A être trop précis, le risque est de basculer vers un exercice purement formel et technocratique au lieu de mettre en place un vrai contrôle politique. "Plus qu'une clause de rendez-vous, la question est de savoir si l'on peut avoir au sein du Parlement une majorité claire pour contrôler l'exécutif", explique Renaud Dehousse Directeur du Centre d'études européennes de Sciences Po. Les négociations entre groupes politiques qui se poursuivent cette semaine devrait permettre d'en juger.
F.A. et Y.-A. N.
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