« Le point clé va être ce que va faire l'Opep dans les mois à venir. Aujourd'hui, les prix du pétrole augmentent parce que la demande devrait croître de 2-3 % en 2011. L'Opep ne bouge pas et attend de voir. Si les pays de l'Opep ouvrent les vannes, ils engrangeront un peu moins de revenus, mais cela donnera de l'oxygène aux pays consommateurs. [...] S'ils choisissent le statu quo, les prix vont continuer de monter, et ces pays vont avoir des pressions des gouvernements consommateurs, États-Unis en tête. Il est probable qu'on dépasse la barre des 100 dollars le baril en 2011. » Jean-Louis Schilansky, Président de l'Union française des industries pétrolières (Ufip)

latribune.fr

23 Jan 2011, 23:26

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