Pécresse veut « mieux » sélectionner les étudiants étrangers

?php $cleengFullBodyContent = array ( 'price' => 0.49, 'itemType' => 'article', 'shortDescription' => 'Pécresse veut « mieux » sélectionner les étudiants étrangers', 'url' => 'https://latribune.fr/journal/edition-du-1105/economie-france/1157798/pecresse-veut-mieux-selectionner-les-etudiants-etrangers.html', 'pageTitle' => 'Pécresse veut « mieux » sélectionner les étudiants étrangers | La Tribune', 'shortUrl' => NULL, 'contentId' => 442213146, ); $cleengPageId = "620923"; $cleengBody = "Le mot est clairement affiché et assumé par la ministre de l\'Enseignement supérieur et de la Recherche. La France veut désormais des étudiants étrangers mieux « sélectionnés » et « encadrés ». « Nous changeons de paradigme. Nous voulons les meilleurs », insiste le ministère. En clair, il s\'agit de monter en gamme et d\'arrêter d\'accueillir en premier cycle des bataillons d\'étudiants étrangers. Mardi matin, en ouverture d\'une réunion organisée au Quai d\'Orsay sur l\'attractivité de l\'Enseignement supérieur dans le cadre du G8-G20, la première du genre, Valérie Pécresse a fixé, en compagnie du ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, sa feuille de route.Alors que l\'internationalisation des universités s\'accélère, « la mobilité étudiante devient un enjeu majeur dans la compétition économique mondiale et un élément essentiel de l\'accès à l\'excellence », a insisté Alain Juppé, rappelant que d\'ici à 2015, la population mondiale étudiante doublera, à 200 millions, dont les deux tiers dans les pays émergents et 4 à 6 millions en mobilité. Aujourd\'hui, la France est la troisième destination derrière les États-Unis et la Grande-Bretagne, avec 278.000 étudiants étrangers (+ 73 % entre 1999 et 2009), soit 12 % de ses étudiants. Les plus gros contingents venant du Maroc, de Chine et d\'Algérie. Pour attirer les meilleurs mais aussi accroître la mobilité des étudiants français (ils ne sont que 50.000 à l\'étranger), Valérie Pécresse veut développer les diplômes conjoints entre universités et les accords de reconnaissance mutuelle des diplômes, déjà triplé en Europe depuis 4 ans. L\'idée est de faire passer de 20 % à 50 % les mobilités basées sur ces partenariats dans les 3 ans. Autres axes, un meilleur accompagnement et surtout plus de sélection : l\'objectif est de porter de 50 % à 75 % d\'ici à 2015 les étudiants inscrits en master et en doctorat, en privilégiant certaines disciplines (sciences dures, ingénierie). « Les universités y ont tout intérêt », assure l\'entourage de la ministre. Clarisse Jay"; include_once($_SERVER["DOCUMENT_ROOT"]."../inc/cleeng/CleengLayer.php"); ?
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