L'année 2009 a encore été difficile pour les boutiques et autres spécialistes du conseil en fusions-acquisitions. Alors que les grandes banques ont largement profité des marchés de capitaux (obligataires), eux ont encore souffert du très faible niveau des transactions. Seule Rothschild semble avoir pu payer convenablement ses banquiers. La situation n'a apparemment pas été aussi favorable chez Lazard où quelques juniors ont été mécontents de leur niveau de bonus. Du côté des boutiques comme Leonardo, Close Brothers ou Aforge, l'heure a encore été à l'économie et à la restriction. La boutique italienne a de son côté choisi de réduire les primes de ses seniors et associés pour privilégier celles des jeunes. Pour autant, les associés recevront un dividende exceptionnel cette année.
les spécialistes du conseil souffrent encore
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