Avant le G20, les mauvais indicateurs économiques se multiplient sur la planète

De la Russie à l'Espagne, du Japon à la Hongrie et plus largement dans l'ensemble des pays de l'OCDE, l'activité économique continue à piquer du nez.

A quelques de la réunion des pays les plus importants de la planète, le G20 à Londres, le 2 avril, pour tenter de trouver des réponses communes face à la crise se multiplient des nouvelles alarmantes de certaines grandes économies.

Ainis, la Russie risque selon la Banque Mondiale de connaître une très forte récession cette année. Le Japon affiche aussi de très mauvais chiffres, notamment de production industrielle et d'exportations automobiles.

En Europe, l'Espagne broie du noir avec recul des prix historiques. La Hongrie lance un drastique plan d'économies face à la crise. Et la confiance dans la zone euro reste particulièrement basse.

Plus globalement, l'ensemble des pays industrialisés réunis au sein de l'OCDE risque, selon cette organisation, de voir leur activité plonger cette année et de subir l'an prochain une forte hausse du chômage en conséquence.

Commentaires 5
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Le G20 peut réussir sa mission à condition qu'il veuille refonder complètement le capitaliste. S'il essaie de recoller les 2 parties de la corde qui a cassée, il y réussira, certes avec des efforts se chiffrant à des milliers de milliards, mais la c...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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je suis d'accord avec FL mais à mon avis il y a encore trop de cupidité même chez les élus. et de toute façon le compte rendu est déjà prêt à être signé par les dirigeants du G20. Sans changements visibles, ce sera la révolte chez les travailleurs...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Le problème est que la crise a commencé aux Etats-Unis et que c'est d'abord là-bas qu'il faut régler la question. Le rebond passe par le tracteur américain et nos choix sont limités...à part faire la gueule, avant de faire le gentil toutou! Pino

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Révolte et aprés remède pire que le mal

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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redécouvrons les vertus de l'entreprise comme relais des hommes et de la société et non source inépuisable de revenus sûrs et rapides pour quelques uns. Le paternalisme avait ça de bon qu'il protégeait les employés et ouvriers. Aujourd'hui au nom de...

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