
MISE AU POINT
Par Sandrine Lecalvez
Alors que les taxis ont fait grève jeudi 25 juin pour protester contre leur concurrent Uber, le contexte est tendu pour les chauffeurs après des agressions de clients à Lyon et à Nice. Le ministre de l'Intérieur sonnait mardi la tirette d'alarme à l'Assemblée nationale, accusant l'application UberPop de se trouver en « situation d'illégalité absolue ».
RETROVISEUR
Par Marc-Antoine de Poret
Kodak : clic et... claque
Retour sur l'épopée de la marque Kodak, créée à la fin du 19e siècle, et qui, après des débuts fulgurants, ne sut pas profiter des inventions modernes pour innover.
DEBAT
Pour en débattre, Nicolas Colin, spécialiste de l'économie numérique et fondateur de TheFamily, Gérard Filoche, membre du Bureau National du PS et ancien inspecteur du travail et Dominique Seux, directeur délégué de la rédaction des Échos.
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PS +ancien inspecteur du travail c'est deja beaucoup comme bagages!!!!!!!!
PS +ancien inspecteur du travail c'est deja beaucoup comme bagages!!!!!!!!
Il s'agit du principe même du libéralisme. Comme ceci se fait à l'intérieur d'un même pays, il n'y a pas de concurrence déloyale, et au contraire, il y a une augmentation globale de la productivité.
Ceci, contrairement à ce qui se passe avec les importations de textile et autres gadgets électroniques. Qui sont pourtant achetés sans états d'âmes par ces mêmes chauffeurs de taxis.
Il me semble avoir compris que les applis permettent à des particuliers de transporter des usagers non pas en co-voiturage (je vois mal comment on pourrait l'organiser) mais contre monnaie sonnante et trébuchante, donc c'est du travail au noir.
En ces temps où les caisses de l'Etat et de l'URSSAF sont vides, ce n'est pas le moment de favoriser le travail clandestin. Surtout que certains fraudeurs aux aides multiples sont déjà des travailleurs clandestins.
Le modernisme serait que ces applis permettent de trouver un taxi tout prés de vous.