Les carences d'une ambitieuse refonte

La réforme ne se penche pas sur Freddie Mac et Fannie Mae. Placés sous tutelle fédérale en 2008 alors qu'ils étaient au bord de la faillite, les deux géants du refinancement hypothécaire ont depuis perçu près de 145 milliards de dollars d'aides. De plus, la fusion des autorités boursières (SEC) et des produits dérivés (CFTC) n'aura pas lieu, pas plus que n'existera le «super gendarme » bancaire, censé concentrer des pouvoirs dispersés entre plusieurs entités fédérales. Enfin, les actionnaires ne pourront émettre qu'un avis « non contraignant » sur les rémunérations dans les sociétés cotées.
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