Problèmes en Iran

cite>Renault pâtit en Iran des difficultés économico-politiques du pays. « On ne peut plus fabriquer la voiture aux coûts prévus », souligne Gérard Detourbet, responsable de l'entrée de gamme chez Renault. Mais le gouvernement « ne veut pas que Renault augmente le prix de vente de sa Tondar » (la Dacia Logan locale), alors que 40 % des pièces sont importées et que l'euro s'est renchéri. « Nous vendons donc des versions ?haut de gamme? », ce qui limite les volumes. On en fera 50.000 au lieu des 200.000 par an prévues initialement ».
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