STRONG>La BCE n'achète pas de dette et ne parvient pas à neutraliser la totalité de ses achats La Banque centrale européenne n'a pas racheté d'obligations publiques sur le marché secondaire la semaine dernière, pour la quatrième fois consécutive. Elle a toutefois indiqué qu'elle allait poursuivre son programme, comme dans tous ses communiqués depuis le lancement de ce dernier, en mai, pour faire face à la crise de la dette grecque. Comme chaque semaine, la BCE a également tenté de neutraliser les 76 milliards d'euros de titres de dette acquis depuis lors par un gel de sept jours de ce volume de liquidités auprès des banques. Elle n'est parvenue à en geler que 71,4 milliards d'euros.Notation: la SEC et l'Europe vont tenter d'éliminer des zones d'ombreSelon le « Financial Times », la Securities and Exchange Commission (SEC), le régulateur américain, et les régulateurs européens devraient discuter cette semaine du problème des notations réalisées dans des pays tiers. Les banques, contraintes par les règles d'adéquation des fonds propres, peuvent-elles utiliser des notations réalisées dans des pays tiers alors que l'Europe exige un enregistrement des agences sur le Vieux Continent ? Jusqu'à présent, l'Europe n'a reconnu qu'une équivalence, avec le Japon, et prévoit un système d'endossement de la responsabilité des notes émises à l'étranger par des agences enregistrées. Mais les banques s'inquiètent du flou.La demande d'argent en hausse de 10 à 15 % en IndeLe métal blanc, que l'on appelle parfois l'or du pauvre, n'a jamais autant mérité son nom. Malgré sa forte hausse, le métal connaît un franc succès en Inde, où les acquéreurs traditionnels d'or se tournent vers un substitut moins cher. Selon National Spot Exchange, la principale place de marché sur les métaux précieux, les échanges d'argent devraient croître de 10 à 15 % cette année pour atteindre 3.000 tonnes échangées.La Bourse de Khartoum passera à partir du mois de juin aux échanges électroniquesAvec ses 57 sociétés cotées et ses quelques traders qui se réunissent une heure par jour pour discuter des prix, la Bourse soudanaise ne présente pas une activité énorme. Ses dirigeants songent à modifier le fonctionnement de la place de marché, en introduisant une fonctionnalité électronique, afin d'attirer de nouveaux opérateurs sur les valeurs soudanaises. Selon le directeur général de la place de marché, Osman Hamad Khair, l'objectif est aussi de proposer des échanges sur de nouveaux marchés, comme les matières premières et les changes.

latribune.fr

26 Avr 2011, 21:34

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