Hier à Davos, Christine Lagarde, la ministre française de l'Économie, a estimé qu'« un peu de protectionnisme est un mal nécessaire, j'ajoute un mal nécessaire temporaire », au micro de BFM, avant de préciser?: « Ne m'interprétez pas comme étant pro-protectionnisme, anti-multilatéralisme, j'inscris ça dans le temps et la nécessité de remettre [?] dans la bonne direction des économies aujourd'hui un peu sinistrées. » Pour sa part, Anne Marie Idrac, secrétaire d'État au Commerce extérieur, s'inquiète des tentations protectionnistes non pas sur les tarifs douaniers, très surveillés, mais sur l'accès aux marchés publics et les politiques d'aides sectorielles.
Le protectionnisme au c ? ur du débat
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