Noël Forgeard, ancien président d'EADS

Si j'avais le choix de revenir en arrière, c'est certain que je déciderais mi-2005 de rester à Airbus plutôt que d'aller chez EADS à Paris. Je n'ai pas su voir le manque de soutien des actionnaires français et les pièges qui m'attendaient. Mais le plus important, c'est que cette entreprise fonctionne et c'est le cas aujourd'hui. »La trajectoire doit permettre de réduire de 100 milliards d'euros le déficit. Dans le projet du gouvernement, le compte n'y est pas. Les mesures envisagées ne permettent d'effectuer que 50 milliards, soit la moitié du parcours. Les hypothèses de croissance retenues par le gouvernement sont trop élevées. »
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