sur l'économie réelle portent en germe de nouvelles menaces, dont la forte hausse du coût du risque. pages 2-3 et éditorial page 9
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.