Les deux journées de négociations sur un nouvel accord aérien entre la France et la Chine, qui se sont déroulées les 15 et 16 septembre à Pékin, n'ont pas abouti. Devant le grand nombre de sujets à aborder, les deux parties ont décidé de se revoir avant la fin de l'année (janvier dans le calendrier chinois). Ces accords dits de « droits de trafic » définissent le nombre de compagnies aériennes autorisées à desservir les deux pays, mais aussi le nombre de vols, les villes desservies... Côté français, outre la demande par Air France d'une desserte accrue de la Chine, Air Austral (La Réunion) et Air Tahiti Nui ont, elles aussi, demandé de pouvoir se poser en Chine. Côté chinois, Hainan Airlines serait intéressée pour desservir la France. Aux mains du groupe Hainan (qui possède des aéroports, des hôtels...) et de George Soros, cette compagnie est très axée sur les vols long-courriers. F. G.

latribune.fr

21 Sept 2010, 15:53

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