Les actifs « toxiques » gérés en extinction ont coûté à peine 200 millions à la Société Généralecute; Générale au premier semestre, contre plus de 5 milliards sur les deux années précédentes. Le groupe, qui avait indiqué s'attendre à des pertes comprises entre 700 millions et 1 milliard cette année, a précisé mercredi qu'il visait désormais « le bas de la fourchette ». Il n'en a pas fini pour autant avec ce fardeau. Malgré 1,1 milliard de cessions « réalisées dans de bonnes conditions » et 800 millions d'amortissements au 2e trimestre, son exposition à ces titres de dette rendus illiquides par la crise, et dont beaucoup sont libellés en dollars, est en effet passée de 37 milliards d'euros fin mars à 38,9 milliards fin juin, sous l'effet de l'appréciation du billet vert. B. J.

latribune.fr

04 Août 2010, 23:26

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