Entendu sur BFM

« Cette mesure ne nous apportait rien en réalité parce que les banques ne la prenaient pas en compte dans le taux d'effort de nos clients. Par conséquent, cette mesure, très onéreuse - à peu près 3 milliards d'euros en 2013 -, n'apportait pas vraiment un soutien à l'immobilier... c'était un plus ? Mais pas un élément essentiel du dispositif. »Guy Nafilyan, PDG de Kaufman & BroadRetrouvez aussi d'autres grands témoins entendus sur BFM en page 13.
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