Italie : les aides sauvées in extremis

« Cela va contre le sens de l'histoire », avait tonné début juillet la ministre de l'Environnement, Stefania Prestigiacomo. Son collègue de l'Économie, Giulio Tremonti, qui avait prévu de supprimer les incitations aux énergies renouvelables, a finalement fait marche arrière. Dans le plan d'austérité de 25 milliards d'euros sur deux ans, qui vient d'être approuvé au Sénat à la suite d'un vote de confiance, le soutien à l'économie verte a été maintenu. Les entreprises qui investissent dans les énergies propres seront assurées de continuer à pouvoir revendre à l'organisme des services énergétiques (GSE) leur production excédentaire à travers des « certificats verts ». Les écologistes continuent néanmoins de dénoncer un gouvernement Berlusconi qui privilégie l'investissement dans le nucléaire aux dépens des énergies renouvelables. R. L.
Commentaire 0

Votre email ne sera pas affiché publiquement.
Tous les champs sont obligatoires.

Il n'y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

-

Merci pour votre commentaire. Il sera visible prochainement sous réserve de validation.