Il nous manquait un outil performant »

Quelles sommes consacrez-vous aux achats dans le secteur de l'insertion et du travail protégé ou adapté ?7,5 millions d'euros avec l'objectif de passer à 10 millions. Nous achetons essentiellement auprès du secteur protégé ou adapté. Nos achats sont effectués par nos différentes directions métier et nous partageons des tableaux de bord pour en assurer le suivi au travers d'un reporting commun.Qu'achetez-vous ?Essentiellement des services transversaux comme le nettoyage, l'entretien des espaces verts, la mise sous pli, la restauration collective, l'impression. Nous avons de gros achats comme la collecte et le­ ­recyclage des DEEE (déchets ­d'équipement électriques et électroniques). La difficulté, pour nous acheteurs, concerne surtout les petits achats de 500 à 1.000 euros pour des ­prestations locales. Il nous manquait un outil performant pour faire converger ces petits dossiers. C'est maintenant chose faite avec la place de marché de [email protected]'achat social est innovant. Mais peut-il susciter l'innovation de ses acteurs ?Tout à fait. C'est le cas, par exemple, avec la réparation de vélos. Nous avons au moins 30.000 bicyclettes à maintenir en bon état pour la tournée de nos facteurs. Nous avons interpellé ce secteur qui est en train de s'organiser également avec le développement du Vélib et d'acteurs comme la Petite Reine qui livre nos colis en centreville avec des vélos électriques.Propos recueillis par E. H.
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