
2021 s'annonce comme une année décisive pour l'industrie nucléaire tricolore. Tandis qu'Hercule, le dossier explosif concernant l'avenir d'EDF, fait toujours l'objet d'intenses discussions entre le gouvernement et la Commission européenne, le débat autour de la prolongation des réacteurs nucléaires au-delà de 40 ans s'intensifie à quelques jours de la fin de la consultation publique sur le sujet, lancée en décembre dernier par l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).
La veille de cette échéance, le 21 janvier, son président Bernard Doroszczuk, devrait s'exprimer sur ce thème à l'occasion de la présentation de ses vœux à la presse. Alors que l'ONG anti-nucléaire Greenpeace y voit une "zone de danger", la Société française d'énergie nucléaire (Sfen), le lobby de la filière, estime au contraire que "les centrales nucléaires sont plus sûres aujourd'hui qu'à leur démarrage".
La question se pose pour 32 réacteurs de 900 MWe (mégawatts électriques). Ce sont les plus anciens des 56 réacteurs que compte le parc nucléaire français. Ces réacteurs à eau pressurisée ont été mis en service à la fin des années 1970, et 13 d'entre eux ont d'ores et déjà dépassé les 40 ans de fonctionnement. Or, si les réacteurs nucléaires français ont été autorisés sans limitation de durée de fonctionnement, EDF avait initialement envisagé une durée de vie de 40 ans.
"Les calculs de sûreté sur les composants ont été réalisés pour 40 ans. Ils n'ont pas été réalisés sur une durée supérieure. En revanche, cela ne veut pas dire qu'ils ne peuvent pas durer plus longtemps ou qu'on ne peut pas les changer", explique Valérie Faudon, secrétaire générale de la Sfen.
Objectif : atteindre le niveau de sûreté des EPR
Alors que le gendarme français du nucléaire doit trancher définitivement sur cette question dans les prochains mois (avec un avis générique pour l'ensemble du parc dans un premier temps, puis une décision unité par unité rendue lors de la quatrième visite décennale de chacun des réacteurs), son orientation est déjà connue. L'ASN a, en effet, publié début décembre un projet de décision ouvrant la voie à la poursuite du fonctionnement des centrales au-delà de 40 ans, sous réserve "d'améliorations significatives de la sûreté". Ces prescriptions font justement l'objet de la consultation publique et sont ainsi soumises aux commentaires des citoyens jusqu'au 22 janvier prochain.
La Sfen, qui y est évidemment favorable, a publié le 13 janvier sa réponse officielle estimant que "prolonger l'exploitation du...
En ce moment nous flirtons avec le blackout..et malgre tout nous serions en surcapacité nucléaire selon vous..!...revoyez votre copie nous ne sommes plus en 1980
Les ENRi ne sont d'aucun secours ni intérêt leur production est liliputienne quand bien même on multiplierait par 10 leur puissance installee, pas de vent=0kwh, pas de soleil idem..et on s'autorise à fermer Fessenheim par pure idéologie et intérêt électoral..résultat, les 1800mw manquants eux sont réellement manquants et c'est pas quelques moulins à vent qui vont compenser
Certaines décisions cruciales pour l’évolution du programme nucléaire français se sont appuyées sur des prévisions
radicalement fausses. Le principal exemple en est le développement du programme nucléaire français
à travers un parc important de réacteurs à eau légère (REL) décidé en 1973-1974. Basées sur des prévisions
irréalistes de la demande électrique, ces décisions ont eu un impact très fort et très durable sur les politiques
nationales en matière de nucléaire et d’énergie.
La série des rapports PEON donne des informations détaillées sur les projections de la consommation électrique,
en montrant comment la prévision pour une année donnée a évolué d’un rapport à l’autre (tableau 1). En
fait, les experts offi ciels français, comme ceux de la plupart des pays occidentaux à la même époque, ont basé
la programmation sur une prévision d’augmentation très élevée, basée approximativement sur un doublement
de la consommation électrique tous les dix ans. En 1964, leur prévision était de 103 TWh en 1965, donc 205 en
1975 et 410 en 1985. Il y a eu au contraire un ralentissement signifi catif de la croissance de la demande en électricité
par rapport à la poursuite de la croissance économique. La prévision pour 1985 a été de 33 % supérieure
à la consommation réelle fi nale de 303 TWh seulement. Le rapport décisif pour le lancement du « programme
Messmer » (du nom du Premier ministre d’alors), publié en 1973, prévoyait 750 TWh de demande électrique en
l’an 2000, soit une surestimation de 75 % de la demande réelle qui s’est établie à environ 430 TWh.
Le découplage entre cette « règle » et l’évolution réelle de la demande a été évident dès la fi n des années 1970.
Pourtant, les derniers rapports de la série PEON prévoyaient encore la construction d’une énorme capacité
nucléaire pour atteindre 158 GWe en l’an 2000 (dont environ 40 GWe de réacteurs surgénérateurs du type
de Superphénix…). Un rythme de construction correspondant à cette projection a été maintenu pendant toute
la première moitié des années 1980, n’arrivant à une pause quasi complète qu’en 1985, alors que 54 des 58
réacteurs REP actuellement en exploitation (représentant un total de 63,8 GWe) avaient été construits ou au
moins commandés.
En fait, alors que certains pays ont renoncé à certains aspects de leurs programmes et ont annulé certains projets
de réacteurs1, EDF n’a abandonné aucune commande. De ce fait, la France a été marquée par une surcapacité
nucléaire qui perdure. Cette situation a eu un impact important sur les paramètres économiques du nucléaire, et
plus important encore en constituant un obstacle à la maîtrise de la demande énergétique et au développement
des énergies renouvelables dans le secteur électrique.
Nucléaire : la grande illusion
N° 25 – septembre 2008 – ISSN 1270-377X- Global Chance
Promesses, déboires et menaces
Et construire à la place des centrales aux gaz ! Du grand n’importe quoi, en plus avec les voitures électriques, on aura pas assez d’électricité et on devra en acheter ailleurs ! Ces Khmers verts vont achever notre pays déjà qu’ils nous imposent le 30 km/h ds tout Bruxelles ! Ne donnez jamais le pouvoir aux verts, sinon vs êtes foutus vous aussi ! En plus pas de débats en Belgique, c’est fini, censuré 🤬... jamais plus de débats en direct, sauf le dimanche matin qd tout le monde dort et médias à la solde du pouvoir, ils chantent tous la même chanson et toutes les décisions ne sont plus mises en débat ds les médias, etc...censuré !
Fini la Belgique comme on l’a connue, ... où sont les Belges, une foye ? !
Et construire à la place des centrales aux gaz ! Du grand n’importe quoi, en plus avec les voitures électriques, on aura pas assez d’électricité et on devra en acheter ailleurs ! Ces Khmers verts vont achever notre pays déjà qu’ils nous imposent le 30 km/h ds tout Bruxelles ! Ne donnez jamais le pouvoir aux verts, sinon vs êtes foutus vous aussi !
Quand on voit qu'ils ne veulent toujours pas fermer les aéroports alors que le virus passe par là on peut fortement en douter.
Non je ne mélange pas les problèmes je les met en perspective les uns avec les autres afin de m'approcher au mieux de la vérité.
La vérite ? Les vérités ? Ça te dit quelque chose tu veux que je t'explique ?
Je te signale pas car tu crois vraiment que je fais comme toi que mon but est stratégique afin d'imposer ma pensée, alors que c'est ma façon de pensée et non ma pensée que je promeuve et c'est pour ça que tes trollages sont ineptes et que tu ne veux toujours pas le comprendre.
Tu veux que je t'explique ça aussi ?
"Il m'est autant odieux de guider que d'être guidé" Nietzsche
Et si je peux pas et-c...