Affaire Tapie-Adidas : après le livre, le...site Internet

Quelques jours après la sortie d'un livre pour comprendre toute l'affaire Adidas-Crédit Lyonnais, l'homme d'affaires a annoncé lundi soir sur France 2 qu'il lançait désormais un site Internet dédié à l'affaire.

latribune.fr

02 Juill 2013, 7:40

Bernard Tapie version 2.0. Après avoir publié un livre détaillant sa version de l'affaire Adidas, l'homme d'affaires a annoncé lundi soir sur France 2 la mise en ligne d'un site Internet dédié à l'affaire. Le but: "permettre à ceux qui le souhaitent de comprendre "l'affaire" qu'on a appelée successivement "l'affaire Crédit Lyonnais", puis "l'affaire Lagarde" et qui est désormais qualifiée "d'affaire Tapie".

Deux évènements déclencheurs: une émission de télévision et l'audition de Christine Lagarde

Une (récente) initiative de Laurent Tapie, le fils de l'homme d'affaires, qui se présente comme l'auteur du site. Celui-ci explique que deux évènements l'ont décidé à se lancer dans la réalisation de ce site: d'une part, l'émission "Mots Croisés" intitulée "Affaire Tapie, affaire d'Etat?" qui a selon lui "accrédité la thèse du scandale", et d'autre part, l'audition de Christine Lagarde par la Cour de Justice de la République le 24 mai dernier qui s'est soldée par le statut de "témoin assisté seulement".

Pas de fioritures pour ce site Internet donc, dont les maîtres-mots semblent être fonctionnalité et sobriété. Affairetapie.info va droit au but. Le site se décompose en trois parties. En cours de finalisation, le site permet d'accéder à la chronologie des jugements des tribunaux, aux portraits de tous les protagonistes ainsi qu'aux "dernières news", en l'occurence l'interview télévisée de Bernard Tapie sur France 2 lundi soir. A quand l'application mobile?

>> Pour aller plus loin Tapie et son avocat mis en examen "pour escroquerie en bande organisée": à qui le tour?

>> DIAPORAMA Affaire Tapie-Adidas : les personnes impliquées

Commentaires 37

Maxp77 à écrit le 04/07/2013 à 17:12

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http://affairetapie.info est une petite bombe, j'aimerais connaître les arguments de Peyrelevade, Mauduit et toute la clique de menteur suite à cela.

mulder à écrit le 02/07/2013 à 18:06

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A quand la pièce de théatre et le film bien sur joué et réalisé par cette homme qui commence à rendre à cran la vie politique et les médias.

antoine à écrit le 02/07/2013 à 16:21

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J'ai quand même un peu de mal à comprendre pourquoi une chaine nationale a accordé un interview à un mis en examen, pas vraiment blanc de ses années passées. Et je me demande également si le site internet, monté à la gloire de B. Tapie, l'a été par l...

galileo à écrit le 02/07/2013 à 15:41

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Tapie ne doute vraiment de rien! Sa qualité première c'est son culot et son sans-gêne, et il les a montrés/utilisés toute sa vie (à son avantage).. 30 ans qu'il nous gonfle; la faute à Mitterrand qui l'a mis devant la scène et Sarkozy qui aime les hâ...

michel à écrit le 02/07/2013 à 12:04

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Pujadas est très mauvais et , face à ce " journaliste " la pression ne pouvait que monter de la part de Tapie qui le déteste au plus haut point et qui avait dans l'idée de se le farcir .. en le rendant encore plus mauvais .

Clovis II à écrit le 02/07/2013 à 11:05

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J'ai un profond respect pour cet homme. il a compris comment marchait l'économie. Regardez tout ce qu'il a touché est devenu de l'or. Malgré les attaques, le matraquage fiscal et journalistique il a eu le courage de ne pas s'expatrier. Son parcours p...

Réponse de Dingdong le 02/07/2013 à 11:46

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C'est ma foi vrai avec son passage à l'OM et les matchs truqués on peut affirmer sans se tromper que l'homme est un modèle de vertus.

Réponse de Clovis II le 03/07/2013 à 10:05

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C'est en tout cas ce qu'on affirmé la cour d'Appel, de Cassation et le tribunal arbitral. pour l'OM, L'erreur est humaine !

gerardc27 à écrit le 02/07/2013 à 10:44

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On croyait après la peu reluisante affaire VA / OM qu'il avait enfin disparu des médias. Mais la vanité de NANAR ne connait plus de limites depuis que le contribuable à l'insu de son plein gré lui a donné 400 millions d'euros.

manquepasdair à écrit le 02/07/2013 à 10:20

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c est un patron pur et dur je ne dit pas que tout les patrons sont comme lui mais lui fait partis de ces patrons qui n on pas d état d âmes 400 millions d euros de dommage c est ce foutre de notre gueule mon père mort de l amiante ces enfants ont ...

Alfred à écrit le 02/07/2013 à 9:59

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Apres le flop de l'affaire Bettencourt, le pouvoir va encore se ridiculiser dans cette autre tentative pour atteindre Sarko. Ils en ont peur car sur le plan du chomage et du pouvoir d'achat, les resultats se font attendre.

Réponse de @ Alfred le 02/07/2013 à 10:20

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Tout à fait. Rien d'autre à attendre d'un pouvoir soviétique.

fma44 à écrit le 02/07/2013 à 9:56

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Aussi crédible que Samy Naceri sur Direct8, mais bonne énergie quand même !

Odilon à écrit le 02/07/2013 à 9:54

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Un mec qui se bat pour son propre argent sera toujours plus fort que ceux qui defendent l'argent des autres.

Réponse de Petite histoire. le 02/07/2013 à 11:00

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Ca dépend. Il y a peu de temps de cela, les tribunaux ont eu à juger une affaire tout a fait hors norme. Il s'agissait du licenciement jugé abusif de mineurs après une grève en 1948 (oui, vous avez bien lu). L'état, qui était impliqué à titre d'emplo...

Indigné à écrit le 02/07/2013 à 9:50

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Sans connaître le dossier, je pense que l'arbitrage était une bonne solution surtout lorsque l'on sait la longueur infinie des procédures judiciaires classiques. Concernant l'interview de B. Tapie d'hier sur antenne 2, je ne comprends pas que la dire...

Réponse de @Indigné le 02/07/2013 à 10:12

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Pujadas a voulu jouer au malin en posant des questions aussi nulles que lui. On voudrait qu'il soit aussi courageux quand il est devant hollande, là il fait le lèche bottes, il est du même tonneau que Gérard Leclerc sur LCP.

Réponse de JM57 le 02/07/2013 à 10:36

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Pas vu le sketch en question entre le bateleur de foire et le basset du fenestron. Ca ne pouvait être que mauvais de toutes manières ... Pour ce qui est de l'arbitrage, même sans connaître le premier mot de l'histoire, il semble évident à tout un ch...

SAMARINDA à écrit le 02/07/2013 à 9:50

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cette affaire est la triste réalité d'une France république bananière dont selon les moments les copains deviennent les coquins et cela dans cette vase politique dans laquelle l'agent facile est devenu un symbole. Comment des hommes politiques dits!!...

pure verite à écrit le 02/07/2013 à 9:48

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Tres mauvais moment de TV National avec un Pujadas lamentable en posture de procureur à charge et non pas en journaliste , mais sans aucun lead ni pettinence Nanard en Nanard

placs4156 à écrit le 02/07/2013 à 9:06

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extrait du seul article complet publié dans la presse par .... MEDIAPART en septembre 2008.... A défaut d'exécuter le nantissement, à la fin de l'automne de 1992, les banques créancières d'Adidas doivent pourtant trouver une solution, pour éviter une... extrait du seul article complet publié dans la presse par .... MEDIAPART en septembre 2008.... A défaut d'exécuter le nantissement, à la fin de l'automne de 1992, les banques créancières d'Adidas doivent pourtant trouver une solution, pour éviter une catastrophe financière. La SDBO pousse donc Bernard Tapie à vendre ses titres d'Adidas. De son côté, l'homme d'affaires est pressé. Les élections législatives approchent : elles doivent avoir lieu les 21 et 28 mars 1993 il a de bonnes raisons de penser que, pour lui, le mieux est de se délester au plus vite de ses actions Adidas. Après les élections législatives, cela serait sans doute beaucoup moins commode. Surtout si, sur le plan financier et industriel, la firme Adidas continue d'engranger de mauvais résultats. A la fin de 1992, le principe en est donc arrêté. L'homme d'affaires prend avec sa banque, la SDBO, filiale du Crédit lyonnais, la décision de vendre sa participation dans Adidas. Et visiblement, il est pressé. Dans une lettre d'engagement et une lettre de mandat, en date du 16 décembre 1992, Bernard Tapie Finance (BTF) prend l'engagement irrévocable de «vendre au plus tard le 15 février 1993 à toutes sociétés désignées par la SDBO, et à première demande de SDBO, la totalité de ses parts de capital» dans Adidas. Dans ce mandat confié par BTF à la SDBO plusieurs points retiennent l'attention. D'abord le calendrier. «Au plus tard le 15 février»: au travers de cette exigence on comprend que Bernard Tapie est effectivement pressé et concède à sa banque deux petits mois ? ce qui est ridiculement court ? pour boucler l'opération, pourtant complexe. En clair, celle-ci doit impérativement être bouclée un bon mois avant les élections. Pour le reste, la SDBO peut faire ce qu'elle veut, choisir les investisseurs de son choix, «solliciter un ou plusieurs acquéreurs», leur «offrir les parts en vente». Même le prix de cession apparaît comme une question subalterne. Dans le mandat, il n'est en effet nullement précisé que BTF attend de la SDBO qu'elle vende ses parts dans Adidas au meilleur prix possible, sous réserve d'un prix plancher. Non! Il est seulement indiqué que le prix de cession des 55% du capital d'Adidas contrôlé par Bernard Tapie «sera égal» à 2,085 milliards de francs. Dans un rapport commandé en 1995 à un expert comptable, Marcel Peronnet, par Eva Joly, à l'époque juge d'instruction en charge des dossiers Tapie, cette clause sur le prix sera longuement commentée. Intrigué par la formulation, l'expert-comptable alerte la magistrate sur le fait que cela «semble exclure toute éventualité d'une négociation plus favorable». Plus loin, dans le même rapport, l'expert-comptable se montre encore plus perplexe. Car dans un avis financier paru dans la presse, le 28 décembre 1992, Bernard Tapie fait une large publicité du mandat qu'il a confié à sa banque, dans les termes suivants: « Bernard Tapie Finance SA a chargé la Société de Banque Occidentale de rechercher un ou plusieurs acquéreur(s) pour ces parts, et de faire tous ses efforts pour que cet engagement soit dénoué au plus tard le 15 février 1993... Le prix de vente de ces parts [dans Adidas] en vertu de cet engagement est de 2.085.000 francs.» L'expert-comptable en reste donc pantois et le laisse transparaître dans son rapport: «La publication de ces informations, alors qu'à cette date, aucun accord n'avait encore été conclu avec un acquéreur éventuel, paraît surprenante, car de nature à handicaper un processus de négociation.» Comment Bernard Tapie peut-il espérer vendre au mieux ses parts dans Adidas s'il annonce à toute la communauté financière qu'il veut aller vite et s'il abat toute ses cartes sur la table avant toute négociation financière ? Dans la vie des affaires, le procédé est de fait peu banal. Avec le recul, cette précision ne manque pas d'intérêt. Pourquoi le tribunal arbitral accorde-t-il en 2008 un dédommagement aussi spectaculaire à Bernard Tapie? Quand on sait que l'intéressé a été aussi peu regardant sur le mandat de vente confié à la SDBO, et n'a pas concédé plus de temps à sa banque pour tenter d'obtenir un meilleur prix, la sentence apparaît d'autant plus étonnante. Au demeurant, on comprend tout de même pourquoi Bernard Tapie donne un tel mandat à la SDBO. Dans la situation que traverse Adidas, vendre 55% du capital au prix de 2,085 milliards de francs constitue, de fait, pour Bernard Tapie une aubaine. Alors qu'il a acheté 80% d'Adidas pour 1,6 milliard de francs deux ans et demi plus tôt, le mandat qu'il confie à sa banque lui assure une plus-value. Pourquoi alors le tribunal arbitral a-t-il décidé qu'il y avait eu préjudice? Plus on s'enfonce dans cette histoire du début des années 1990, plus la sentence prise en 2008 apparait choquante.

Réponse de Tom le 02/07/2013 à 9:50

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Merci pour cette excellente analyse avec des faits précis. Souhaitons que cela fasse le tour du web pour éclairer nos concitoyens. Manifestement il y a comme un problème et l'intéressé a reçu indument une somme qu'il n'aurait jamais dû recevoir. C'es...

Réponse de Jerome le 02/07/2013 à 9:53

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La presse ne me parait pas une source fiable d'informations completes et non deformees. Allez plutot voir directement les conclusions des differentes juridictions qui ont eu a s'occuper de cette affaire. Et c'est bien different du cafe du commerce.

Réponse de @Tom le 02/07/2013 à 10:21

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Vous lisez un article et pour vous il est coupable ou pas. Heureusement qu'il n'y à plus la peine de mort. Vous êtes victime du syndrome de la télé et des journaux. Laissez la justice passer son chemin et après nous pourrons parler. Pour l'argent qu'...

Réponse de En attendant le 02/07/2013 à 10:46

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Tapie a gagné ses procès contre le CDR avant l'arbitrage donc je ne comprend pas de quoi on parle, si c'est juste le montant du préjudice moral qui pose problème, il faut dire que juste après le coup d'Adidas ils ont essayé de se débarrasser de lui ...

Réponse de JM57 le 02/07/2013 à 11:09

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@ En attendant. Breton aurait probablement dû avoir la sagesse de s?arrêter là. Les 135 millions représentant à eu près le montant des impayés de BT dûs au fisc et à l'URSSAF, l'état reprenait ses billes et BT repartait avec moins de 10 millions d'e...

Réponse de Tom le 02/07/2013 à 11:10

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Je ne suis pas victime du syndrome de la télé et des journaux. Je dis et je maintiens que si en France on commence à mettre des gens en examen pour escroquerie en bande organisée sans le moindre fondement c'est grave. Très grave. Car demain c'est peu...

Réponse de Coyote le 02/07/2013 à 11:13

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Ce thread est bien revelateur de cette affaire. Elle est effectivement bien plus complexe qu'elle n'y parait. et il manque des éléments. a) La raison pourlaquelle nanard doit vendre addidas, le fait que le mandant intercepte la transaction a son prof...

Réponse de @Tom le 02/07/2013 à 14:45

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Vous déplacez le problème, personne ne dit que la France est un pays totalitaire. Si toutes les personnes mises en examen étaient coupables les prisons seraient bondées ce qui est le cas néanmoins. Le juge d'instruction instruit à charge où à décharg...

Deux poids deux mesures à écrit le 02/07/2013 à 8:37

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Après avoir touché le record du monde du préjudice moral de 45 millions d'euros, Nanard bénéficie (contrairement à beaucoup de prévenus) de la complaisance des journaleux qui lui tendent le micro. Tout est totalement pourri dans ce système politico-m...

Réponse de Maud le 02/07/2013 à 9:09

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@Deux poids deux meures. S'effondrer pas si sûr. On a bien vu les 10 députés demandant la transparence et la fin des privilèges et la réponse négative catégorique des 567 autres députés. La soupe est trop bonne. Pourvu que ça dure. Quel cynisme !

Réponse de Lespaul le 02/07/2013 à 11:20

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il s'effondrera quand il n'y aura plus personne pour les payer ces privilèges. Vous savez il y a plein de beaux pays a découvrir... La fin est proche.

Réponse de @lespaul le 02/07/2013 à 14:47

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Pouvez vous nous expliquer merci

Réponse de Lespaul le 03/07/2013 à 10:29

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Bien sur ! on parle de notre système politico-economique n'est ce pas ? vous affirmez qu'il va bientôt s'effondrer, j'en suis totalement convaincu. on parle de l'exil de Bernard Arnault, Gerard Depardieu, mais on ne parle pas du plus grave. L'exil de...

capitalismeetliberte à écrit le 02/07/2013 à 8:30

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La seule vrai question que personne ne pose publiquement c'est : Tapie a t il été oui ou non été spolié par le crédit Lyonnais. la réponse est OUI mais personne ne l'entend. Il doit donc être indemnisé par la justice. Mais comme a l'époque c'était un...

Réponse de Jojo le 02/07/2013 à 9:05

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Encore un qui applaudit au record du préjudice moral de 45 millions sur le dos des contribuables. A fait, comment ont été déterminés ces 45 millions euros, rajoutés en dernière minute dans la procédure ? Qui a décidé de ce chiffre astronomique et co...

Réponse de titi58 le 02/07/2013 à 9:11

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Et rien ne dit que l'état peut y laisser des plumes dans l'avenir d'où cet arbitrage en 2008 pour limiter la casse...

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