Malgré le plan d'aide, la Grèce s'enfonce dans la crise de la dette

?php $cleengFullBodyContent = array ( 'price' => 0.49, 'itemType' => 'article', 'shortDescription' => 'Malgré le plan d'aide, la Grèce s'enfonce dans la crise de la dette', 'url' => 'https://latribune.fr/journal/edition-du-1005/economie-international/1157153/malgre-le-plan-d-aide-la-grece-s-enfonce-dans-la-crise-de-la-dette.html', 'pageTitle' => 'Malgré le plan d'aide, la Grèce s'enfonce dans la crise de la dette | La Tribune', 'shortUrl' => NULL, 'contentId' => 125433857, ); $cleengPageId = "620695"; $cleengBody = "Un an après l'accord qualifié d'historique sur le mécanisme de stabilisation de l'euro, les dirigeants européens cherchent toujours une solution à la crise de la dette dans la zone euro. Lundi, Standard & Poor's a à nouveau dégradé - de deux crans - la note de la Grèce, « B » à « BB- », assortie d'une perspective négative. L'agence de notation justifie sa décision par l'augmentation des besoins de financement du pays et la crainte d'une restructuration de la dette, qui devrait représenter à la fin de l'année 152 % du PIB, sur fond de troisième année de récession. Vendredi, une poignée de ministres des Finances de la zone s'était discrètement réunie pour se pencher sur le problème. « Nous pensons que la Grèce a besoin d'un programme d'ajustement supplémentaire », avait commenté le luxembourgeois Jean-Claude Juncker. La décision de S&P prend un caractère plus symbolique que pratique si l'on pense que les ministres des Finances ont déjà pris acte du fait qu'Athènes ne reviendra pas sur les marchés financiers en 2012 comme prévu mais vivra encore sous perfusion européenne. Outre une nouvelle aide de 30 milliards d'euros, la république hellénique souhaite le recul de deux ans de son objectif du retour de son déficit public à moins de 3 % du PIB, d'un abaissement du taux d'emprunt et d'une extension des maturités de remboursement. « Le 16 mai, nous examinerons ce qui doit être demandé en plus ou pas à l'État grec pour être dans les clous des engagements », a précisé lundi Christine Lagarde, ministre française de l'Économie.Défiance persistante Pour la zone euro, ce n'est certes pas un retour à la case départ mais la défiance persistante des marchés indique que la cote du plan d'aide de 110 milliards d'euros et de ses conditions n'était peut-être pas aussi bien taillée qu'on avait voulu le croire initialement. C'est plus généralement l'efficacité de l'ensemble du mécanisme de stabilisation qui se trouve mis en question. Ainsi, l'Irlande persiste à demander la révision de son propre « paquet » négocié en novembre 2010 (voir encadré) tandis que la négociation du plan d'aide au Portugal d'un montant de 78 milliards d'euros intervient dans un contexte politique compliqué par les élections générales du 5 juin. Ce mardi, le commissaire européen Olli Rehn doit d'ailleurs s'exprimer sur le plan de rigueur portugais. "; include_once($_SERVER["DOCUMENT_ROOT"]."../inc/cleeng/CleengLayer.php"); ?
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