
Cette semaine va marquer la rentrée politique et sociale en France avec en point d'orgue, lundi et mardi, les dernières consultations des partenaires sociaux sur la réforme des retraites. Pour François Hollande, c'est désormais l'heure de vérité. A l'Université d'été du parti socialiste, le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a tenté de resserrer les rangs d'un gouvernement et d'une majorité turbulents et où les affrontements ont dominé la fin de l'été sur de nombreux sujets. Politique pénale, entre Valls et Taubira, mais aussi politique économique et sociale ne font toujours pas consensus à gauche où des lignes très divergentes s'expriment. Même l'opportunité de la réforme des retraites et son contenu surtout fait débat.
Autre temps fort de la semaine à venir, la mobilisation patronale aux universités d'été du Medef donnera de mercredi à vendredi le ton côté entreprises, avec la première intervention du nouveau président Pierre Gattaz, bien décidé à s'opposer à tout nouveau prélèvement sur les entreprises au nom de la compétitivité. Un Medef inquiet à ce sujet avec la perspective de la hausse des cotisations sociales pour financer les retraites et l'annonce du retour de la taxe carbone.
Même Bruxelles a averti la France que la pression fiscale a atteint en France un « niveau fatidique » pour la croissance et appelé l'exécutif à ne plus faire reposer l'ajustement budgétaire que sur les économies dans les dépenses.
Le chef de l'Etat a tenu au premier semestre deux discours contradictoires, excluant tout nouvel impôt au printemps avant de concéder en juillet que de nouveaux prélèvements seront peut-être nécessaires pour boucler le budget 2014. La hausse est certes bien moindre que le choc fiscal concédé, par la droite puis par la gauche, en 2012 et 2013. On parle de 6 milliards d'euros supplémentaires, soit 0,3 point de PIB, sans compter le remplacement d'environ 4 milliards d'euros de mesures fiscales à « un coup ». Cela fait quand même une dizaine de milliards d'euros à trouver qui, sur un corps écorché, seront d'autant plus durement ressentis qu'une partie des hausses d'impôts déjà votées ne feront sentir leur effets qu'à partir de 2014, sur les revenus 2013…
A ce compte-là, il est assez symptomatique de relever la montée de la contestation contre les hausses d'impôts à gauche. Coup sur coup, les principaux ténors du parti socialiste ont porté la charge, de Laurent Fabius à Ségolène Royal en passant par Julien Dray. La droite, de son côté, a fait de la pression fiscale record en France son principal angle d'attaque contre François Hollande. Jean-François Copé a même présenté dimanche devant l'UMP un plan de libération fiscale du pays et promis de réformer la France en six mois par ordonnances... incluant une baisse massive des dépenses publiques et des charges sociales.
Certes, ce débat national préfigure le combat municipal de mars prochain, élection que l'on dit d'ores et déjà perdues par la gauche. Mais sur le plan économique, c'est aussi le signe que le quinquennat de François Hollande approche du tournant décrit par le candidat pendant sa campagne. Deux années d'efforts, pour redresser les comptes publics et réformer, suivies de trois années de récompenses obtenues par le retour de la croissance. Celui-ci n'est bien sûr pas encore garanti et nombreux sont les sceptiques pour qui une hirondelle de 0,5% au deuxième trimestre ne fait pas le printemps.
Il y a pourtant bien une brise de reprise, non pas seulement en France, mais dans l'ensemble du monde occidental et c'est sur cette base que le prévisionniste Hollande (« la reprise est là », a-t-il affirmé dés le 14 juillet) compte réussir son pari volontariste. Le président le sait : il a avec ce retour lent et progressif de la croissance un petit capital à gérer qui pourrait bien lui permettre de se faire réélire en 2017. Encore faut-il que le président de la République montre qu'il croit lui-même au succès de sa politique. Si c'est le cas, il ne sera sans doute pas nécessaire de relever autant que prévu les impôts ou les cotisations en 2014, car les recettes fiscales et sociales se redresseront, naturellement, à prélèvements constants. Cette politique économique est d'ailleurs celle qu'avait choisi de mener au tournant du siècle l'un de ses mentors, Lionel Jospin. François Hollande était alors Premier secrétaire du PS et avait pu mesurer les effets vertueux de la reprise économique et de la confiance.
Le pari est bien entendu risqué, mais l'expérience européenne de ces dernières années a montré les limites de la politique d'austérité. Dans toute l'Europe, y compris en Allemagne dans la dernière ligne droite de la campagne des législatives, le discours tenu est moins rigoureux. En excédent budgétaire, Berlin envisage d'ailleurs de baisser les impôts l'an prochain.
Ne pas céder à la facilité des hausses d'impôts pour redresser les comptes publics ne veut pas dire cependant renoncer aux réformes. Si un peu plus de croissance peut permettre de donner un coup d'arrêt aux hausses d'impôts, cela n'autorise pas, loin de là, de changer l'orientation de la politique budgétaire, qui reste et restera pour de longues années encore placée sous le signe de la rigueur sur les dépenses publiques. Mais c'est une façon bien plus vertueuse et efficace, même si elle est plus lente, de rassurer les marchés financiers et les détenteurs de la dette publique que de menacer la reprise par un excès de hausses d'impôts.
Là est donc le tournant du quinquennat et il reste encore à démontrer que François Hollande a décidé de le prendre. Une bonne partie de la réponse viendra de l'ampleur de la réforme des retraites et du dosage trouvé entre la hausse de la durée de cotisation après 2020 et celle du niveau des cotisations des entreprises et des ménages avant. A voir le rejet général chez les syndicats de la piste de la CSG (un ballon d'essai ?) et la prudence dont fait preuve le Premier ministre s'agissant de la contribution climat énergie (un simple « verdissement de taxes existantes »), on peut néanmoins être raisonnablement optimiste sur la sagesse fiscale qui pourrait régner en France, à partir de... maintenant !
Rappelons que pour les actifs, cet abattement forfaitaire correspond aux frais professionnels (alternative aux frais réels), il est donc surprenant (abérrant ?) que les retraités continuent d'en bénéficier.
http://www.nationspresse.info/humour-apres-avoir-plante-la-france-le-ps-pretend-vouloir-contrer-le-fn-sur-le-terrain-economique/
Dommage que mon commentaire d'hier n'ait pas été retenu. Si possible le mettre sur cet article.
J'espérais prendre ma retraite mais voilà qu'ils attaquent aussi les retraites
Dans ce pays il n'est pas nécessaire de travailler nous n'avons pas plus que les autres!!
Les jeunes n'ont pas le moral et les retraites non plus sans compter tous ceux qui peinent pour finir les mois
Triste pays !!!
J'espère vraiment un changement rapide pendant qu'ils restent encore des personnes pour investir et payer
LE MUR DES SYNDICATS PART 1 Monsieur le Président, quelques jours avant j'ai publié un 'rapport' qui démontre la solidité du
mur syndicat, comment ils condamnent un honnête homme en mettant leur tort sur un autre en s'associant avec leur collègue. Les personnages étaient un homme handicapé, deux vendeuses et une responsable. Cela se passait dans la boutique d'Orange à Villetaneuse à Auchan. La responsable ne savait pas ce qui s'était réellement passé puisqu'elle n'était pas là. Après la dispute, les deux dames sont partis à l'étage et sont revenu avec leur responsable. Sans rien savoir, la dame accuse l'homme handicapé d'avoir arraché une feuille de la main de sa collègue.or elle n'avait pas écouté les paroles du monsieur mais seulement celui de ses collègues. J'étais présent sur les lieux et j'ai vu que le monsieur avait, en partant, emporté sa feuille avec lui. Si vous voulez avoir des preuves, je crois qu'il pourra vous montrer que la feuille ne s'est ni abîmé, ni déchiré. Même si elle l'était une responsable ne peut pas juger de quelque chose sans entendre l'accusé. Le monsieur a beaucoup insisté mais après les trois dames ne se sont plus occupés du client. Le monsieur a dit qu'il attendait depuis longtemps et demandait qu'on s'occupe de lui. Puis la responsable lui a répondu « Monsieur j'ai le droit d?avoir une pause, laissez-moi manger, je m'occuperai de vous après ». Or la responsable venait de déjeuner. Pour le monsieur c'était trop car il avait déjà attendu 2 h, et les deux dame ne voulaient pas non-plus s'occuper de lui à cause de l'histoire du début. Après que le monsieur ait attendu trois heures, un autre homme est venu s'occuper de lui. Monsieur le Président, je me permets de vous poser une question : encore combien de temps laisserez-vous libre les syndicats d'insulter pareillement un client ? Et le non respect sur un client handicapé ? À n'importe quel moment, le mur solide des syndicats peut se refermer sur un homme normal. Par exemple, si il y a eu une agression de chauffeur, les syndicats appellent tout de suite à la grève sans regarder vars la Raison ou le tort. Pour l'instant dans toutes les agressions de chauffeurs ou de contrôleurs, les coupables ne sont qu'eux-même. Ceux sont eux les premiers qui insultent provoquent un passager. Cela ne se passe pas out de suite. Après s'être fait insulté quelques fois, le passager se défend. Et les témoins, au lieu de défendre la passager, défendent le conducteur qui a eu tort de provoquer le client. Et après, le conducteur en appelle à la grève. En condamnant des millions de passagers comment un chauffeur peut-il avoir le droit ad faire grève alors que c'est lui le fautive ? À cause des syndicats. Les victimes n'ont pas le droit de se défendre, s'ils essaient, les autres se retournent tous contre la victime comme ils l'ont fait à Orange. Ce qui s'est passé n'est pas nouveau. Cela se passe tout le temps partout en France. Récemment il y a eu une agression dans un hôpital.
en 2017 ç a sera la droite si vous votez pas pour un candidat hors partis
Xavier Kemlin
Non seulement elles sont attaquées, mais meme l'ouvrier perd, le : "travailler plus, pour gagner plus" du Président Sarkozy. L'équivalent d'un mois de salaire supplémentaire perdu, par la fiscalisation, par "MOI PRESIDENT JE", des heures supplémentaires défiscalisées : 9 millions de foyers modestes touchés.
Même en l'absence de nécessité, la gauche éprouve le besoin d'augmenter les prélèvements. Il y a tellement de besoins à satisfaire et le "manque de moyens" tellement important que l'augmentation des prélèvements se poursuivra. Même si le contraire est dit dans les discours.
D'où la difficulté de restreindre, disons, optimiser ou rationaliser, les dépenses de l'Etat. Ce qui existe n'est pas là par hasard, le supprimer est "risqué", ne toucher à rien est préférable, mais stérile, voire coupable.
Nul doute qu'elle atteindra sous peu les 31%.
Le système de retraite français n'a rien à envier à celui de Madoff et personne ne trouve rien à dire ! La chaine de Ponzi érigée en modèle par l'Etat dont la pseudo "solildarité inter-génerationelle" sert d'alibi, verra bientôt ses jours comptés devant la cruelle réalité économique lorsqu'il y aura plus de chômeurs que de travailleurs ! La différence entre Madoff et ceux qui l'ont institutionnalisé, c'est que ces derniers n'iront jamais en prison.
Mais cela est plus difficile et demande des c....illes!
Bachiques dans les près, C'est la fin de l'été. La France d'automne Emportée par le Sud En rondes monotones Tombe en tourbillonnant !
En 55 avant notre ère, Cicéron écrivait : « Le budget devrait être équilibré, les finances publiques devraient être comblées, la dette publique devrait être réduite, l?arrogance de l?administration devrait être abolie et contrôlée et l?aide aux pays étrangers devrait être diminuée de peur que Rome ne tombe en faillite. » Il y a longtemps que la classe politique ne lit plus Cicéron ! Depuis la fin des années 1970, la plupart des pays industrialisés sont entrés dans un régime de dette permanente, dont même les périodes de forte croissance économique n?ont pas permis de sortir.
La loi de 1973 marque le moment où la Banque de France a abandonné son rôle de service public et dépossédé l?Etat de sa souveraineté monétaire. A l?origine, cette loi s?appuyait sur le fait que les prêts sans intérêts accordés par les banques centrales aux Etats favorisaient l?inflation. Ce n?était pas faux, mais on est passé d?un excès à l?autre. Au lieu de conserver le même système tout en mettant en place une procédure permettant de limiter l?inflation, on a purement et simplement décrété que les banques centrales ne pourraient plus prêter aux Etats ? mais pourraient le faire aux banques à un taux d?intérêt ridiculement bas. On a ainsi transféré aux banques le privilège majeur des Etats, qui était le privilège de battre la monnaie, et donné au secteur privé le monopole de la création monétaire.
Dès 1999, Maurice Allais, Prix Nobel d?économie, écrivait : « Dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique, je n?hésite pas à le dire, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs. Concrètement, elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. » (La crise mondiale d?aujourd?hui).
Comme conséquence de la crise, l?Europe du Sud se retrouve aujourd?hui gouvernée par des technocrates et des banquiers formés chez Goldman Sachs ou Lehman Brothers. « Etre gouverné par l?argent organisé est aussi dangereux que de l?être par le crime organisé », disait Roosevelt.
Le soucis de rembourser ses dettes est récent et arrive avec l'Etat de droit à la fin de la révolution industrielle. ça n'est pas une mauvaise chose...
Après l'Irak il nous ressert le même déshonneur. Le président de la guerre avec sur les mains le sang de milliers de civils massacrés par des jihadistes formés par la France et consort, des politiques complètement irresponsable, alors avec son cinéma des impôts on le connaît, comment fracasser la classe moyenne après que SARKOZY est laminé les travailleurs. Qui payent leurs salaires à ces politiques, la dette, et qui prêtent ? les banquiers pour prendre des intérêts que nous réglons par des taxes, donc ceux qui dirigent ce sont les banquiers qui prêtent de l'argent pour fabriquer des armes et des chômeurs, voilà nos ennemis les patrons des politiques.
En le lisant, j'ai l'impression qu'il parle d'un autre pays. Comment peut on affirmer qu'il y a une reprise en France ? Parce que on a eu +0.5% au deuxième trimestre ? Mais c'est parce que un mauvais printemps a obligés les français a se chauffer plus. Vous croyez vraiment que le temps va être "pourri" tout a long du quinquennat de FH ?
Ce n'est pas un article sur l?économie cher monsieur, ce que vous fait la est de la politique: j'appelle cela la propagande socialiste-Coué. Votre place est dans les équipes de com de la rue de solferino.
privilèges injustifiés de tous ces politiques avides,en surnombre à tous les niveaux et coûteux pour le pays !!!
L'objectif principal des dépenses du gouvernement est sur la fourniture de biens et de services à FRANCE publics essentiels. Le gouvernement dépense pour assurer la nation d'un avenir sûr. Par conséquent, les principaux domaines de dépenses sur l'éducation, le logement, les soins de santé publique et la sécurité nationale. En outre, le gouvernement s'est engagé à bâtir et maintenir les infrastructures et services économiques de classe mondiale. Ceci est démontré par le fait que les dépenses de développement représentaient environ un tiers des dépenses publiques en moyenne au cours des trois dernières décennies.
Les politiques fiscales de FRANCE, bien que la principale source de fournir un financement pour le gouvernement François Hollande , visent à améliorer la compétitivité et attirer les étrangers économique de ses investissements à FRANCE.
Cette combinaison de justes programmes politiques fiscales et de dépenses prudente principales raisons de politique budgétaire réussie de FRANCE au fil des ans, qui ont complété la politique monétaire dans la promotion de la croissance non inflationniste et soutenue de l'économie.
Que la politique budgétaire de FRANCE vise à promouvoir principalement la croissance économique à long terme, plutôt que de distribuer le revenu ou l'ajustement cyclique, le gouvernement de François Hollande a adopté les principes suivants en pour atteindre l'objectif:
le secteur privé est le moteur de la croissance, et le rôle du gouvernement est de fournir un environnement stable et propice pour le secteur privé de prospérer;
Les politiques fiscales et les dépenses doivent être justifiées par des raisons microéconomiques et de se concentrer sur les questions liées à l'offre, à savoir incitations à l'épargne, de l'investissement et de l'entreprise;
Le rôle anticyclique de la politique budgétaire est limitée, en raison de fuites d'importation élevés.
Dans le contexte d'une telle politique budgétaire prudente, Singapour a réussi à dégager des excédents budgétaires cohérentes au fil des ans, ce qui a contribué au taux d'épargne élevé qui lui permet d'atteindre l'un des taux d'investissement plus élevé dans le monde sans avoir à supporter la dette extérieure. L'épargne intérieure élevé ont plus, à son tour, a fourni un niveau élevé de réserves étrangères de FRANCE , qui a servi à renforcer la confiance des investisseurs et de fournir une protection contre les chocs économiques défavorables.
Avec cette philosophie de la rigueur budgétaire, qui s'étend tout le secteur public, l a pu se concentrer sur les objectif principal d'assurer la stabilité des prix et préserver la confiance dans la monnaie nationale par une gestion appropriée du taux de change EURO,dol, sans avoir besoin de équilibrer cela avec les exigences de financement du déficit.
Le gouvernement doit aligner le public sur le privé
Ou alors les français besogneux levez vous pour occuper le pays
Il y en a marre de nous prendre pour des idiots !
Peut être aurions nous un peu plus d'argent dans les caisses si on arrête un jour de le distribuer à tout va : c'est quoi ces primes faramineuses de rentrée scolaire ? y a pas les allocations familiales pour ça ? et pendant ce temps là les étudiants doivent cumuler études et petits boulots pour arriver à se loger, se nourrir et se soigner s'il reste quelques cents ! Elle est où la France qui se lève tôt et qui doit travailler plus pour gagner plus : au guichet de l'administration fiscale en train de se saigner pour payer des impôts pendant que les politiques distribue à la France qui reste à la maison des aides par ci , des augmentations d'allocations par là...
De l'argent à récupérer, il y en a partout, à commencer par les politiques : non cumul des mandats effectifs, fin des indemnités au dernier jour du mandat quel qu'il soit, aucun avantage en nature (véhicule, logement...) car après tout l'entrée en politique c'est un choix que les autres n'ont pas à payer !!!!
Le travail en France, il y en a. Des initiatives privées aussi ... seulement nous avons participé à renflouer des banques qui se gardent bien de permettre à nos entrepreneurs d'investir et d'embaucher
La hausse des impôts c'est un peu facile et c'est toujours la première solution envisagée alors que rien qu'en repensant le fonctionnement actuel on règle minimum 50% du problème. Encore faut il se remonter les manches et mordre un peu ! Ne pas faire que japper quoi!
Francais, levons nous!! por faire cesser ce harcèlement fiscal!!
Une réforme de fond oui, unique. Créer un collège de personnes du peuple, élu par le peuple, qui vote les lois relatives aux élus politiques (augmentations, retraites etc.) alors peut être que les intérets personnels passeront après les intérets collectifs . Depuis toujours ce sont les mêmes qui sont "asséchés" mais il est arrivé aussi qu'on coupe des têtes lorsqu'on en a eu assez
on ne peut pas etre raisonnablement optimiste, la fuite en avant fiscale ira jusqu au bout de la logique socialiste et du scénario erroné de Hollande
Ce scénario voulant que la croissance reprendra bientot et qu en attendant on compense la baisse des recettes par des impots nouveaux . Or la croissance durable forte ne reviendra pas, c est structurel et concerne l occident
SANS REDUCTION DE LA DEPENSE PUBLIQUE EN REDUISANT LE DOMAINE D INTERVENTION DE L ETAT ON VA DANS LE MUR
Des soins, une éducation, un logement, une alimentation, des vacances (peut-être!)... alors que vous contribuiez comment à la richesse nationale??
Il pourrait peut être essayer de montrer que l' on est la5ieme cuissance du monde et si cela ne suffit encore pas, intervenons militairement à Chypre ou plus à notre mesure Mykonos !
Répeter mille fois un mensonge ne le rends plus vrai:
http://www.bakchich.info/france/2013/07/31/liberation-fiscale-ou-collaboration-liberale-62639