La bataille des postes est rude à Bruxelles

Les nouveaux États membres, timides en 2004, sont à présent demandeurs de postes importants. Hormis celui de Michel Barnier, la France doit s'assurer que d'autres portefeuilles stratégiques reviennent à des amis. Elle soutient fortement la candidature à l'Agriculture du Roumain Dacian Ciolos, qui a les mêmes vues régulatrices qu'elle. Paris suit aussi de près la désignation du futur chef de la diplomatie européenne. Nicolas Sarkozy a donné très tôt son soutien à Tony Blair pour devenir le premier président du Conseil européen. Y.-A. N.
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.