Nyse-Euronext va chasser les sociétés étrangères à Londres

Nyse-Euronext a décidé de franchir la manche. Mi-juin, l'opérateur boursier transatlantique a donné le coup d'envoi à Nyse-Euronext London, un nouveau marché placé sous l'égide du Liffe et régulé par la Financial Services Authority (FSA). Ce marché, destiné à attirer un plus grand nombre de sociétés internationales dont le siège se situe hors du Royaume-Uni, devrait démarrer très progressivement, avec de premières introductions espérées en fin d'année. Certains observateurs craignent que cette annonce ne signifie la fin d'introductions à la Bourse de Paris de sociétés chinoises ou russes. Mais l'objectif est tout autre, indique-t-on du côté de Nyse-Euronext. Il ne s'agit pas de mettre en concurrence Paris, Amsterdam et Bruxelles avec Londres, « mais d'avoir une offre complémentaire destinées aux sociétés internationales qui ne seraient de toute façon pas venues sur Nyse-Euronext, celles qui veulent être cotées à Londres », explique Richard Adamonis, responsable de la communication du groupe. Autrement dit, des émetteurs bien décidés à profiter de la visibilité et de l'écosystème financier de la City et qui seraient allés naturellement vers le London Stock Exchange ou l'AIM. « Nyse-Euronext London n'a pas pour objectif d'attirer de l'activité de nos autres places de cotations existantes ».Après feu vert Nyse-Euronext London constitue donc « un point d'entrée supplémentaire » pour les cotations internationales de Nyse-Euronext qui espère ainsi allier l'attractivité de la City, au plus important bassin de liquidité que l'opérateur transtlantique représente à la fois à Londres et en Europe. « Paris restera de loin le plus importants de nos marchés pour les cotations », poursuit Richard Adamonis. Et pour couper aux éventuelles appréhensions : « le suivi au jour le jour Nyse-Euronext London sera réalisé pour l'essentiel depuis Paris, par l'équipe de surveillance. Et il n'y a pas d'intention, ni d'obligation, de transférer du personnel de Paris vers Londres ». L'initiative avait été dévoilée, dans ses grandes lignes, par Ronald Kent, vice président exécutif en charge des cotations internationales de Nyse-Euronext, lors d'une journée consacrée aux investisseurs il y a quelques mois. Mais elle était passée quasi inapercue... jusqu'à ce que le groupe la publie sur son site. Très concrètement, actions et certificats représentatifs d'actions pourront être cotés après feu vert de l'autorité de tutelle. Elles seront alors négociables sur l'infrastructure actuelle de Nyse-Euronext. suscil ese corperiureet dolesequat. Ure minim vel inciduisim dolor alit ad tat lan hent wisi.Olessisit pratisi tincing ea augait at. Iril utpat prat. Ero ex etue min utem quipit aliqui erostrud digna faccum velesto eraese feu feugait wis aci tat. Ulla con ut illa facinci liquatue consequamet adions dolor augait ver autatem in ero et lorper augait lore mod tat. Rud euis augait il inci tionse te exercipsusci ex ex eugiat. Uscipisl ing et, velisit duissim aliquip eugait praesequis nummodolore dolor ilit lum at atumsan dipsum in hent et lum quat. La feugue facilis etum illam zzrit, senibh ero eniam, volese vel ilis nonsequat.
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