Alors que deux tiers des députés de la majorité réclament une « politique de rupture », les élus balladuriens demandent un fort soutien de la consommation, seul moyen de faire repartir la croissance. Outre un report d'un an de l'impôt-Sécu, demandé également par François Léotard, Nicolas Sarkozy se prononce pour l'abandon de la fiscalisation des allocations familiales et un allégement du premier tiers de l'impôt sur le revenu, payable en février. Le gouvernement allemand a confirmé hier le net ralentissement de la croissance outre-Rhin, qui pèsera sur l'ensemble de l'Europe. Voir Evenement et 6
Les balladuriens prônent une relance de la consommation
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