Diaporama Harcèlement sexuel, le fléau de la Silicon Valley

Juillet 2017 : "Je suis un pervers. Pardon."

Le co-fondateur de l'incubateur 500 startups a démissionné en juillet, après que l'entrepreneuse Sarah Kunst ait dénoncé ses avances douteuses. "Je suis un pervers. Pardon", confessait Dave McClure, dans un billet de blog justifiant sa décision. Il admettait un comportement "inexcusable" pour avoir "fait des avances à plusieurs femmes dans le cadre du travail, dans un contexte clairement inapproprié (...). J'ai égoïstement profité de ces situations". (Crédits : Capture d'écran YouTube / NZTEvideo)

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Dans le monde très masculin de la high tech, les affaires de harcèlement sexuel se répètent au sein de la Silicon Valley. Dernier exemple en date : Mike Cagney, Pdg de l'entreprise de Fintech SoFi, a été contraint de démissionner lundi 12 septembre sur fond d'accusations de harcèlement sexuel. Ce n'est malheureusement pas un cas isolé au sein de la Silicon Valley. 

| Lire aussi : Sexisme dans la tech : le début du changement ?

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