STRONG>FOLHA DE SÃO PAULO : Renault veut accroître ses activités au BrésilQuand le PDG de l'alliance Renault Nissan, le brésilien Carlos Ghosn, était au Brésil, en avril dernier, il a déclaré ne pas accepter le fait que Renault ne soit que le 5ème plus grand constructeur du pays. Apparemment, son souhait de progresser a été exaucé. En août, les activités de Renault avaient cru de 61 % par rapport à août 2009. Et depuis le début de l'année, la progression est de 31 %, contre 8,4 % seulement pour la moyenne du marché automobile. Aujourd'hui, Renault annonce de nouveaux modèles, pour tenter de quasiment doubler sa participation au marché brésilien et atteindre 10 % à horizon de trois ans. En termes de fabrication, il ne devrait pas avoir de problèmes : son usine du Paraná ne tourne qu'à 40 % de ses capacités. BUSINESS TIMES (MALAISIE) : Petronas ne quittera pas l'Iran Petroliam Nasional Bhd (Petronas) n'a pris aucune décision concernant un éventuel départ d'Iran, même si son contrat, dans le cadre du projet South Pars, est arrivé à échéance, a déclaré le PDG du groupe. « Il reste des opportunités en Iran et je ne crois pas que ce soit le bon moment pour nous de partir », a-t-il expliqué, alors qu'on lui demandait s'il partirait d'Iran afin d'éviter des sanctions américaines. Plusieurs sociétés, dont l'Anglo-néerlandais Royal Dutch Shell, le Français Total, le Norvégien Statoil et l'Italien Eni ont toutes annoncé qu'elles cessaient leurs activités sur place pour éviter les sanctions. De même, le Japonais Inpex, qui n'est pas sur la liste américaine, a annoncé son intention d'abandoner le projet d'exploration iranien.

latribune.fr

04 Oct 2010, 23:27

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