Georges Pauget, directeur général de Crédit Agricole SA

Le patron de la banque verte revient pour La Tribune sur les enjeux du sommet du G20, alors que le secteur financier sera au cœur des débats.

"Nous pouvons espérer de ce G20 que l'on débouche sur un système où les conditions de concurrence entre les établissements bancaires européens et américains soient moins déséquilibrées. De ce point de vue, la réunion sera un succès si Bâle 2 est confirmé et appliqué aux banques américaines. Nous devons aussi être attentifs à ce que les normes prudentielles garantissent une égalité de traitement entre les techniques de financement de l'économie par le marché (titrisation) et le financement de l'économie par les banques (intermédiation). Il faut enfin avoir à l'esprit qu'avant toute mise en ?uvre de ces évolutions il faut prévoir un délai, pour éviter que le renforcement des exigences prudentielles ne bloque la reprise économique".

Commentaires 2
à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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Vous êtes banquier et vous avez un discours de banquier qui n'est pas fait pour vos clients que vous semblez oublier. Revenons à l'essentiel, que faites vous avec l'argent qui vous est confié? La banque est au service de l'économie et pas l'inverse...

à écrit le 09/10/2009 à 13:41
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j ai le sentiment que les banquiers ont profité d un certain laisser faire , qui nous a conduit ou nous savons , pour pouvoir espérer s en tirer a bon compte Prisent en main par de hauts fonctionnaires et les politiques il est a craindre que le poi...

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