« Il va y avoir forcément une tension sur les négociations salariales. Tout d'abord, personne n'a oublié les propos du président de la République sur le partage de la valeur ajoutée et la nécessité d'un nouvel équilibre dans ce partage. Deuxièmement, il me semble que les résultats extrêmement favorables de certaines entreprises, pas seulement des banques, vont peser aussi sur les négociations. Troisièmement, le débat sur les retraites va donner le sentiment aux salariés que leur avenir n'est pas préservé et à partir de là, je pense que les revendications sur le pouvoir d'achat vont forcément s'esquisser. »Pierre Ferracci, président du groupe Alph

latribune.fr

17 Févr 2010, 23:50

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