« Nous comptons revenir à l'équilibre financier en 2011 et enregistrer un profit opérationnel en 2012 », affirme le PDG d'Opel (groupe GM), Nick Reilly. La production s'arrêtera à Anvers (Belgique) fin 2010. Un repreneur pour ce site pourrait d'ailleurs être annoncé cette semaine. « 8.000 personnes auront quitté l'entreprise en deux ans. » L'objectif de la firme allemande, qui aura encore réduit ses capacités de 1,5-1,6 million d'unités début 2010 à 1,3-1,4 million en décembre prochain, est maintenant d'accroître sa part de marché, qui a fortement chuté. Elle est passée en Allemagne de 17 % il y a vingt ans à 7,5 % aujourd'hui, victime de problèmes de qualité puis, plus récemment, des incertitudes pesant sur son avenir. Le constructeur espère remonter à 8,5 % en Allemagne et 7,5 % en Europe, dans quatre à cinq ans. Opel compte notamment sur une future « mini » en 2013. A.-G. V.
Opel espère des profits en 2012
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