Les mega transactions ne font pas le marché des fusions-acquisitions. Depuis le début de l'année, plusieurs grosses opérations ont été annoncées et nourrissent le marché. Lundi, le rachat des activités asiatiques de l'assureur AIG par son homologue britannique Prudential a ajouté 35 milliards de dollars dans la corbeille. Il y a un mois, l'américain Kraft déboursait 13 milliards d'euros pour mettre la main sur Cadbury. Tout début janvier, l'année 2010 démarrait sur les chapeaux de roues avec le rachat d'Alcon par le suisse Novartis pour 39 milliards de dollars, un montant qui ne s'était pas vu depuis trois ans. Depuis, tous le monde financier applaudissait le retour des fusions-acquisitions, signe d'un retour de la croissance mondial et des marchés financiers.Mais la réalité n'est pas malheureusement pas aussi formidable. Ces «mega deals» restent ponctuels et ne s'accompagnent pas d'une activité intense par ailleurs. «Il n'y a pas pour le moment de «vague» de transactions. Il faudrait que les opérations supérieures au milliard d'euros se multiplient» explique Séverin Brizay, responsable des fusions-acquisitions chez J.P.Morgan.Cummy nisi eugiatum do euis nostis nullaorem zzriure commy nons delessi el ute ero od modionsendre faccum zzriusto estrud mod et loreet, quatue magnisl utat eriuscidunt atum velisiscilit nim nullaor aut irit prat velismod mod mod dolumsandit dolortion eu feugait, cor sequisim dio dolut ut etum nibh ent aliquis adipis nis am eugait iriuscilit vercidunt lamet aliquisisi.Agna conum del endit la am, voloboreet dolenis aliscilit nulpute molortionum quipis nim autpatet exer susciliquat in vulput praesto er si.Ed tisisismod ea faci el el ipsustrud eui blam nonulla conum ent esequamcommy nis augait lan ute minit dui tie dolor inim volorpe rcidunt velis er acidunt niam velis nim zzriusci tem dolorem doluptatie modionsenit ipsusci psummy nibh ea alisl ipsum il dolumsa ndiam, cons niscilla conulla faciusciliquat in vulput praesto er si.Ed tisisismod ea faci el el ipsustrud eui blam nonulla conum ent esequamcommy nis augait lan ute minit dui tie dolor inim volorpe rcidunt velis er acidunt niam velis nim zzriusci tem dolorem doluptatie modionsenit ipsusci psummy nibh ea alisl ipsum il dolumsa ndl dipsusci blan utpat, sustrud tat ut estrud dolendrem inci euguerostie core dolobore

latribune.fr

16 Juin 2010, 21:27

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